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Chantal Fontaine fait le point sur sa chicane médiatisée avec Fabienne Larouche

C’est lors de son passage à l’émission La vraie nature que Chantal Fontaine est revenue sur la chicane, désormais célèbre, entre elle et Fabienne Larouche.

« On a chié notre fin Fabienne et moi, c’est clair », a-t-elle mentionné en parlant de la conclusion de Virginie.

« On a chié notre fin Fabienne et moi, c’est clair »

« Si cette confrontation a été mise sur la place publique, elle était, je pense, essentielle », a-t-elle ajouté.

Rappelons que Fabienne Larouche avait divulgué le salaire de Chantal Fontaine afin de prouver qu’elle n’était pas maltraitée du tout. « C’était intense. Tu as ton salaire sur le front page du journal ».

« J’ai nommé ma peine et ça, j’avais complètement le droit de le faire.Virginie, c’est quelque chose de positif et moi, je sais que je ne suis pas juste ça. Jusqu’à cet appel-là, je ne savais pas si c’était pour arriver », a-t-elle ajouté, en rappelant qu’un an jour pour jour après son départ de Virginie, elle recevait l’appel pour jouer dans Yamaska.

« En écoutant Chantal Fontaine raconter sa vie ce soir, vous découvrirez une fonceuse, qui n’a peur de rien et dont le bonheur ne dépend pas de son métier. Aussi, comme dans cet extrait, l’histoire d’une fille qui a dû se responsabiliser très tôt quand la maladie et le manque d’argent ont frappé sa famille. Une magnifique rencontre à voir à 21h, tout de suite après Star Académie », pouvait-on lire sur la page Facebook de La vraie nature

Rappelons que le 15 février dernier, Chantal Fontaine annonçait le renouvellement de l’Émission L’Échappée pour une septième saison.

En effet, c’est dans une vidéo sur les plateaux de tournage de L’échappée que l’on a pu voir la lieutenante Gisèle Bayeur (Chantal Fontaine) répondre au téléphone, avant de déclarer à la caméra: « Bon, bonne nouvelle! L’Échappée…signé pour une septième saison! », suivi des applaudissements de l’équipe technique.

À cette nouvelle, les commentaires sous la publication se sont accumulés rapidement. On pouvait lire : « WOW trop contente, Bravo à toute l’équipe vous êtes extraordinaire ! Toujours hâte de vous regarder chaque semaine ! Une autre saison c’est vraiment super! Merci à vous tous de nous faire passer par tous les stades d’émotions par votre talent extraordinaire », ou encore : « Super ! Quelle belle façon originale de l’annoncer. Bravo à toute l’équipe, j’adore l’émission ».

Rappelons d’autant plus que c’est le 27 février dernier, dans le chalet de Jean-Philippe Dion que Nathalie Simard s’est ouverte sur des moments bouleversants de sa vie, tels que les dénonciations qu’elle a faites envers Guy Cloutier en 2004.

« Tu regardes ton enfant et c’est à cet âge-là que les abus ont commencé, tu te dis : « Là, c*iss, ce n’est pas vrai que ça va continuer » », a-t-elle mentionné lors du souper.

« Je commençais à avoir des idées suicidaires. J’allais dans une vieille érablière que j’avais sur la terre et je m’autoflagellais, je… », dit-elle, avant de se mettre à pleurer. « Je me tapais la tête sur les murs. À un moment donné tu te dis : « dans quel état ma fille va me retrouver quand elle va revenir de l’école? Tu ne peux pas vivre une vie comme ça… » », a-t-elle ajouté.

En bref, les célébrités s’ouvrent plus que jamais dans le confort des plateaux de tournage de La vraie nature et on n’est pas fâchés de ça.

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Nathalie Simard estime que Guy Cloutier « est encore protégé »

Nathalie Simard et Janette Bertrand étaient de passage au balado de Sophie Durocher et Richard Martineau, Devine qui vient souper?. Au menu, des thématiques assez controversées et sérieuses, soit la culture du viol et l’agression dont a été victime Nathalie Simard.

Janette Bertrand écrit présentement un livre sur une mère qui apprend que son fils de trente ans a violé une femme. C’est la consternation pour la mère qui lui a pourtant prodigué tant d’amour en l’élevant. Elle se questionnera sur ce qu’elle a bien pu faire ou ne pas faire pour que son fils commette un acte aussi dépourvu de respect et d’amour, mais aussi ce que son mari, le père de son fils, a fait ou dit. Derrière cette histoire, Janette Bertrand veut exposer la culture du viol et sensibiliser les gens, surtout les hommes, aux messages qu’ils envoient à leurs enfants. Le patriarcat a assez duré selon elle, et malgré les changements qu’a pu apporter le mouvement #MeToo, il y a encore bien des choses à faire et des mentalités à changer.  Nathalie Simard était bien d’accord, « ça part de tellement longtemps, c’est dans les moeurs », l’entend-on dire.

Ce qui amène à discuter de l’agression de Nathalie et de la crédibilité qu’on donne aux victimes quand elles finissent par avouer ce qui leur est arrivé. Nathalie Simard a dit qu’on ne l’avait pas cru au départ. Elle n’a pas voulu nommer de nom, mais ce sont des personnes proche d’elle. Cependant, quand elle a finalement révélé l’affaire dans les médias, ce n’est pas seulement son entourage proches d’elle qui a douté. C’est qu’elle était une des premières personnalités publiques à prendre les devants et dévoiler qu’elle avait été agressée. Plus encore, elle a été victime d’abus de pouvoir d’une personne de confiance, soit son impresario Guy Cloutier. Toute cette affaire fait écho à la controverse qui fait toujours couler beaucoup d’encre à Hollywood avec le producteur de cinéma, Harvey Weinstein.

Richard Martineau a soulevé ensuite un article qui a récemment été publié où le nom de Guy Cloutier n’est pas du tout mentionné. « Il est encore protégé », a simplement laissé tomber Nathalie Simard. Pourquoi? La réponse est venue rapidement pour Janette Bertrand :  « Parce que c’est un homme de pouvoir. C’est un homme de pouvoir, même s’il n’est plus là. C’est un homme qui a eu un grand, grand pouvoir. » Sur ce quoi a renchérit Nathalie en disant : « Il est encore très présent, madame Janette. » Est-ce pour cela qu’il n’est pas nommé? Oui, selon Sophie Durocher. Pour Janette, c’est une situation extrêmement désolante. « Je pense que si ça arrivait ce mois-ci, ça serait autre chose », a-t-elle dit. Nathalie Simard a encore une fois acquiescé, non pas dans la tristesse, mais bien avec optimisme. « Depuis 2017, je me sens libérée, depuis #MeToo […], depuis toutes ses histoires, des hommes très connus, ça a changé ma vie », a-t-elle déclaré.

Il reste qu’on banalise toujours ces situations, et c’est pourquoi il faut continuer de nous battre pour changer les choses.

Pour écouter l’entrevue complète, dirigez-vous vers le site de QUB radio.

Une discussion plus que nécessaire.

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Guy Cloutier obtient sa libération

Ce matin à Laval, Guy Cloutier était entendu par la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) afin de retrouver sa liberté.

Devant les juges de la commission, l’agresseur pédophile de la chanteuse Nathalie Simard a confié que « l’argent ne peut pas réparer tout le mal qu’il a fait. »

L’homme, qui a séjourné durant 19 mois en prison, a aussi admis « qu’il était un agresseur. »

Cloutier a aussi ajouté durant son témoignage d’une quarantaine de minutes « qu’il n’a pas aucune attirance physique pour les enfants. »

L’ex-homme d’affaires, qui soutient avoir l’appui de sa femme, a révélé qu’il ne sera plus jamais un impresario dans sa vie professionnelle. Tout au plus, il pourrait devenir consultant pour certaines entreprises.

C’est en pleurant qu’il a appris la décision de la commission. Cette dernière admet que Cloutier représente qu’un faible risque pour la société. On ne connaît pas la date de sa remise en liberté.

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Guy Cloutier en prison pour l’été

Selon la SRC, la libération conditionnelle d l’ex-homme d’Affaires, déjà reportée une fois, le sera de nouveau.

Rappelons que le 12 avril dernier, la Commission nationale des libérations conditionnelles avait ajourné, à la surprise générale, ses audiences pour 60 jours afin de permettre à la police d’enquêter sur l’existence d’une troisième victime présumée.

Selon ce qu’a appris la société d’État, l’enquête n’est pas encore terminée.  Ainsi, l’audience prévue en juin n’aura pas lieu. Guy Cloutier devra vraisemblablement attendre septembre avant de comparaître de nouveau.

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Guy Cloutier clame son innocence

Quelques jours après le coup de théâtre qui a frappé sa demande de libération conditionnelle, l’ancien gérant d’artiste Guy Cloutier affirme qu’il est victime d’un canular.

Selon le Journal de Montréal, Cloutier a confié à son avocat Léo-Paul Fournier qu’il n’avait agressé que deux victimes, celles pour lesquelles il a été emprisonné.

Rappelons que mardi soir, la Commission nationale des libérations conditionnelles a reçu un courriel d’une personne qui dit avoir été victime d’agressions sexuelles de l’ancien impresario, en 1974 et 1975.

La Commission a repoussé de 60 jours le dossier de Cloutier, le temps que la Sûreté du Québec fasse enquête.

Guy Cloutier est emprisonné à la prison à sécurité minimale de la Montée Saint-François à Laval. En décembre 2004, il a été condamné à 42 mois de prison pour avoir agressé sexuellement deux enfants. Avant ces dernières révélations, il était admissible à une libération conditionnelle après avoir purgé le tiers de sa peine.

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Guy Cloutier sous enquête

L’ancien impresario devra donc séjourner au moins deux mois de plus en prison, après que la Commission eut appris qu’une autre présumée victime s’était manifestée.

Rappelons que mardi soir, la Commission aurait reçu un courriel d’une personne qui dit avoir été victime d’agressions sexuelles de l’ancien impresario, en 1974 et 1975.

En entendant la décision d’enquêter sur cette nouvelle révélation, Cloutier n’a plus retenir ses larmes.  Selon les témoins présents, l’homme était dévasté.

Guy Cloutier croupit à la prison à sécurité minimale de la Montée Saint-François à Laval.  En décembre 2004, il a été condamné à 42 mois de prison pour avoir agressé sexuellement deux enfants.  Avant ces dernières révélations, il était admissible à une libération conditionnelle après avoir purgé le tiers de sa peine.

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L’audience de Guy Cloutier ajournée

Les commissaires disent avoir reçu une information selon laquelle une autre présumée victime se serait manifestée.

Ce coup de théâtre survient alors que l’ancien gérant d’artiste tentait d’obtenir sa libération conditionnelle après avoir purgé le tiers de sa sentence.

La Commission a précisé avoir reçu, hier soir (mardi), un courriel d’une personne affirmant avoir été victime d’agressions sexuelles, en 1974 et 1975.

La Sûreté du Québec affirme de son côté ne pas avoir reçu de plainte officielle de cette personne.

Selon des témoins, Cloutier semble avoir appris la nouvelle ce matin même. Il a éclaté en sanglots en entendant les commissaires.

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Guy Cloutier tente de retrouver sa liberté

Après avoir séjourné durant les 15 derniers mois derrière les barreaux, Cloutier, qui a ainsi purgé le tiers de sa sentence, tente de prouver qu’il ne constitue plus un danger.

Cloutier a été condamné le 20 décembre 2004 à 42 mois pour avoir agressé deux enfants, dont la chanteuse Nathalie Simard.

Si l’ex-homme d’affaires essuyait un échec, il lui faudrait entendre un an avant de présenter une autre demande de libération conditionnelle.

Par ailleurs, selon un sondage paru dans le Journal de Montréal, 77 % des Québécois s’opposent à sa libération. Plus sévères encore, près de 90 % lui interdiraient tout contact avec des enfants s’il doit finalement être libéré.

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Guy Cloutier perd son avocat

Un différend d’opinion semble être à la base de cette séparation entre le juriste et l’ex-homme d’affaires.

En effet, Cloutier, aurait l’intention de régler à l’amiable la poursuite civile de 1,2 million de dollars qu’a intentée contre lui Nathalie Simard.

De son côté, Me Archambault aurait souhaité contester cette poursuite en contre-interrogeant Nathalie Simard.

Rappelons que Guy Cloutier croupit derrière les barreaux pour 42 mois après avoir été reconnu coupable de sévices sexuels sur deux enfants d’âge mineur.

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Affaire Guy Cloutier : Nathalie Simard parle

Simard, âgée de 36 ans, a aussi annoncé la mise sur pied prochaine de la Fondation Nathalie Simard, dont la mission sera de venir en aide aux victimes de pédophilie.

Selon Le Journal de Montréal, l’ex-vedette de la chanson entend déposer mercredi une requête à la Cour civile réclamant 1,2 million de dollars de son ancien gérant.

Rappelons que le 20 décembre dernier, Guy Cloutier a été condamné à trois ans et demi de prison.  Nathalie Simard n’avait que 11 ans au moment des premières agressions. Elle a subi les atrocités du pédophile pendant sept ans.

L’autre victime de Guy Cloutier, qui ne souhaite toujours pas être identifiée, aurait été agressée par le gérant d’artistes sur une période de six ans à partir de l’âge de 12 ans.