Étiquette : Guy Cloutier

Selon le Journal de Montréal, elle est de 12 semaines et comprend le port d’un instrument installé sur l’appareil génital. Son degré d’érection face à différentes images d’adultes et d’enfants est ainsi mesuré.

Plus tôt cette semaine, Guy Cloutier a été transféré dans une cellule d’un centre de détention de Laval. Il y occupe maintenant un poste de commis aux cuisines. Il note les commandes, les menus et les horaires.

Guy Cloutier sera admissible à une libération conditionnelle au tiers de sa peine, soit en février 2006. Il pourrait toutefois être confié à une maison de transition dès le mois de juin.

Selon le Journal de Montréal, le pédophile a demandé à ses avocats de s’élever contre la publication dans deux médias du groupe Quebecor de la publication de sa fiche de détenu.

Selon ce qu’a appris le Journal, ses avocats demandent que l’on « prenne toutes les mesures jugées nécessaires ou utiles pour assurer la vie privée » du condamné « et de sa famille » qui dit subir un « débordement médiatique ».

Rappelons qu’à la suite de ces publications, les Services correctionnels du Canada ont décidé d’ouvrir une enquête.

C’est le 18 novembre dernier que Guy Cloutier a plaidé coupable à plusieurs chefs d’accusation de sévices sexuels sur deux enfants. L’ex-impresario a été condamné à une peine de 42 mois de prison.

Selon Le Journal de Montréal, Véronique et Stéphanie Cloutier ont rendu visite à leur père qui est placé en isolement dans un secteur protégé de la prison, où il n’a aucun contact avec les autres détenus.

Guy Cloutier, 64 ans, devrait bientôt être conduit au pénitencier de Sainte-Anne-des-Plaines. Il y sera incarcéré à l’Unité d’évaluation initiale pour une période maximale de 70 jours. Des spécialistes établiront sa cote de sécurité et les programmes appropriés à son traitement. Il sera ensuite dirigé vers le pénitencier fédéral approprié.

Par ailleurs, Véronique Cloutier a procédé à une restructuration de son entreprise, Novem, anciennement Guy Cloutier Communications.

Lundi, Novem annonçait deux importants départs. Une collaboratrice de 30 ans de Guy Cloutier à la gérance d’artistes, Claudine Bachand, et un collaborateur de 10 ans à la division musique, Luc Martel, ont été remerciés.

La sentence se divise ainsi : 26 mois d’emprisonnement pour des actes posés sur la première victime, et 16 mois pour la deuxième victime.

Déjà, il est convenu que Cloutier n’appellera pas de sa sentence.

Rappelons que le 17 novembre dernier, l’impresario avait reconnu sa culpabilité à quatre chefs d’accusation d’agressions sexuelles sur deux victimes mineures et à un chef d’accusation d’entrave à la justice.

Guy Cloutier a agressé pendant sept ans la première victime. Cette dernière n’avait que 9 ans au moment des premières agressions. L’autre victime aurait été agressée sur une période de 6 ans à partir de l’âge de 12 ans.

Des mesures de sécurité exceptionnelle seront imposées aux représentants des médias et aux curieux.

Rapellons que Cloutier a déjà plaidé coupable à cinq chefs d’accusation à caractères sexuels et pédophiles. La couronne demande cinq ans de prison, trois ans pour la première victime et deux ans pour la deuxième.

Le verdict devrait tomber à 9h30 lundi.

C’est le juge Robert Sansfaçon, de la Cour du Québec, qui rendra la sentence.

Rappelons que mercredi, Cloutier a reconnu avoir agressé sexuellement une mineure, et avoir attenté à la pudeur d’une autre personne mineure.

L’homme d’affaires s’est brièvement expliqué devant les médias. « Je regrette profondément tout le mal que j’ai fait. Je reconnais mes torts, j’ai plaidé coupable, et puis comme vous le savez, maintenant mon sort est entre les mains du juge. Je le regrette de tout mon coeur »,

La procureure de la Couronne, Me Josée Grandchamp, a réclamé une peine de cinq ans d’emprisonnement. L’avocate de l’accusé, Me Sophie Bourque, demande plutôt une peine de deux ans moins un jour, a purger dans la communauté.

D’ici le prononcé de la sentence par le juge Sansfaçon, Guy Cloutier est libre.

Cloutier avait pourtant plaidé non coupable au printemps dernier lors de son arrestation.

Les cinq chefs retenus sont :

-Attentat à la pudeur

-Agression sexuelle sur une enfant de moins de 14 ans

-Agression sexuelle

-Tentative d’entrave à la justice en offrant 300 000 $ à la victime

-Attentat à la pudeur sur une autre présumée victime sur une période de six ans

Les autres accusations qui pesaient contre lui ont été abandonnées.

Guy Cloutier n’aura pas à subir de procès puisqu’il a admis sa culpabilité.

L’impresario a indiqué qu’il s’adresserait aux médias après les représentations sur sentence. Il ne répondra cependant à aucune question des journalistes.

Le juge Robert SansFaçon, de la Cour du Québec, devrait entendre sur une période de deux jours le procureur de la Couronne Josée Grandchamps présenter les preuves qui accablent l’accusé de 64 ans.

L’impresario pourrait décider de plaider coupable à des accusations réduites et ainsi contrecarrer l’enquête préliminaire. Une autre option serait de renoncer à l’enquête préliminaire afin de passer directement à son procès.

Guy Cloutier est notamment accusé d’agressions sexuelles, d’agression armée à l’aide d’une télécommande, et de voies de fait.

Les gestes dont il est accusé auraient débuté en 1978, alors que la victime présumée n’avait que neuf ans, et se seraient poursuivis jusqu’en 1987. Une dernière agression aurait eu lieu en 2001.

Guy Cloutier est aussi accusé d’entrave à la justice.

Le juge Michel Bellehumeur de la Chambre criminelle de Montréal a condamné TQS à payer une amende de 5 000 $ pour avoir identifié la présumée victime de Guy Cloutier.

En publiant le nom de la présumée victime sur son site Internet, TQS est allé à l’encontre d’une ordonnance de la Cour.

Rappelons que l’impresario Guy Cloutier est accusé de plusieurs délits sexuels et de voies de fait. Les incidents reprochés à l’homme d’affaires remonteraient jusqu’à 1978.

L’enquête préliminaire de Cloutier se tiendra le 17 novembre prochain.

C’est le magazine Dernière Heure qui vient de révéler ces nouvelles informations. La publication ajoute que selon des sources sûres, c’est en automobile que les premiers événements sont survenus.

Toujours selon Dernière Heure, l’une des dernières rencontres entre les deux personnes se serait terminée par un désaccord sur une question financière et une gifle au visage de la jeune femme.

C’est ce dernier événement qui aurait convaincu la présumée victime à révéler cette histoire à la police. Par la suite, la filature et des enregistrements de conversations ont été organisés par les autorités.

Par ailleurs, on apprenait ce matin qu’un média, non identifié, fait l’objet d’une plainte pour outrage au tribunal. Le média aurait violé un ordre de cour en diffusant l’identité de la présumée victime.

Rappelons que Guy Cloutier est accusé d’attentat à la pudeur, de grossière indécence et de viol, pour les actes commis il y a plusieurs années. Pour les soupçons plus récents, il est accusé de deux chefs d’agression sexuelle, d’agression sexuelle armée, de voie de fait et d’entrave à la justice.

La suite des procédures judiciaires doit se poursuivre le 17 novembre.