L’ex-hockeyeur vedette Guy Lafleur offre aux Québécois un tout nouveau spiritueux.
Appelé le Guy Lafleur 10, le dry gin est offert dès aujourd’hui à la Société des Alcools du Québec (SAQ).
Les 100 premiers fans du Démon blond qui achètent en ligne le nouveau gin courent la chance de recevoir l’une des 100 bouteilles autographiées par Guy Lafleur.
Les bouteilles autographiées seront distribuées aléatoirement dans les commandes en ligne seulement.
Le gin Guy Lafleur 10 est un spiritueux préparé au Québec par Verger Hemmingford.
On dit du nouveau spiritueux qu’il est poivré et piquant. Ce gin québécois de la pastille Épicé dévoile des parfums de baie de genièvre et des notes délicates de fleurs et d’agrumes.
Son producteur, François Pouliot, s’est inspiré d’une anecdote racontée par Guy Lafleur pour choisir l’arôme dominant du spiritueux, le poivre.
La légende du hockey avait l’habitude de motiver ses troupes en disant «on va les poivrer»!
Son gin se démarque par sa puissance.
Les flacons du Guy Lafleur 10 sont en vente au coût de 45 $ chacun à la SAQ.
C’est une véritable légende qui doit subir une importante opération ce matin (26 septembre).
En effet, Guy Lafleur, pan de l’histoire du Canadien de Montréal à lui seul et héros québécois, affronte l’un des plus grands défis de sa vie hors glace alors qu’il subit un quadruple pontage au coeur, rapporte le Journal de Montréal, sur une information initiale de Tony Marinaro de TSN 690.
Alors que la nouvelle se propage, le Québec prie pour une idole qui ne l’a pas toujours eu facile à la suite de sa spectaculaire carrière au sein du Canadien de Montréal.
On attend donc les détails de cette opération délicate, alors que les fans de hockey retiennent leur souffle.
Guy Lafleur, qui vient de fêter son 68e anniversaire, a appris qu’il devait subir un quadruple pontage après une visite chez un médecin, rapporte RDS.
Du whisky canadien qui rendra hommage à d’anciens joueurs de hockey, c’est une belle histoire.
JP Wiser s’est associé avec le NHL Alumni Association afin de produire du whisky à l’effigie de joueurs qui ont marqué l’histoire de la Ligue nationale, dont Guy Lafleur.
JP Wiser s’est associé à la NHL Alumni Association (« NHLAA ») pour célébrer les traditions du hockey et du whisky en publiant des whiskies exclusifs au niveau régional, à la distribution restreinte, avec des mélanges uniques reflétant les styles de jeu. – Énoncé sur le site tonbarbier.com
Wendel Clark, Lanny McDonald et Guy Lafleur sont donc les joueurs ciblés pour ce projet d’envergure.
Par contre, le seul qui sera distribué au Québec sera celui du Démon-blond, évidemment. Un whisky vieillit de 10 ans du Speyside, de bourbon et de rhum.
Sans être un connaisseur de whisky, on indique que cette boisson aura un aspect suave et délicat qui évoque les percées de Lafleur en zone neutre.
Avec ses odeurs de vanille pénétrant les narines, selon le producteur, les buveurs auront certes envie de hurler « Guy, Guy, Guy! »
Pour vous faciliter la tâche, voici des indications pour dénicher cette bouteille de collection dans une SAQ près de chez vous.
J.P. Wiser’s Édition unique Guy Lafleur
Whisky canadien, 750 ml
Code SAQ : 13909547
En rafale
– Rappel : Connor McDavid a vu juste au sujet de Max Domi.
– Voici une statistique très intéressante au sujet des buts qu’accorde le Canadien de Montréal. C’est trop!
Le #CH depuis le jeu blanc à Boston le 27 octobre.
2 buts contre : 2 fois (2 gains)
3 buts contre : 1 fois (1 gain)
4 buts contre : 4 fois (2 gains)
5 buts contre : 2 fois
6 buts contre : 2 fois
Et il reste ce soir à ajouter
Ils sont connus au Québec, mais ils sont surtout des parents d’enfants souffrant de maladies mentales.
Dans le cadre de la Semaine nationale de la santé mentale, qui se déroule du 7 au 11 mai, Guy Lafleur, Sophie Prégent et Sylvie Lauzon agissent respectivement à titre de porte-parole et marraines d’honneur pour faire connaître les enjeux de ces problèmes de santé et proposer des solutions d’aide aux familles concernées par cette difficile réalité.
Au Québec, alors que les problèmes mentaux et les troubles du comportement semblent pousser comme des champignons chez les jeunes, que le besoin est de plus en plus criant et que la science a encore de la difficulté à mettre le doigt sur la source de ces problèmes neurologiques, une seule fondation vient en aide exclusivement aux enfants et adolescents atteints de maladies mentales.
Chaque année, la Fondation les petits trésors, qui existe depuis 1980, mène un combat sans fin dans la société pour faire connaître sa mission. Spectacles-bénéfices, conférences, tournois de golf, bals et soirées thématiques sont des événements qui permettent d’amasser des fonds pour venir en aide aux jeunes qui ont besoin de soutien et surtout d’un diagnostic précoce pour tenter d’éviter que la maladie mentale brime leur vie entière.
Il est prouvé qu’au Québec, un enfant sur six souffre de problèmes mentaux. Parmi les petits qui vivent au sein d’une famille monoparentale ou recomposée, environ un enfant sur trois a des troubles émotifs importants. Chez les moins de 10 ans, 10 % d’entre eux auraient déjà eu des pensées suicidaires.
Cliquez ici pour avoir plus de détails sur la Semaine nationale de la santé mentale et le rôle de la Fondation les petits trésors.
Après Maurice Richard, qui a eu droit à un film, en 2005, dans lequel Roy Dupuis incarnait le hockeyeur, voilà que ce serait au tour de Guy Lafleur de voir sa vie portée au grand écran.
Plusieurs producteurs ont tenté au fil des ans de convaincre l’ancien joueur de hockey, mais en vain. Le Journal de Montréal nous apprend qu’il y aurait finalement eu une entente avec le producteur des Boys, Richard Goudreau.
Cette entente serait des plus lucratives pour Guy Lafleur, selon ce que rapporte la publication. Il aurait empoché un million de dollars pour voir son histoire être adaptée au cinéma pour la toute première fois.
Pour le moment, aucun autre détail n’a été dévoilé et on ignore encore qui pourra incarner le démon blond au grand écran.
Rappelons que c’est le réalisateur Charles Binamé qui avait dirigé Maurice Richard en 2005, d’après un scénario de Ken Scott.