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Une gynécologue demande un autographe à Demi Lovato

Les stars sont habituées de se voir demander des autographes, mais certains fans semblent posséder moins de tact que d’autres.

C’est le cas d’une gynécologue, qui aurait demandé un autographe à la chanteuse Demi Lovato en plein examen.

La chanteuse a partagé cette anecdote étonnante sur les ondes d’une station de radio néo-zélandaise.

« Il y a eu pas mal de moments inconfortables et même certains qui m’ont fait me sentir violentée. Quand, par exemple, j’étais chez la gynécologue et que la médecin me demande : « Je peux avoir un autographe pour ma fille? » J’étais comme : « F***, mais qu’est-ce qui ne va pas avec toi? » », lance Demi Lovato sur ZM Radio.

L’interprète de Heart Attack affirme qu’il ne s’agit pas d’un incident isolé, et qu’elle se retrouve souvent coincée dans de telles situations par des fans au professionnalisme déficient.

« Je peux être à une séance de laser et on me dit qu’un tel proche parent est un grand fan. Je me dis alors : « Super, alors maintenant vous pouvez lui dire que vous avez vu mon vagin. En entier », lance la chanteuse en guise de conclusion.

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Le timbre contraceptif au banc des accusés

Un groupe de gynécologues s’inquiète des effets possibles des nouvelles méthodes de contraception, dans ce cas-ci le timbre, rapporte Top Santé.

Ceci s’inscrit dans la lignée des vagues de prévention et d’avertissements de la part de plusieurs experts et agences de santé qui veulent sensibiliser les femmes (et leur amoureux) aux risques de certaines méthodes contraceptives.

Notamment, les fameuses pilules contraceptives de troisième génération font couler beaucoup d’encre depuis quelque temps. On leur attribue une liste de risques inhérents potentiels.

Au tour du timbre contraceptif, maintenant, de recevoir des blâmes de la part du Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof), qui explique que celui-ci contient le même type d’hormones que celles retrouvées dans les pilules de troisième génération.

« Les médecins doivent pouvoir évaluer objectivement la dangerosité de tous leurs actes sans attendre l’annonce d’un contentieux après la survenue d’un accident grave ou des informations diffusées par l’industrie pharmaceutique », s’indigne l’association.

Des cas de phlébite, d’embolie pulmonaire et autres problèmes graves de santé ont été rapportés à la suite de la prise des pilules de troisième génération.

Malgré tout, on note que ces nouvelles méthodes obtiennent néanmoins la note de passage, c’est-à-dire qu’il existe beaucoup plus de cas de femmes satisfaites que de victimes.

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Un diagnostic d’endométriose sans chirurgie

Une équipe de chercheurs associés aux universités de Sydney, en Australie, et de Karak, en Jordanie, ont mis au point un nouveau test qui ne nécessite aucune chirurgie pour diagnostiquer l’endométriose, une maladie gynécologique qui peut entraîner des règles douloureuses, des douleurs lors des relations sexuelles et même l’infertilité.

Cette technique consiste à prélever des cellules dans la paroi de l’utérus, en passant par le vagin, alors que pour le moment, les médecins doivent pratiquer une chirurgie afin de prélever des cellules hors de l’utérus et susceptibles de se retrouver dans d’autres organes.

Jugé efficace à 100 % par la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, ce test permettra peut-être de diminuer de 10 à 15 % le taux des femmes en âge d’avoir des enfants qui souffrent de cette maladie.

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Nouvelles directives concernant les accouchements par le siège

Une recherche sur l’accouchement du siège par voie vaginale amène la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) à réévaluer la pratique de ses membres qui croient que la césarienne est plus appropriée lorsque le bébé se présente par le siège.

« Les foetus en présentation du siège sont presque toujours accouchés par césarienne, à un point tel que cette pratique est en quelque sorte devenue automatique. Ce que nous avons constaté, c’est que, dans certains cas, l’accouchement du siège par voie vaginale constitue une option sûre et que les obstétriciens devraient être en mesure d’offrir aux femmes le choix de tenter un accouchement traditionnel », a souligné le Dr Robert Gagnon de la SOGC.

Pour ce faire, l’organisme entend miser sur la formation des médecins. « Maintenant, il nous importe donc, au nom de la profession, de nous assurer que les obstétriciens canadiens disposent de la formation nécessaire pour offrir aux femmes l’option d’accoucher par voie vaginale, lorsque cela s’avère possible », a affirmé le Dr André Lalonde, vice-président administratif de la SOGC.

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Vers un accouchement plus naturel

Cinq associations canadiennes de la santé, dont la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOCG), recommandent à leurs membres les accouchements normaux qui impliquent le moins d’interventions médicales possible.

Alors que les naissances par césarienne au Canada ont atteint un record avec 26 % des accouchements, plusieurs spécialistes des naissances remettent en question cette chirurgie qui comporte un certain risque.

Dès le mois de mars, la SOGC va faire connaître à ses membres les nouvelles directives lorsque le foetus se présente par le siège, ce qui éviterait sans doute une césarienne à bien des femmes enceintes dont le poupon ne se présente pas par la tête.

Selon le Dr André Lalonde, vice-président de la SOCG, il faut aussi faire de la prévention auprès des futures mères afin de bien les informer sur ce que représente une césarienne.