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Narcolepsie et grippe H1N1

Une récente étude, laquelle a porté sur des Chinois, lève le voile les effets à long terme de la grippe H1N1 que l’on soupçonnait. Après avoir suivi 629 sujets, lesquels étaient majoritairement des enfants (soit une proportion de 86 %), on a relevé que 182 d’entre eux avaient développé la narcolepsie.

Rappelons brièvement que la narcolepsie consiste en une envie soudaine de dormir. On estime qu’habituellement, moins de 1 % de la population mondiale en est atteinte.

Or, les chercheurs ont remarqué, dans le cadre de la présente étude, que les cas étaient moins fréquents en novembre, mais qu’ils l’étaient beaucoup plus en avril, les taux augmentant de sept fois lors des périodes de pointe.

Ce constat vient contredire les récentes inquiétudes quant à des hausses de cas de narcolepsie en Europe à la suite de la vaccination contre la H1N1. Une différence de cinq à sept mois a été remarquée entre la saison importante de la grippe et celle de l’apparition de la narcolepsie.

Les résultats détaillés de cette nouvelle recherche sont parus dernièrement dans Annals of Neurology.

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Nouvelle forme de grippe touchant les bébés

Une combinaison de la grippe H1N1 et de la grippe H3N2 présagerait une épidémie chez les bébés. On apprend en effet sur Canoe qu’un cas d’une forme de grippe encore inconnue jusqu’ici a été diagnostiqué chez un jeune enfant.

Les parents du bébé de 16 mois l’ont amené à un hôpital de Toronto, alors que le petit souffrait de douleurs à l’estomac et à la poitrine. Des analyses ont par la suite été effectuées. Les médecins ont pu conclure à un nouveau virus, celui-ci étant un mélange entre la grippe saisonnière et la H1N1.
 
Les événements passés liés à la grippe H1N1 sèment bien évidemment beaucoup d’inquiétude. De plus, nous savons que les enfants en bas âge sont particulièrement vulnérables à ce virus. On se demande si une propagation épidémique surviendra au Canada.

Toutefois, les médecins somment le public ne pas céder à la panique. Les vaccins actuels demeurent efficaces pour contrer cette nouvelle forme de grippe.

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La H1N1 à l’école

Il semble que la propagation de la grippe se ferait entre filles et entre garçons. C’est la conclusion à laquelle on est arrivé en voulant étudier la façon dont se transmettait la grippe H1N1 en milieu scolaire.

C’est en analysant le cas de 370 enfants d’une communauté rurale de la Pennsylvanie que des chercheurs ont remarqué cette tangente. Les participants de l’étude étaient âgés de 6 à 18 ans.

Les enfants auraient donc tendance à transmettre trois fois plus souvent ledit virus à des compagnons du même sexe qu’eux. L’explication en est simple : les écoliers jouent dans la très grande majorité des cas entre filles et entre garçons.

De plus, la transmission de la grippe était cinq fois plus élevée chez des enfants de la même classe que chez ceux étant au même niveau, mais dans une classe différente. Finalement, le taux d’infection était le plus élevé chez les enfants de 6 à 10 ans, suivis par ceux de 5 ans et moins.

Cette étude pourrait servir à évaluer, dans le cas d’une épidémie, s’il faut fermer une école ou plus simplement fermer une classe d’écoliers. Les résultats sont parus récemment dans plusieurs parutions, notamment dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Découverte d’un virus mutant de la H1N1

Des virologues hongkongais ont découvert sur des porcs un virus mutant issu de la grippe A (H1N1).
 
Pour le moment, il n’y a pas d’inquiétude à y avoir, car rien n’indique qu’il y a propagation du virus ou que celui-ci est plus virulent que son prédécesseur il y a un an.
 
Par contre, on ne doit pas baisser la garde et il faut demeurer vigilants quant à la surveillance des élevages.
 
Il arrive souvent que des mutations soient observées sur des virus grippaux. Il est effectivement possible que ces mutations génétiques génèrent des virus plus agressifs. Pour le moment, ce n’est toutefois pas le cas.
 
Selon Le Figaro, les chercheurs affirment que cette découverte montre par contre à quel point la H1N1 peut facilement muter avec d’autres virus porcins.
 
Il y a un an, on assistait à l’éclosion de la grippe A (H1N1). Bien que le virus soit encore actif, l’Organisation mondiale de la santé note qu’il marque un recul dans certaines zones de la planète.
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Le vaccin contre la grippe saisonnière augmentait les risques de H1N1

Des épidémiologistes de la Colombie-Britannique soutiennent que les personnes qui ont été vaccinées contre la grippe saisonnière étaient plus exposées au virus H1N1 que les autres.
 
Toutefois, les auteurs des études demeurent prudents et ajoutent qu’il est encore trop tôt pour établir un lien clair. D’autres études sont nécessaires pour valider ou invalider les présentes données.
 
Selon la revue PLoS Medicine, au printemps 2009, la Dre Danuta Skowronski et ses collègues du Centre de contrôle des maladies ont remarqué que plusieurs élèves d’une école présentaient des symptômes de la grippe H1N1. Or, il s’avère que la majorité d’entre eux avaient été vaccinés contre la grippe saisonnière.
 
Afin de vérifier le tout, 2 700 personnes ont été recrutées en Colombie-Britannique, en Alberta, en Ontario et au Québec pour participer à quatre études. Les quatre donnent des résultats similaires et confirment que ceux vaccinés contre la grippe saisonnière étaient protégés contre cette dernière, mais avaient 68 % plus de risques d’être contaminés par la H1N1. Toutefois, les risques d’hospitalisation ne changeaient pas.
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Des protéines contre la grippe A (H1N1)

La pandémie de grippe A (H1N1) aura motivé les scientifiques dans leur recherche. Selon le magazine Cell, des chercheurs américains viennent de découvrir que des protéines humaines seraient très efficaces contre le virus.

Deux études ont permis de découvrir qu’une dizaine de protéines majeures du virus interfèrent avec trop de protéines humaines, plus qu’on ne le croyait au départ. On croit que 1 745 gènes humains pourraient être impliqués dans une interaction avec le virus.

Les protéines appelées IFITM jouent toutefois un rôle majeur pour enrayer l’infection. Non seulement elles luttent contre le virus, mais elles programment une riposte efficace. Les chercheurs pensent qu’en augmentant ce type de protéines dans le corps, on arriverait à bloquer totalement l’infection.

Cette découverte pourrait mener à des traitements plus efficaces, mais aiderait aussi à ralentir la propagation du virus. La H1N1 se propage rapidement et c’est ce qui a posé problème à travers le monde.

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Le vaccin contre la grippe saisonnière serait efficace contre le H1N1.

Une étude mexicaine révèle que le vaccin 2008-2009 contre la grippe saisonnière serait assez efficace pour contrer le virus H1N1, notamment dans ses formes les plus sévères.

Publiée dans le Britsh Medical Journal, l’étude a comparé 60 personnes atteintes par la maladie et 180 personnes ayant d’autres problèmes de santé. Chez le groupe de personnes non infectées, on a constaté qu’elles avaient majoritairement reçu le vaccin de la grippe saisonnière. De plus, il y avait moins de décès dans ce groupe.

Toutefois, l’équipe de chercheurs mentionne que ces résultats préliminaires ne démontrent pas que le vaccin saisonnier doit remplacer le vaccin spécial pour la grippe H1N1.

L’échantillon de personnes étudiées est limité et particulier, car les patients étaient tous d’un hôpital spécialisé en maladies respiratoires. Les résultats doivent donc encore être considérés avec prudence.

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Un vaccin pour les femmes enceintes

La Dre Anne Schuchat, du Centre de contrôle et de prévention des maladies infectieuses aux États-Unis, recommande que les femmes enceintes et les nouveaux parents soient vaccinés contre l’influenza A (H1N1) afin de se protéger eux-mêmes et leurs enfants.

Cette vaccination devrait être effectuée, peu importe le stade de la grossesse. Déjà, plusieurs États américains procèdent à des campagnes de vaccination contre la grippe saisonnière et les autorités sanitaires attendent avec impatience la distribution du nouveau vaccin contre la grippe H1N1, qui devrait être sur le marché en octobre prochain.

Rappelons que l’on recommande de se faire vacciner pour la grippe saisonnière et pour la grippe H1N1, sans attendre de recevoir les deux vaccins en même temps.

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Maladie contagieuse pour Rupert Grint

Celui qui incarne le personnage de Ron Weasley dans les films de la franchise Harry Potter, Rupert Grint, est la première célébrité à confirmer avoir souffert de l’influenza A (H1N1).

Le jeune acteur de 20 ans a contracté le virus lors du tournage de Harry Potter and the Deathly Hallows, mais pourra être de la première londonienne du film Harry Potter and the Half-Blood Prince qui aura lieu demain (7 juillet).

« Nous vous confirmons que Rupert Grint a pris quelques jours de repos lors du tournage en raison de la grippe A (H1N1), qui n’en était qu’à un stade léger. Il est désormais guéri et se prépare à joindre les autres membres de la distribution afin de participer à la promotion du film cette semaine », a fait savoir à People le porte-parole de la star.

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Grippe H1N1 : un premier décès au Québec

Une femme âgée de plus de 65 ans de la région de Québec est décédée vendredi dernier (5 juin) après avoir contracté le virus H1N1, nous a appris le Dr Alain Poirier, directeur national de la santé publique.

Il s’agit du premier décès au Québec, alors que plus de 540 cas ont été répertoriés jusqu’ici.

La dame était « apparemment en bonne santé » et s’est présentée à l’hôpital pour un problème respiratoire aigu. Après un traitement de trois jours contre une pneumonie bactérienne, une analyse a finalement révélé que la patiente avait contracté l’influenza A (H1N1).

Bien que la patiente n’ait pas voyagé au cours des derniers mois, son entourage est surveillé de près, soutient le Dr Poirier.

« Les mesures ne changent pas. L’évolution est plus triste dans ce cas-ci. On parle d’un premier décès sur plus de 500 cas. Dans une année d’influenza saisonnière, on peut aller jusqu’à quelques milliers de décès. C’est une triste histoire pour la famille, mais pour les mesures générales à la population, il n’y a pas de changement », a conclu M. Poirier.