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Le cerveau des enfants bilingues est meilleur

Radio-Canada rapporte qu’une étude de l’Université York de Toronto, effectuée auprès de 104 enfants de 6 ans, démontre que les jeunes qui apprennent deux langues, quelles qu’elles soient, saisissent mieux la structure d’une langue. Cette assimilation serait d’ailleurs une habileté importante, en matière d’alphabétisation.

Même si certains sont portés à dire que les enfants bilingues rencontrent plus de difficultés à maîtriser le vocabulaire, il semblerait que le bilinguisme leur procure un avantage marqué en ce qui a trait aux habiletés cognitives supérieures et au développement cérébral.

Rappelons que des chercheurs de l’Institut Rotman de Toronto avaient démontré, en 2010, que le fait de parler deux langues quotidiennement retardait de plusieurs années l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes âgées.

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Le cerveau des enfants bilingues est meilleur

Radio-Canada rapporte qu’une étude de l’Université York de Toronto, effectuée auprès de 104 enfants de 6 ans, démontre que les jeunes qui apprennent deux langues, quelles qu’elles soient, saisissent mieux la structure d’une langue. Cette assimilation serait d’ailleurs une habileté importante, en matière d’alphabétisation.

Même si certains sont portés à dire que les enfants bilingues rencontrent plus de difficultés à maîtriser le vocabulaire, il semblerait que le bilinguisme leur procure un avantage marqué en ce qui a trait aux habiletés cognitives supérieures et au développement cérébral.

Rappelons que des chercheurs de l’Institut Rotman de Toronto avaient démontré, en 2010, que le fait de parler deux langues quotidiennement retardait de plusieurs années l’apparition de la maladie d’Alzheimer chez les personnes âgées.

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Impacts de la famille sur les enfants

Il semble, selon une étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health, qu’une pauvreté constante pourrait avoir un impact sur les habiletés cognitives d’un enfant.

C’est la conclusion épineuse à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Institut de l’éducation de l’Université de Londres après avoir analysé les résultats d’un sondage effectué auprès de 18 553 familles au départ. Les 18 819 enfants sur lesquels portait ce sondage étaient nés entre septembre 2000 et janvier 2002.
 
Les questions portaient directement sur les habiletés cognitives des enfants une fois qu’ils ont eu cinq ans, en 2006. On a par ailleurs pu relever des données signifiantes quant à la relation des enfants avec leur mère.
 
Donc, la pauvreté pourrait avoir des répercussions sur la cognition. L’instabilité familiale ne semble pas avoir d’impact en particulier, après que l’on ait tenu compte de la pauvreté, de l’éducation parentale, de l’âge de la mère et des caractéristiques propres à chaque enfant.
 
Ainsi, il semble que selon cette recherche, les enfants qui grandissaient au sein d’une famille de deux parents avaient présenté de meilleures capacités cognitives que ceux qui vivaient avec un seul parent ou qui avaient vécu des changements dans leur structure familiale.

Les chercheurs ont conclu que vivre dans la pauvreté avait un impact marqué sur la cognition d’un enfant de cinq ans, plus que la vie familiale en général.