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Un dirigeant de Cola-Cola croit qu’il est temps de changer les choses

Incroyable revirement de situation, ou subite crise de conscience, alors qu’un des grands dirigeants de l’une des compagnies productrices de boissons gazeuses les plus connues au monde sort de l’ombre et donne son opinion concernant les habitudes alimentaires de ses clients, et sur les changements qu’il souhaite voir se produire dans le futur.

Cet homme, c’est James Quincey, rapporte le Daily Mail (UK), président de Coca-Cola pour le territoire européen.

Quincey affirme en entrevue que « les choses doivent changer », concédant que les grands formats de boissons gazeuses devraient être relégués aux oubliettes, et que les gens doivent se conscientiser davantage aux portions astronomiques de sucre que contient ce genre de produit, dont le sien.

« Les gens ne réalisent pas toujours combien de sucre renferme une boisson gazeuse. Les grands formats doivent être réduits », lance James Quincey, avant d’ajouter dans un soudain regain de lucidité professionnelle que son produit n’est pas plus calorique qu’un « croissant ou un capucino ».

Ces déclarations de la part d’un dirigeant de Cola-Cola semblent aller de pair avec certains des efforts récents de l’entreprise pour lutter contre l’obésité, un geste perçu par plusieurs comme fort hypocrite.

Un « petit contenant » de boisson gazeuse comme le Coke vendu au cinéma contiendrait 23 cuillères à thé de sucre, alors qu’un « grand contenant » en comprenant 44.

De quoi donner des armes à Michael Bloomberg!

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Les habitudes de sommeil à travers le monde

Un nouveau sondage international dévoile les habitudes de sommeil des différents pays dans le monde, rapporte le Daily Mail (UK), et propose des constats intéressants.

Ainsi, on apprend que plus d’un tiers des Britanniques aiment boire des boissons chaudes au lit et préfèrent dormir complètement nus! Les Mexicains, quant à eux, méditent ou prient avant d’aller au lit, alors que les Japonais ne semblent pas changer souvent les draps…

L’étude-sondage comparait les habitudes de sommeil des citoyens du Canada, des États-Unis, du Mexique, de l’Allemagne, de l’Angleterre et du Japon. Elle s’avère le premier exercice du genre proposé par la National Sleep Foundation.

En termes de durée de sommeil maintenant, il appert que les Britanniques dorment moins de sept heures par nuit, comparativement à sept heures pour l’Allemagne. Ce sont les Japonais qui dormiraient le moins, avec une moyenne de six heures et des poussières par nuit, soit juste un peu moins que les Américains, les Allemands et les Canadiens.

Le Canada semble d’ailleurs être le pays où la plus grande proportion de la population dort suffisamment!

Les chercheurs et spécialistes qui analysent les résultats de l’étude s’en amusent et répètent l’importance de dormir plus de sept heures par nuit, car le sommeil est souvent intrinsèquement lié à l’état de santé.

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Près de 60% des cas de cancer de l’utérus pourraient être évités

Ce sont des statistiques spectaculaires et étonnantes que dévoile ici MedicalXpress, alors qu’un nouveau rapport prétend que 60 % des cas de cancer de l’utérus seraient en fait évitables grâce à l’adoption de nouvelles habitudes de vie.

On connaît bien les bienfaits et vertus sur la santé de l’exercice physique et d’une saine alimentation, mais la démonstration d’une possible prévention de plus de la moitié des cas de ce type de cancer est étonnante.

59 %, pour être précis, des diagnostics de cancer de l’utérus pourraient être évités chez si les femmes susceptibles de le développer faisaient attention à ce qu’elles mangent et pratiquaient 30 minutes d’activité physique par jour, en moyenne.

C’est le constat que propose un rapport déposé par l’American Institute for Cancer Research (AICR), en collaboration avec le World Cancer Research Fund International, le 10 septembre dernier.

« Le gras corporel peut produire des hormones qui favorisent le développement du cancer. On sait aussi que le taux de gras est relié aux inflammations chroniques, qui produit un environnement qui encourage le développement du cancer », résume Alice Bender de l’AICR.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

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15 h : l’heure fatidique au travail

Si vous devenez inopérant, obsolète dans vos fonctions professionnelles lorsque sonne 15 h, vous n’êtes probablement pas seul, rapporte Top Santé

Selon une étude britannique, 14 h 55 serait le dernier moment de productivité ressenti par les 400 travailleurs interrogés par les chercheurs anglais, ce qui démontre une tendance.

Il s’agit bien sûr d’une moyenne établie par l’équipe de recherche, qui a constaté qu’il serait certainement plus utile de prendre une pause pour se dégourdir ou pour se faire un café que de tenter de pousser la machine en milieu d’après-midi.

De plus, les chercheurs découvrent certains cycles de travail qui leur permettent de conclure deux choses : « La plupart du temps, si les personnes ont un élan d’énergie et abattent beaucoup de travail en une heure, ils ont tendance à être en sous-régime les deux heures suivantes. On recommande de prendre plusieurs petites pauses de cinq minutes pendant la journée ».

Michael Davies, qui dirige l’étude, croit donc qu’il ne faut pas lutter contre ce que l’on ressent, notamment lors des baisses de régime, qu’elles soient à 15 h ou ailleurs dans la journée.

Il termine en expliquant : « Nous connaissons tous des pics et de creux de productivité, mais l’astuce est de maintenir un niveau de travail constant plutôt que d’osciller d’un extrême à l’autre ».

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Les habitudes alimentaires au travail blâmées dans le dossier de l’obésité

Le dossier du surpoids en Amérique du Nord ne cesse de faire jaser et d’alimenter les pages web spécialisées en santé et en nutrition.

On cherche des coupables, des solutions, et voilà qu’une nouvelle théorie vient d’être émise par des sondeurs de la compagnie CareerBuilder, une théorie rapportée par le Daily Mail (UK) notamment.

C’est après avoir réalisé un sondage auprès de 3700 travailleurs que les chercheurs sondeurs ont commencé à apercevoir des similitudes entre certaines réponses.

Ainsi, les habitudes alimentaires au travail pourraient être responsables dans certains cas de surpoids ou d’obésité. Notamment, on parle du manque d’activité physique découlant d’emplois statiques ou de bureau, en plus de l’absence de gym ou de temps, tout simplement.

Puis, les fameux 5 à 7 sont aussi ciblés, en plus des nombreuses sucreries rapportées sur les lieux de travail, comme les beignes.

Au final, 55 % des répondants affirment afficher un surpoids, et 41 % d’entre eux blâment directement leur actuel emploi pour cette prise de poids!

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Quand le stress ramène aux bonnes habitudes

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le stress qui dévoile des informations pertinentes concernant la gestion du stress et des habitudes qui en découlent.

On apprend que le fait d’être stressé ne mène pas toujours à de vilaines habitudes, mais parfois aussi à de bonnes. Encore faut-il en avoir déjà eu, explique notamment Wendy Bois, qui dirige l’étude en compagnie de David Neal.

Selon ces chercheurs, qui ont analysé les cas de plusieurs sujets au cours de cette étude, l’humain aurait tendance à se cacher derrière les habitudes du passé en situation accrue de stress.

Ainsi, quelqu’un qui a un passé de mauvaise alimentation pourrait se remettre à manger de façon malsaine, mais un ancien sportif pourrait tout aussi bien se remettre à la course…

Les chercheurs croient donc, en conclusion, que la meilleure arme en gestion de stress ne serait pas tant de tenter de contrôler cette émotion, mais plutôt de voir à ce que les habitudes adoptées soient bonnes pour la santé.

Lorsque vous êtes trop fatigué pour expérimenter de nouvelles méthodes, la prochaine situation stressante vous donnerait donc l’envie de reprendre d’anciennes habitudes. D’en adopter de nouvelles pourrait donc être bénéfique pour l’avenir!

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Comment contrer la faim et les mauvaises habitudes alimentaires au travail

The National Library of Medicine rapporte des suggestions offertes par l’ American Council on Exercise afin de vous aider à maintenir vos bonnes habitudes alimentaires, même au travail.

Souvent, le stress et le manque de temps vont mener à des écarts de conduite nutritionnels, et on craque trop souvent pour la nourriture proposée dans les machines distributrices ou encore pour ce deuxième beignet juste avant le dîner…

Pour éviter tout cela, on conseille donc de créer un plan précis pour vos repas consommés sur votre lieu de travail et d’éviter d’en déroger. De plus, surveillez les menus de votre cafétéria pour savoir quelles sont les journées à éviter.

On conseille vivement de préparer vos repas, surtout les collations, et de ne pas vous retrouver avec des décisions alimentaires de dernière minute.

De plus, on rappelle qu’il est important de manger à sa faim et de ne pas se priver, afin de ne pas tomber dans les collations inutiles par la suite. En mangeant des repas sains composés notamment de légumes, on peut manger à satiété sans remords.

Pour terminer, on rappelle l’importance d’un déjeuner complet et équilibré, afin de démarrer la journée en lion… et non en lion affamé!

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Les enseignants doivent prêcher par l’exemple en matière de nutrition

Une nouvelle étude, rapportée par The National Library of Medicine, constate que les enseignants se nourrissent souvent très mal, ce qui ne cadre pas avec le message envoyé aux jeunes qu’ils guident.

Prêcher par l’exemple, voilà ce que conseille l’Association américaine de la santé, alors que les sondages effectués dans le cadre de cette nouvelle étude démontrent des habitudes alimentaires désastreuses chez plusieurs membres de corps professoraux.

C’est notamment le cas chez les enseignants préscolaires, qui ne donneraient pas le bon exemple en matière de nutrition. Comment convaincre de jeunes enfants d’adopter de saines habitudes de vie si leur environnement n’en contient pas? Voilà la question que posent les chercheurs.

Appelés à répondre à certaines questions d’ordre général concernant l’alimentation, près de 97 % des enseignants n’ont pu répondre correctement qu’à trois questions ou moins, ce qui trouble les auteurs de l’étude.

Ces derniers, qui publiaient ces révélations dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, croient qu’il faut sensibiliser les professeurs à la cause, pour le bien des enfants… et le leur.