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Un défi boîte à lunch santé qui influence les habitudes alimentaires des enfants

Selon ce que rapporte Medical News Today, les enfants prennent rapidement du poids pendant le congé scolaire d’été. Le choix d’aliments des parents est le grand responsable.

Un groupe de chercheurs de l’Université de la Caroline du Sud a décidé d’utiliser les programmes de camps de jour d’été pour remédier à la situation.

Ils ont établi le Healthy Lunchbox Challenge (HLC), une théorie innovatrice basée sur la récompense lorsque les enfants apportent les bons aliments dans leur boîte à lunch. Le programme a été déployé à grande échelle et a donné d’excellents résultats.

Le HLC est peu coûteux, et donc très facilement adaptable à n’importe quel camp de jour. Il contient 2 volets : l’enseignement des bonnes pratiques aux parents et éducateurs, puis le programme incitatif pour les enfants.

Michael W. Beets et ses collègues, responsables de l’étude, ont obtenu des résultats très probants. Sur les 2000 enfants observés, la moitié participait au HLC. Ceux-ci ont apporté en proportion 12 % plus de fruits frais et 11 % plus de légumes. Ils ont aussi noté une forte participation des employés des camps de jour et une grosse diminution des collations inappropriées (31 %).

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Les efforts pour contrer l’obésité des jeunes commencent à porter des fruits

C’est Medical News Today qui rapporte ces données encourageantes. Bien que l’obésité infantile demeure préoccupante, les résultats sont tout de même encourageants.

En 2010, selon les centres de prévention et de contrôle des maladies, aux États-Unis, plus d’un tiers des enfants et adolescents présentaient un surplus de poids ou étaient déjà obèses. Cependant, entre 2008 et 2011, à la suite de mesures prises par le système de santé, le taux d’obésité a chuté dans 19 États.

La nouvelle étude menée par Eunice Kennedy au National Institute of Child Health and Human Development, à Bethesda, offre des résultats appréciables. Les données récoltées auprès de 35 000 enfants et adolescents démontrent qu’entre 2001 et 2009, les habitudes alimentaires et l’exercice physique ont pris une plus grande place chez les jeunes.

Par exemple, en 2001, la consommation de fruits et de légumes était présente de 2 à 4 jours par semaine. En 2009, elle a grimpé de 5 à 6 jours. D’autre part, les jeunes sont désormais plus conscients de l’importance de manger un déjeuner et consomment moins de boissons sucrées.

Bien que l’exercice soit encore loin de l’heure par jour recommandée, les jeunes ont tout de même augmenté de 4,33 à 4,53 les heures d’activité physique par semaine. De même, le temps passé devant la télévision a diminué.

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Les bonnes habitudes alimentaires conditionnées dès la maternité?

Une étude brésilienne montre qu’en évitant le stress aux nourrissons (dans l’étude il était question de bébés rats), les sujets se tournaient moins vers des aliments très gras et sucrés pour se rassurer plus tard dans la vie.

Il n’est pas rare de se réfugier vers l’alimentation pour se rassurer en cas de stress émotionnel, et dans ce cas, on opte le plus souvent pour des aliments sucrés et caloriques, et non pas des fruits et légumes.

Il semblerait que ce ne soit pas qu’une réponse psychologique, car des scientifiques ont découvert que le stress chronique à l’âge adulte pouvait aussi déclencher des réponses hormonales et pousser les gens (surtout les femmes) à la malbouffe, juste pour compenser.

Pour mener leurs recherches, des chercheurs de l’Universidade Federal do Rio Grande do Sol ont exposé une portée de bébés rats à une nidification réduite, ce qui correspond une forte dose de stress alors qu’ils venaient de naître.

Ils ont ensuite mesuré leur anxiété comportementale et leurs réactions au stress à l’âge adulte, ainsi que leur consommation d’aliments très gras et sucrés sur une durée de quatre jours.

Leurs résultats ont montré que le fait d’exposer les rongeurs au stress dès leur plus jeune âge avait un impact mesurable sur leur vie adulte, car il augmentait leur réponse hormonale au stress sous la forme de pics de corticostérone, et entraînait un penchant pour les aliments très caloriques.

Les chercheurs ont commenté ces conclusions en expliquant qu’elles pourraient avoir des implications sur la nutrition au tout début de la vie, surtout chez les nouveau-nés arrivés au monde dans des conditions stressantes, atteints d’une maladie ou en sous-poids à la naissance.

Cette étude a été présentée lors du congrès annuel de la Society for the Study of Ingestive Behavior de La Nouvelle-Orléans la semaine dernière.

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Comment faire pour que son enfant mange bien?

Des chercheurs de l’Université du Michigan révèlent dans l’American Journal of Clinical Nutrition que les enfants des mères qui se goinfrent de malbouffe ont un mauvais exemple et ainsi plus de risques d’adopter de mauvaises habitudes alimentaires.

Les mères qui sont restrictives, crient ou obligent leurs enfants à manger certains aliments risquent de connaître un moins grand succès que celles qui amadouent et encouragent, explique l’auteure principale de l’étude et professeure experte en nutrition, Sharon Hoerr, qui a observé les habitudes alimentaires de familles à faible revenu.

Mme Hoerr affirme que les femmes qui désirent voir leurs enfants bien manger devraient fournir un environnement alimentaire sain à la maison. Ainsi, elles ne seraient pas obligées de restreindre, contrôler secrètement ou surveiller leurs petits, tentés par la malbouffe.

Elle rappelle qu’interdire certains aliments à l’heure du repas peut conduire l’enfant à mal se nourrir, mais aussi à devenir difficile. Avec ce type d’enfants, il est mieux d’expliquer doucement l’importance de bien manger que de forcer ou de crier.

Maintenir un horaire régulier pour les heures de repas et donner de petites collations santé fréquentes durant la journée favorise également la situation, tout comme faire participer les enfants à faire le marché, cuisiner ou faire pousser des légumes dans la cour.

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Pratiques alimentaires de bébé : lancement d’une première étude française

Pour la première fois, en France, l’Unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (Usen) est chargée de réaliser une étude nationale sur les pratiques alimentaires des bébés durant leur première année de vie.

Cette étude est maintenant lancée depuis quelques heures. Baptisée Epifane 2011-2013, celle-ci évaluera 3500 mères qui ont accouché dans l’une des 140 unités périnatales choisies au hasard en France, entre la mi-janvier et la mi-mars 2012.

Cette enquête permettra de mieux cerner les besoins des enfants en matière d’alimentation et servira à sensibiliser les mères.

L’étude permettra aussi de déterminer la durée et la fréquence de l’allaitement maternel avant que l’enfant ait un an, mais également la période charnière de la diversification alimentaire, explique LeParisien.fr.

Les nouvelles mamans devront répondre à un questionnaire lors de leur séjour à l’hôpital, puis elles seront suivies par l’intermédiaire d’entretiens téléphoniques ou de questionnaires sur Internet, quatre fois par an.

Outre l’alimentation, les données recueillies porteront également sur la santé de la mère et de l’enfant. Les premiers résultats seront ensuite rendus publics à l’automne 2012.

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Changer ses habitudes alimentaires pour vaincre les virus saisonniers

Avec la saison des rhumes et de la grippe, et les fêtes de fin d’année qui approchent, le dernier cadeau que l’on souhaite recevoir, c’est bien un virus.
 
Saviez-vous que de simples modifications de votre alimentation peuvent vous aider à tenir les virus du rhume et de la grippe à l’écart?
Selon un sondage du Florida Department Of Citrus (FDOC), 67 % des Québécois n’adaptent pas leur régime alimentaire pour vaincre les maladies saisonnières. Pourtant, ce serait très simple.
 
« Un régime alimentaire nutritif joue un rôle essentiel au maintien du bien-être physique et psychologique », dit la nutritionniste du FDOC, Lydia Knorr, dans un communiqué.
 
« Le simple fait d’augmenter votre consommation de fruits frais en saison, avec des pamplemousses de la Floride, par exemple, peut atténuer la sensation de léthargie associée aux mois d’hiver, vous donner naturellement un surcroît d’énergie et vous aider à profiter d’éléments nutritifs essentiels comme la vitamine C. »
 
Aussi le milieu de travail est sans doute le plus propice à la contagion, mais seulement 4 % des Québécois demeurent à la maison s’ils sont malades. De plus, 16 % des répondants croient que le stress et la fatigue ouvrent la porte au rhume et à la grippe.
 
Pour vous aider à contrer ces virus toute l’année, on recommande notamment d’ajouter des agrumes à votre alimentation.
 
« Boire un verre de jus d’orange de la Floride ou manger un pamplemousse entier au petit-déjeuner est un moyen simple et nutritif de fournir à votre organisme les vitamines, les minéraux et les antioxydants qui pourront l’aider à combattre les rhumes et la grippe. La vitamine C contenue dans un agrume peut stimuler la capacité naturelle de l’organisme à combattre les infections et contribuer à garder votre système immunitaire en pleine forme cet hiver », ajoute Mme Knorr.
 
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Papa n’a pas toujours raison

Une recherche américaine parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior nous indique que le père aurait finalement un impact plus grand que la mère quant aux risques d’obésité de leur progéniture.

Conséquemment, un papa qui fréquente couramment des chaînes de restauration rapide aura plus souvent des enfants qui suivent cette même habitude.
 
Durant 15 mois, on a observé les choix alimentaires de parents ainsi que leur façon de passer du temps avec leurs enfants. Des études précédentes avaient déjà établi un lien entre la consommation de mets préparé en restauration rapide et l’obésité infantile.

Ce que l’on remarque de nouveau, dans ce cas-ci, c’est que le choix de restaurant serait lié à l’obésité. Il y a fort à parier que des discussions naîtront au sein des familles lorsque papa décidera du lieu de sortie pour sa journée bien à lui…

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Maigrir sans une diète stricte

Bien que les régimes soient de plus en plus populaires, trop peu de gens essaient les manières les plus simples de perdre du poids. Selon MedicMagic, changer quelques habitudes alimentaires nous permettra de brûler des graisses.

Nous savons déjà que manger des légumes et des grains entiers est excellent pour la ligne. De plus, on nous rappelle de manger plus lentement et de limiter notre consommation d’alcool.
 
Un bon truc auquel on ne pense pas toujours est d’apporter notre lunch. Que ce soit au travail ou lors d’une activité de loisir, cela nous évitera les repas au restaurant et surtout, dans une cafétéria. Si l’on mange au restaurant, on commande une moins grande portion ou l’on partage des plats.
 
Le thé vert, selon différentes études, augmenterait la capacité du corps à brûler des graisses. Il semble aussi que se rappeler sur une base régulière la robe ou la paire de jeans que l’on souhaiter porter de nouveau est très efficace…

Finalement, faire de l’exercice, bien entendu. Il peut ne s’agir que de marcher un ou deux kilomètres. Il semble, selon une étude, que marcher durant 20 minutes par jour peut brûler 100 calories de plus qu’à l’habitude. Il serait donc bon de repenser nos habitudes de vie et d’inclure quelques trajets à pied.

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Bémol de l’allaitement : les caries

Bien que l’on parle habituellement des bienfaits de l’allaitement sur la santé du bébé, allant jusqu’à faire la preuve qu’il peut augmenter les résultats scolaires, on lui découvre maintenant un aspect négatif.

Dans le cadre d’une étude brésilienne cherchant à trouver les causes du développement de la carie chez l’enfant de quatre ans, l’allaitement a été pointé du doigt, apprenons-nous sur Nutrinews hebdo.
 
Le plus souvent, on accuse le biberon ou la suce quant à l’apparition de caries. Pourtant, en analysant les habitudes alimentaires de bébés de moins d’un an, on a remarqué que l’allaitement en serait encore plus responsable.
 
En effet, il semble que la première cause de la carie serait d’allaiter plus de sept fois par jour.

Par la suite, en ordre d’importance, on trouve le trop grand nombre de repas par jour, c’est-à-dire plus de huit, puis le biberon. Il s’agit toutefois des biberons ne contenant pas de lait, mais de l’eau ou du jus.

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Calmez-vous votre enfant en le nourrissant?

Le réflexe de donner de la nourriture à un enfant pour le calmer semble si courant que l’on mené une étude sur le sujet. En effet, on peut lire sur Nutrinews hebdo qu’une expérience en laboratoire a été réalisée sur des enfants de trois à cinq ans.

Or, les résultats de cette étude ont prouvé qu’il s’agit là d’une très mauvaise façon de régler des problèmes émotionnels. Au contraire, elle ferait naître chez l’enfant de bien mauvaises habitudes alimentaires.

En effet, l’enfant aura tendance, une fois adulte, à grignoter même lorsqu’il n’aura pas faim. De plus, il risque de connaître des problèmes de consommation alimentaire. Dès qu’il vivra une anxiété, il sera porté à manger pour se détendre.

C’est que le plus souvent, on donne un morceau de gâteau ou des sucreries – bref, quelque chose que nous trouvons réconfortant – à l’enfant pour qu’il se calme. Ce dernier aura donc tendance à associer ce type de nourriture au réconfort et à une solution à des problèmes émotionnels.

Il est donc recommandé d’éviter de genre de comportement et de plutôt chercher à régler l’excitation d’un enfant d’une autre manière, en lui proposant une activité relaxante par exemple.