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L’influence de la mère, même au déjeuner

Une maman qui déjeune a aussi de bonnes habitudes alimentaires et a un poids santé. De plus, le saut du déjeuner et la tendance à manger des collations caloriques constituent des exemples transmis à l’enfant, d’où le passage de l’obésité d’une génération à l’autre.

Ce sont là quelques conclusions d’une récente étude ayant porté sur la prévention de l’obésité de l’École Brown de l’Université Washington à St-Louis. Pour ce faire, on a suivi 1 330 adolescentes en période de postpartum réparties dans 27 États américains.

Les participantes devaient rendre compte de ce qu’elles avaient mangé au déjeuner, à la collation et ce qu’elles avaient bu comme boissons, et ce, sur sept jours.

On a vite remarqué que celles qui déjeunaient de 6 à 7 jours par semaine ingéraient 1 197 kilocalories de moins en collation et 1 337 kilocalories par semaine de moins en boissons gazeuses. De plus, elles avaient un indice de masse corporelle inférieur à celles qui déjeunaient moins de deux jours par semaine.

Finalement, les fruits et légumes, le lait, l’eau et les céréales à l’heure de la collation étaient plus fréquents chez les jeunes mères qui déjeunaient.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans le Journal of the American Dietetic.

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L’alimentation de la mère et celle de l’enfant

Si une femme ne mange pas ses portions de fruits et légumes quatre fois ou plus par semaine, il semble que son enfant ne le fera pas non plus.

De plus, il serait porté à ne pas atteindre ce seuil dans son alimentation si sa mère le considère comme un enfant aux goûts difficiles.

C’est le constat d’une récente étude de l’Université du Michigan, parue dans Public Health Nursing, qui a porté sur 400 mères de famille ayant des enfants âgés de 1 à 3 ans.

On a aussi remarqué quelques différences selon la nationalité, car il semble qu’il soit culturel de considérer les goûts d’un enfant comme difficiles à combler ou non.

D’autres études récentes avaient pourtant révélé que les parents n’avaient qu’une faible influence sur l’alimentation de leurs enfants.

Toutefois, il semble que la mère joue tout de même un rôle assez important, même après la grossesse. Le point central serait sa perception de la nourriture et celle qu’elle a des habitudes de son enfant.

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Treize fois plus d’enfants constipés chez ceux qui n’aiment pas les fruits et légumes

Des chercheurs de l’Université polytechnique de Hong Kong ont étudié 383 enfants âgés de 8 à 10 ans.

Selon leurs résultats parus dans le Journal of Clinical Nursing, les enfants qui n’aiment pas les fruits et les légumes ont 13 fois plus de risques de développer une constipation régulière.

De plus, il semblerait que ne pas boire au moins 400 ml de liquide chaque jour augmenterait les risques.

Parmi les participants de l’étude, 7 % souffraient de constipation régulière. Il y avait aussi une différence marquée dans les habitudes alimentaires de ceux qui en étaient atteints et les autres.

Toujours selon ces chercheurs, 95 % des enfants souffrant de constipation régulière en souffriront encore à l’âge adulte.

Il semble par ailleurs que chez les enfants, le nombre de cas dus aux habitudes alimentaires, au mode de vie et à des facteurs psychosociaux est en hausse depuis quelques années.

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L’influence des parents n’est pas si forte sur les habitudes alimentaires de leur enfant

Des chercheurs de l’École de santé publique Johns Hopkins à Bloomberg, aux États-Unis, ont passé en revue la littérature des dernières années quant à l’influence des parents sur l’alimentation de leur progéniture.

Il semble que les parents aient une influence bien plus mince que la croyance populaire le veut. Plusieurs autres facteurs s’ajoutent, dont les aliments offerts dans son milieu de vie et les initiatives gouvernementales quant aux repas à l’école, entre autres.

Parue dans le Journal of Epidemiology and Community, l’étude s’est faite en collaboration avec une université espagnole et elle a porté sur des résultats de recherches s’étendant de 1989 à 2009.

On a comparé différents jumelages, comme de mère à fille, de père à fils, etc., ainsi que les différentes régions du monde, les méthodes d’évaluation de l’alimentation, et ce, à travers le temps.

Cette recherche nous aidera donc à mieux comprendre comment les habitudes alimentaires peuvent être apprises par l’enfant et à quel degré elles proviennent de chacune des sphères ci-haut mentionnées.

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66 jours pour modifier les vieilles habitudes

Pour tous ceux qui tentent de modifier leur façon de se nourrir afin de perdre du poids par exemple, sachez qu’il vous faudra beaucoup de patience.
 
Selon une étude du University College de Londres, il faut en moyenne 66 jours avant de pouvoir changer ses habitudes. C’est le temps moyen requis pour que les nouvelles habitudes forcées deviennent des gestes naturels.
 
On a demandé aux participants de l’étude de manger un fruit comme dessert, de boire une bouteille d’eau complète au déjeuner et de courir quinze minutes en après-midi. Au bout de 66 jours, ces petits gestes sont devenus plus naturels dans leur quotidien, sans que cela soit aussi forcé qu’au début.
 
« Modifier ses habitudes alimentaires, dans un premier temps, exige de l’attention. Le geste n’est pas anodin. Mais à force de le répéter, il finit par devenir une habitude. Mais il faut, en moyenne, 66 jours pour que cette habitude soit naturelle », explique la professeure Jane Wardle.
 
Elle ajoute également qu’il est beaucoup plus facile d’inclure de nouvelles habitudes que de modifier celles que l’on a déjà.
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Les habitudes alimentaires se renouvellent

La compagnie Métro a effectué une étude auprès des Québécois afin de mieux connaître leurs habitudes de planification de menus, leurs comportements à l’épicerie et la préparation des repas.

En résumé, on a constaté que les habitudes se sont renouvelées et que la nouvelle génération y est pour beaucoup.

Malgré les horaires chargés, 76 % des familles disent se réunir à la table pour les soupers et tous mangent la même nourriture dans 88 % des cas. De plus, chaque semaine, cinq déjeuners et six soupers sont pris et préparés à la maison. Les 55 ans et plus associent la maison à une nourriture plus santé qui prolonge donc leur jeunesse.

Le tiers des Québécois passe en moyenne 34 minutes à préparer un repas, ce chiffre peut passer à 44 minutes le week-end.

Alors que le tiers des Québécois mentionne que la cuisine est une corvée et un enfer, le reste avoue y trouver du plaisir, y compris les hommes qui se disent tout aussi habiles que les femmes. 70 % des hommes de 18 à 34 ans en couple cuisinent et ils demeurent les maîtres du barbecue dans 79 % des cas.

2001 Québécois âgés de 18 à 64 ans ont répondu au sondage.