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La malbouffe devant la télévision est à proscrire

Pour chaque heure de télévision regardée par les enfants, leurs chances de manger un fruit sont réduites de 8 %. Ils portent aussi leur risque de manger une friandise à 18 %, et à 16 % leur risque de manger de la malbouffe, selon une étude de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Developpement.

Rendre plus accessibles de bons aliments serait un pas vers de plus saines habitudes chez les jeunes. Le fait est que les enfants sont plus exposés à des publicités concernant de la malbouffe que des fruits et des légumes.

L’étude a également démontré que les enfants ayant accès à des fruits qui regardaient la télévision avaient augmenté leur consommation de fruits.

« Bien sûr, un lien si étroit ne peut être fait entre le fait de regarder la télé et l’augmentation de la consommation de bonbons, de sodas et de malbouffe en général, mais cela suggère en quelque sorte que si vous mettez d’autres options accessibles à l’enfant — sans lui laisser d’options néfastes pour sa santé — il pourrait être encouragé à manger plus de fruits », explique l’une des deux auteures de la recherche, Leah Lipsky.

Rappelons que les publicités sur la malbouffe sont aussi présentes sur le Web. D’ailleurs, la British Heart Foundation a dénoncé les stratégies des marques pour vendre leurs produits que les enfants ne sont pas en mesure de comprendre convenablement, selon elle.

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Les enfants en exemple

On lit sur Medpage Today qu’une petite étude ayant porté sur une école privée du Brésil démontre que les enfants peuvent avoir un impact important sur la santé de leurs parents.

Précisément, les parents d’enfants à qui l’on offre un soutien éducatif visant à encourager de saines habitudes de vie ont beaucoup moins de risques de souffrir d’une maladie cardiovasculaire que les autres. Le comparatif est ici de 91 % moins de risques contre 13 %.

Ainsi, intervenir auprès de l’enfant quant à sa santé et son mode de vie aura des répercussions sur toute sa famille. À la suite de ces premiers résultats, on vise maintenant à étendre le programme au sein des écoles publiques.

Ce dernier consistait à accorder une heure par semaine à faire suivre aux enfants des leçons, spécialement conçues pour eux, qui portaient sur l’alimentation, les dangers du tabac et l’activité physique.

Les enfants qui suivaient ce programme, âgés de 6 à 10 ans, participaient à des jeux, écoutaient des films éducatifs, prenaient part à des ateliers culinaires et discutaient de ce qu’est un mode de vie sain.

Au total, 197 enfants et 323 parents ont fait partie de cette recherche, qui s’est étalée de mars à décembre 2010. D’autres suivront pour qualifier les effets à long terme de cette intervention.

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Donnons de bonnes habitudes aux tout-petits

Le Journal of the American Dietetic Association présente une revue des moyens d’action potentiels pour prévenir efficacement l’obésité chez les jeunes enfants. Des représentants de différentes instances de recherches américaines ont analysé 42 études pertinentes sur le sujet.

On soutient que la prise de saines habitudes de vie dès l’âge préscolaire aurait des impacts majeurs sur la santé générale de la population. Il s’agirait d’un moment clé pour faire découvrir les bienfaits de l’activité physique et d’une saine alimentation aux enfants.

Déjà, les chercheurs ont reconnu certaines possibilités afin de revoir les standards et mesures actuels. Il est temps d’agir, car en ce moment, de nombreux enfants de moins de cinq ans peuvent être déjà considérés comme obèses, aux États-Unis.

Au cours des trois dernières décennies, les garderies en sont venues à prendre le rôle de la famille en ce qui a trait aux habitudes alimentaires, d’où l’instauration de programmes dédiés.

Les parents devraient toutefois, selon les chercheurs, devenir les arbitres de l’alimentation de leur enfant et soutenir les changements qui pourraient s’opérer dans les programmes nutritionnels.

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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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Le visage en dit long sur l’enfance

On pourrait deviner l’enfance d’un adulte en analysant la symétrie de son visage, selon une étude parue dans l’Economics and Human Biology. Après l’analyse de 15 traits du visage, on a remarqué que l’asymétrie est un indice d’une enfance difficile.

Il semble que certains facteurs en particulier affectent les traits du visage d’une personne. On y compte l’exposition à la pollution et à la fumée de cigarette, la nutrition, la maladie et le statut socioéconomique.

Les habitudes de vie de même que la qualité de celle-ci seraient les critères les plus importants. De plus, une amélioration de la qualité de vie et l’accumulation de richesses ne changent rien à l’asymétrie du visage établie durant l’enfance.

Ces remarques ont été faites après que 292 visages aient été analysés. On peut se questionner comme parent quant à cette incidence et la qualité de vie de notre enfant.

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Ce sont les gènes qui permettraient de franchir les 100 ans

Une nouvelle étude effectuée sur 477 juifs ashkénazes de 95 à 122 ans, vivants de manière autonome, démontre qu’une grande longévité serait une question de gènes. 

Selon la revue de la Société américaine de gériatrie, ces personnes avaient un mode de vie similaire à la moyenne de la population. Leurs données ont été comparées à celles de 3 164 personnes nées durant la même période.
 
On constate que les personnes ayant vécu plus longtemps avaient consommé un peu plus d’alcool et fait moins d’exercice que la moyenne.
 
«Cette étude suggère que les centenaires doivent posséder des gènes de longévité supplémentaires qui leur servent de protection contre les effets nocifs d’un mode de vie peu sain. Bien que cette étude prouve que les centenaires peuvent être obèses, fumer et ne pas faire d’exercice, ces modes de vie ne sont guère conseillés pour la plupart des gens qui ne présentent pas de cas de longévité dans leur famille », explique Nir Barzilai, directeur de l’Institut de la recherche sur l’âge à la faculté de médecine de l’Université Yeshiva, à New York.
 
Dans l’étude, 24 % des hommes centenaires disaient avoir consommé de l’alcool tous les jours, alors que la moyenne générale est de 22 %. Alors que du côté de l’exercice physique, les plus âgés étaient 45 % à en avoir fait contre 57 % de la moyenne de la population.
 
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Habitudes de vie inquiétantes des Québécois

Conseils Nuitrition.tv a organisé un sondage en ligne pour découvrir les habitudes des Québécois face aux aliments.
 
Les résultats sont inquiétants et révèlent une relation malsaine avec l’alimentation comme dans plusieurs pays du globe. Les gens ont une mauvaise perception de leur apparence et adoptent des comportements néfastes.
 
Ainsi, l’étude révèle que 91 % des Québécois sont terrifiés à l’idée d’être gros. 94% disent se préoccuper des calories ingurgitées et 83 % se sentent coupables après avoir mangé.
 
De plus, 46 % disent s’être privés de nourriture alors qu’ils avaient faim, 33 % des personnes se pèsent plusieurs fois par jour et 39 % sont embarrassées de manger devant d’autres personnes. Finalement, 80 % des répondants disent manger lorsqu’ils sont tristes, déprimés, frustrés ou qu’ils s’ennuient.
 
Est-ce le résultat de la pression des médias qui prône la maigreur? Conseils Nutrition.tv affirme que la nouvelle tendance de 2010 devra être le bien-être. Au-delà de son poids, on doit prendre soin de soi et adopter des habitudes de vie saines qui ne mettent pas en péril notre santé.
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Les effets physiques des mauvaises habitudes de vie

Une étude effectuée sur de vrais jumeaux révèle que de mauvaises habitudes, comme l’exposition au soleil, le tabagisme, l’alcool, le stress et les régimes yo-yo, ont une incidence sur notre apparence physique.

Le Plastic and Reconstructive Surgery a donné comme exemple Jeanne et Susan, deux jumelles qui avaient la même apparence. Aujourd’hui, Susan paraît dix ans plus vieille que sa sœur, car elle a notamment profité du soleil de la Floride toute sa vie alors que Jeanne a évité les rayons et vit en Ohio. Susan a fumé un paquet de cigarettes et demi pendant 16 ans, alors que Jeanne n’y a jamais touché.

Cela prouve que nos habitudes de vie modifient grandement notre physique. On mentionne que plusieurs études sont aussi arrivées à ce genre de conclusion par le passé.

Aussi, une bonne nouvelle pour les femmes ayant un surplus de poids, cela aide à paraître plus jeune, car les rides sont atténuées. Toutefois, il se produit l’effet contraire sur les femmes de moins de 40 ans, car la mâchoire n’est pas définie et il y a un affaissement de la peau du visage.