Catégories
Uncategorized

Les hallucinations auditives de la schizophrénie démystifiées

Une percée intéressante aurait été effectuée par des chercheurs en matière de schizophrénie, alors que ceux-ci seraient parvenus à mieux comprendre et démystifier les hallucinations auditives qui découlent parfois de la maladie.

Les spécialistes américains du St. Jude Children’s Research Hospital se sont attardés à ce symptôme des plus étonnants et terrifiants, et seraient parvenus à établir une cause physique au phénomène, selon ce que rapporte Top Santé.

Après analyse, les chercheurs estiment que ces hallucinations pourraient être le résultat de l’absence d’un gène chez les patients souffrant de schizophrénie. Ce gène manquant impliquerait des transformations chimiques cérébrales et réduirait le flux d’information, en plus d’altérer le traitement normal des informations auditives par le cerveau.

« Nous pensons qu’en réduisant le flux d’informations entre ces deux structures cérébrales qui jouent un rôle central dans le traitement d’informations auditives, on peut réduire l’état de stress et les autres facteurs associés qui déclenchent les voix, qui sont le symptôme psychotique le plus courant de la schizophrénie », estime Stanislav Zakharenko, coauteur de la recherche.

Il s’agit d’une percée des plus intéressantes et prometteuses, dans la quête de traitements plus performants pour soigner les patients schizophrènes.

Les résultats de l’étude américaine ont été proposés dans le magazine Science.

Catégories
Uncategorized

Nouveau traitement futuriste et prometteur contre la schizophrénie

C’est toute une percée que rapportent plusieurs médias, dont Santé Log, alors que des chercheurs sont à mettre au point un système futuriste et prometteur qui permettrait d’améliorer le traitement de la schizophrénie.

Il s’agit d’un système virtuel de thérapie par visualisation, créé par des chercheurs de l’University College London, qui permet aux patients d’affronter leurs hallucinations grâce à la matérialisation physique de celles-ci.

En proposant une image de type avatar, un personnage virtuel qui possède la même voix que celle imaginée par un patient, ce dernier est à même de confronter l’entité créée de toutes pièces pour faire progresser sa thérapie.

Le patient contribue à créer le personnage et à lui donner la voix la plus ressemblante possible à celle entendue lors des crises, et peut ensuite dialoguer avec lui sous la surveillance d’un professionnel.

À mesure que le traitement avance, on rend le personnage virtuel de plus en plus agréable et de moins en moins agressif et effrayant. Au fil de plusieurs séances, le patient reprend progressivement le « contrôle » sur la représentation virtuelle, permettant ainsi une meilleure compréhension de son mal et une meilleure gestion du stress.

De plus vastes essais cliniques sont en cours, mais on se dit très optimiste face à cette nouvelle façon de faire.