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Une nouvelle définition pour le diagnostic de l’autisme?

Selon des experts, la définition révisée du diagnostic pour l’autisme pourrait affecter de manière significative la proportion de personnes qui sont admissibles à un diagnostic de trouble du spectre autistique.

Des chercheurs ont constaté que sur un groupe d’enfants sans déficience intellectuelle qui avaient été évalués en 1994, la moitié environ pourrait ne pas bénéficier d’un diagnostic de l’autisme aujourd’hui, si la nouvelle définition proposée était en fonction.

Pour ce faire, il faudra poursuivre les études, établir et approuver davantage les nouveaux critères décrivant l’autisme.

En 2013, les modifications proposées à la définition du diagnostic pourraient être publiées dans la cinquième édition de l’American Psychiatric Association (APA) Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-5).

Bien que les résultats soient encore préliminaires, les scientifiques tiennent à mentionner que leurs affirmations concernent uniquement les enfants qui ne sont pas atteints d’un handicap avancé ou grave.

Lors d’une réunion de l’Association islandaise des médecins, l’École de médecine de Yale a rendu publics les résultats des études de ses chercheurs. Leurs conclusions seront publiées dans l’édition imprimée d’avril du journal américain de l’Académie de pédopsychiatrie.

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Les enfants handicapés encore marginalisés

On croirait que les temps ont changé, mais la situation demeure difficile pour les enfants handicapés. Il semble qu’ils fassent encore l’objet d’une grave discrimination.

Selon une récente étude présentée sur Medical News Today, les enfants qui vivent avec un handicap sont encore marginalisés à l’école, mais aussi dans le milieu de la santé et des services sociaux.

Il semble que cette situation soit fréquente, même que certains subissent une exclusion, voire de la violence. Leurs principaux obstacles demeurent l’attitude des autres et des formes très répandues de discrimination institutionnelle.

On rappelle que les enfants vivant avec un handicap sont rarement autorisés à jouer avec les autres enfants ou à agir comme eux. La raison donnée relève des préoccupations quant à leur corps, que l’on considère comme inerte ou incontrôlable.

Bref, on évalue encore les enfants handicapés en fonction d’un manque à rattraper qu’ils présentent, en comparaison avec des enfants dits « normaux ».

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L’importance du sentiment d’appartenance chez les enfants vivant avec un handicap

La Dre Nancy Spencer-Cavaliere, une spécialiste de l’activité physique adaptée de l’Université de l’Alberta, a présenté les résultats d’un sondage réalisé auprès d’enfants vivant avec un handicap.

Elle les a questionnés sur la façon dont se déroulaient différentes activités, tels les sports d’équipe, la récréation et les vacances, sur comment ils y prenaient part.

Les résultats parus dans Adapted Physical Activity Quarterly nous apprennent sans surprise l’importance du sentiment d’appartenance au groupe et d’être accepté tel qu’il est pour l’enfant handicapé.

Le sentiment de rejet est bien sûr une chose assez courante, tout comme l’impression que ce sont les autres qui décident s’ils peuvent jouer avec eux ou non.

Le sondage de Mme Spencer-Cavaliere a aussi fait voir que ces enfants avaient tendance à répondre aux questions en utilisant la troisième personne, en proposant une théorie d’un enfant fictif au lieu de parler tout de suite d’eux-mêmes.

La période de récréation peut finalement être un réel défi pour eux, car ils souhaitent être reconnus comme des participants légitimes, qui ne devraient pas quémander pour faire partie du jeu.

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Une nouvelle percée dans les naissances prématurées

Des chercheurs de l’Université du Texas ont trouvé une nouvelle piste de solution pour empêcher les naissances prématurées.

Nous pouvons lire sur Futura-Sciences que les gènes seraient en cause. En effet, les chercheurs en question, dirigés par Carole Mendelson, ont tout d’abord observé l’expression des gènes durant les contractions.

Les gènes miR-200, une famille de microARN, seraient en cause. Durant la grossesse et lors de l’accouchement, ces gènes feraient croître les cellules utérines. Bien que ces dernières soient présentes dans le corps de la future maman depuis le début de la grossesse, elles avaient jusque-là été inhibées par d’autres gènes, les ZEB1 et ZEB2.

C’est lorsque la proportion de ces gènes s’inverse que l’accouchement survient. Les miR-200 se multiplient, contractant ainsi le muscle utérin.

Il s’agit maintenant de poursuivre les recherches sur les gènes miR-200 afin de trouver de nouvelles solutions pour réussir à retarder l’accouchement.

Rappelons que les naissances prématurées sont la cause de nombreux cas de mortalité et de handicaps.

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Le bon cholestérol, un anti-inflammatoire

Les données préliminaires d’une étude de l’Académie américaine de neurologie révèlent qu’un haut taux de HDL, le bon cholestérol, protègerait contre les handicaps liés à la sclérose en plaques.

Selon l’étude, les patients présentant un handicap avaient un faible taux de HDL.

Le HDL aurait des propriétés anti-inflammatoires qui seraient également bénéfiques contre les maladies inflammatoires chroniques.

L’étude suggère aux patients de faire vérifier leur taux de HDL et, s’il est faible, de revoir leurs habitudes alimentaires et d’en parler avec leur médecin.

Certains aliments, comme l’huile de poisson, augmentent le bon cholestérol.