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Yves P. Pelletier a été victime de harcèlement à l’époque de RBO

Yves P. Pelletier était sur le plateau de Salut Bonjour pour discuter de son prochain livre, intitulé Me suivez-vous?, en compagnie de Gino Chouinard.

C’est lors de cette entrevue que l’ancien membre de RBO s’est également un peu plus confié sur sa vie personnelle, notamment sur une plainte qu’il a dû déposer en raison d’une fan un peu trop intense.

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Un sujet qui est venu sur la table lorsque Gino a abordé le moment où Yves a dû appeler la police en raison de cette femme très harcelante.

«C’est une femme qui avait un problème psychiatrique… et qui m’a harcelé pendant plus d’un an. Elle a essayé de rentrer chez nous en plein milieu de la nuit. Un moment donné j’étais comme: Christi, Yves, il faut que tu appelles la police. Puis, c’était à l’époque où Bonjour la police… les policiers se faisaient chanter ça pendant les manifestations ou l’émeute de Metallica! Alors eux, ils débarquent chez nous en plein milieu de la nuit (…) Ils m’ont sauvé la vie… merci, la police!», dévoilait Yves avec l’entrain qu’on lui connait.

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Une histoire à la fois inquiétante… et surprenante!

Auriez-vous eu peur à sa place?

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Une campagne de sensibilisation contre le harcèlement de rue

Lorsqu’il est question de harcèlement de rue – on pense notamment aux fameux catcalls – il semblerait qu’en tant que société, on ait pris l’habitude de dire aux femmes de « faire attention » plutôt que de dire aux hommes que « c’est vraiment cave comme comportement, faites pas ça, please », n’est-ce pas? On suggère plus ou moins explicitement à nos amies, collègues, soeurs et filles de se couvrir un peu plus ou de rentrer un peu plus tôt.

Et ça part d’une bonne intention; on ne veut pas qu’elles souffrent de ce fameux harcèlement de rue, on veut leur bien. C’est juste que ça ne règle pas le problème, parce que le problème, ça n’a jamais été les femmes, et surtout pas celles qui sont victimes.

Il arrive aussi qu’on banalise: « okay, relax, c’est juste un dude random qui t’a sifflé, y’a rien là ». C’est juste que ça serait le fun de pouvoir aller s’acheter des légumes à l’épicerie sans se faire « interpeller » comme ça, me semble, non? Genre, juste vivre notre vie calmement et que notre bulle soit respectée. Ou ne pas avoir peur quand on rentre de travailler tard le soir (ou après 16h en hiver parce qu’il fait noir vraiment tôt au Québec pendant cette saison-là hein). En tout cas, moi je trouverais ça vraiment nice.

C’est pour ça que lorsque j’ai découvert qu’un organisme a ENFIN lancé une campagne de sensibilisation qui cible les harceleurs (et pas les femmes, alléluia), je me suis dit que c’était vraiment important de partager cette belle initiative avec vous!

Crédit: CEAF de Montréal

C’est le Centre d’éducation et d’action des femmes (CEAF) de Montréal qui est derrière cette campagne réalisée notamment grâce à des subventions du Secrétariat à la condition féminine et de l’Arrondissement Ville-Marie. Concrètement, nous pourrons découvrir la campagne, composée de 4 affiches ciblant 4 groupes, dès le 7 octobre dans l’espace montréalais et dans les transports en commun! Gardez l’oeil ouvert!

Avec cette campagne, l’organisme veut (évidemment) mettre le doigt sur le vrai bobo (les harceleurs), mais aussi s’éloigner de la répression (le besoin de dénoncer constamment, alors qu’on est rarement prises au sérieux et que le problème est aussi répandu que banalisé) et se tourner vers l’éducation populaire!

« On en avait assez des fameux messages qui laissent entendre qu’il revient toujours aux femmes de dénoncer les violences qu’elles subissent, d’apprendre à se défendre, etc. Donc nous on a décidé de braquer nos projecteurs sur les harceleurs, sur les témoins de ces actes-là et sur la population en général, et sur les autorités aussi pour que tout le monde se sente concerné. » a expliqué en entrevue avec Radio-Canada Audrey Simard, une militante du CEAF.

Les objectifs de la campagne sont clairs;

  • faire comprendre aux harceleurs qu’ils ne pourront plus agir en toute impunité et qu’ils sont entièrement responsables de leurs actes,
  • mettre fin à l’indifférence généralisée de la population et abaisser le seuil de tolérance,
  • mobiliser et outiller les témoins à agir en solidarité avec les femmes harcelées,
  • déculpabiliser les femmes

Wow! J’ai tellement hâte de découvrir les affiches! Et vous?

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Ton petit look

Dénoncer le harcèlement sur les réseaux sociaux

Je fais partie de nombreux groupes Facebook, dont certains impliquent des rencontres et la planification d’événements.

Un jour, j’ai accepté une demande d’amitié d’un homme qui y participait régulièrement et avec qui j’avais plusieurs contacts en commun. Il voulait avoir un peu plus d’information sur un événement en particulier. En prenant ses questionnements pour de la nervosité (et puisque les groupes sur lesquels nous échangeons sont très forts sur le plan de l’entraide et de l’inclusion), j’ai fait l’erreur de lui parler de certain(e)s de mes ami(e)s qui allaient être présent(e)s ce jour-là, afin de le rassurer qu’il ne serait pas seul dans son coin.

J’ai commencé à avoir de mauvais pressentiments, car après tout, je ne connaissais pas cet homme personnellement. Mes craintes se sont avéré fondées: peu de temps après, il a fait ses recherches personnelles de son côté et commencé à envoyer des messages privés bien creepy à mes amies du groupe en disant qu’il avait très hâte de les voir, qu’il les trouvait belles et qu’il allait leur parler durant l’événement.

L’une d’elles m’a montré le message qu’elle avait reçu. Même si la forme se voulait respectueuse, ça ne l’était pas. Dans ce genre d’événement, nous ne devrions pas ressentir l’obligation de parler à qui que ce soit, même si l’objectif est de socialiser.

Une personne du groupe m’a expliqué que ce n’était pas la première fois que cet homme se faisait bloquer et avertir sur les réseaux sociaux et qu’il pouvait être vraiment insistant, en plus d’avoir plusieurs comportements dérangeants et envahissants. La situation était donc alarmante et il fallait agir pour éviter que cela ne se reproduise. En discutant avec des participant(e)s, nous avons donc pris la décision de le retirer de l’événement et de le dénoncer afin qu’il soit retiré des groupes associés.

Si une personne dans un groupe vous envoie des messages non sollicités, ne ressentez jamais la pression d’y répondre. Vous pouvez ignorer la personne ou la bloquer, c’est dans vos droits, peu importe le contexte. Cette personne n’a pas le droit d’insister et vous pouvez très bien l’envoyer balader si elle ne comprend pas et continue ses comportements: aucune de ses excuses n’est valide! Vous pouvez également parler à une personne chargée de l’administration du groupe pour exprimer vos inquiétudes, ou proposer d’établir une politique sur le harcèlement dans le groupe.

Et surtout, ne faites pas comme moi et ne donnez jamais d’informations à un(e) inconnu(e) sur les personnes qui seront présentes à un événement public. Même si c’est seulement des prénoms d’amis que vous avez en commun, d’autres participant(e)s, ou encore que la personne semble sympathique (ou même un peu vulnérable).

Même si c’est pour bien faire.

Parfois, on ne peut tout simplement pas savoir ce que cette personne peut avoir en tête. Si on ne peut pas avoir accès à la liste des participant(e)s sur certains événements, ce n’est pas pour rien!

Ma gaffe aura au moins permis de clarifier une situation déplaisante qui persistait depuis longtemps dans ce groupe. De plus, les choses auraient pu être pires si cet homme avait été présent.

Pour en savoir plus sur le harcèlement:

https://www.francoischarron.com/victime-de-harcelement-ou-dintimidation-sur-le-web-quoi-faire/-/2C2D5TYCAS/

https://www.cnt.gouv.qc.ca/en-cas-de/harcelement-psychologique-ou-sexuel/index.html

https://www.educaloi.qc.ca/capsules/le-harcelement-criminel

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Harcèlement : Jessica Chastain regrette de ne pas avoir dénoncé

S’il y a une actrice à Hollywood à l’aplomb indéniable et qui semble assez confiante pour ne pas se laisser marcher sur les pieds, c’est bien Jessica Chastain.

Or, l’actrice révèle que, comme tant d’autres collègues et de femmes, elle n’a pas su réagir adéquatement lorsque placée devant une situation de harcèlement au travail, et n’a pas dénoncé le comportement, en l’occurrence l’insistance d’un réalisateur et des avances étalées sur une longue période, une omission qu’elle regrette aujourd’hui.

« Pendant des mois, j’ai essayé de prendre ça à la légère, d’en rire. Maintenant, je souhaiterais lui avoir dit d’aller se faire f**tre. J’étais si obsédée par le fait de vouloir accommoder les autres. Au début de ma carrière, quand j’avais des idées pour un personnage ou une scène, il fallait passer par les acteurs masculins (…) le réalisateur les prenait au sérieux. J’ai eu des gens qui m’ont dit : Tu dois être un peu plus discrète avec tout ce discours féministe », explique notamment une Jessica Chastain enflammée lors d’un entretien accordé à Marie Claire.

Jessica Chastain sera cette année de It : Chapter 2, X-Men : Dark Phoenix et Eve, notamment, en plus de participer à de nombreux projets comme George and Tammy et 355.

Crédit photo : FilmNation Entertainment

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PKP : Julie Snyder se dit victime de « harcèlement psychologique »

Après l’horrible histoire révélée de manière controversée par La Presse alors que celle qui était devenue la nouvelle fréquentation de Pierre Karl Péladeau s’est enlevé la vie, et une poursuite de 320 000$ déposée contre le père des enfants de celle-ci (qui aurait fait preuve d’une campagne de « vengeance » acharnée), voilà que Julie Snyder réplique.

Se retrouvant pointée du doigt dans la poursuite de PKP parce qu’elle aurait prétendument collaboré à la vendetta du père des enfants de celle qui entretenait une relation avec le magnat de la presse avant sa mort dramatique, Julie Snyder fait à son tour appel à La Presse pour y aller d’une réponse virulente.

Selon La Presse, les Productions J ont envoyé un courriel pour signifier :

« M. Péladeau porte plusieurs graves allégations à l’encontre de Mme Snyder dont celle-ci entend bien se défendre. La manière dont M. Péladeau a choisi de rendre sa poursuite publique, en l’associant gratuitement à Mme Snyder est ressenti comme un geste de harcèlement supplémentaire s’ajoutant à tous ceux qui, depuis leur séparation, visent à nuire à la carrière, la réputation et à l’image de Mme Snyder. Mme Snyder considère malheureusement qu’il s’agit d’une forme de harcèlement psychologique. Mme Snyder déplore que ses enfants ainsi que ceux de Mme Couture et M. Lacombe soient pris en otage par les dérapages juridiques incontrôlables de M. Péladeau. »

L’homme visé par la poursuite de Pierre Karl Péladeau et accusé par ce dernier d’avoir mené une horrible campagne de vengeance et de peur contre la mère de ses enfants ainsi que contre l’ancien chef du PQ n’aurait pas voulu commenter lorsque contacté par La Presse.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Une fanatique de Sean Penn arrêtée

Sean Penn peut respirer un peu mieux.

La police a confirmé à TMZ avoir placé une femme fanatique de Sean Penn en état d’arrestation, après que celle-ci ait présenté des comportements de plus en plus inquiétants à l’endroit de l’acteur de 56 ans.

La dame en question, dont le nom n’a pas encore été dévoilé au public, aurait tenté de contacter Sean Penn des douzaines de fois. Elle se serait également présentée au domicile de l’acteur, situé à Malibu, à deux reprises au cours de la dernière semaine. Une décision qui aura fait déborder le vase pour la star de 21 Grams et les autorités.

Lors de sa seconde visite, une « personne » aurait contacté les policiers. Ces derniers auraient alors cueilli la harceleuse de 51 ans pour l’emmener au poste de police.

Selon TMZ, la femme aurait affirmé qu’elle et Sean Penn « entretenaient une liaison », avant d’être libérée le lendemain sous promesse de comparaître et moyennant une caution fixée à 150 000 dollars.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Kendall Jenner trop terrifiée pour rester seule

La plus réservée des sœurs Kardashian-Jenner, Kendall, semble encore traumatisée par le comportement de Shavaughn McKenzie.

Ce dernier l’avait harcelée durant une longue période de temps, et s’était même présenté chez elle à quelques reprises avant de se faire finalement arrêter par la police lors de sa dernière tentative.

Malgré tout, l’effet de ce harcèlement sur la psychologie de Kendall Jenner a laissé des traces.

« Ce n’est pas de cette manière que je veux vivre ma vie. Je ne me sens pas en sécurité dans ma propre maison. Je suis déjà une personne un peu anxieuse », lance Kendall Jenner en cour, au procès de McKenzie.

La jeune mannequin a également expliqué qu’elle avait désormais des caméras de sécurité 24 heures sur 24, mais que rien ne peut lui permettre de retrouver le calme, rapporte TMZ.

Le procès de Shavaughn McKenzie se poursuit, à Los Angeles.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Musique

Le sort de Kesha bientôt décidé

La chanteuse Kesha aura connu sa part de malheurs après avoir remporté un succès fulgurant à la suite du lancement de ses albums Animal et Warrior, en 2010 et 2012.

Souffrant de problèmes psychologiques et ayant accusé son ancien producteur, Dr Luke, de comportements douteux à son endroit, Kesha tente de remonter la pente et de retrouver ses fans.

Sauf que pour y parvenir, un juge devra trancher à savoir si la blonde chanteuse obtiendra sa liberté. Pour le moment, son contrat l’empêche d’enregistrer avec qui que ce soit d’autre que Dr Luke.

C’est donc ce mardi 26 janvier que Kesha sera fixée sur son avenir, alors qu’un juge devra trancher après l’écoute des plaidoiries des deux parties.

« L’univers me parle aujourd’hui. Je suis remplie d’anxiété et d’espoir, de nervosité et de doutes, et toutes mes émotions sont folles. Si vous priez, j’en aurais de besoin cette semaine. Je vais connaître le destin de ma carrière mardi », écrit Kesha sur Instagram.

Kesha accuse Dr Luke de harcèlement sexuel, et blâme Sony Music pour n’avoir jamais tenté d’enquêter sur le compte du producteur, ou de lui venir en aide.

Le dernier simple de Kesha remonte à 2013, alors que la chanteuse proposait Crazy Kids.

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Potins

Lana Del Rey obtient une injonction contre deux admiratrices

La chanteuse Lana Del Rey a dû se résigner à demander une injonction contre deux admiratrices un peu trop entreprenantes, rapporte TMZ.

Krinitsyna et Luliia Vladimirovna auraient prétendument crié le nom de la chanteuse à répétition devant la résidence de celle-ci au beau milieu de la nuit, en plus de lui laisser de nombreuses missives inquiétantes dans sa boîte aux lettres.

Certaines de ces lettres contenaient des passages suicidaires et menaçants, selon le camp Del Rey.

La chanteuse a même décidé de changer de maison pour mettre un terme à ce harcèlement, mais les deux fans auraient traqué Lana Del Rey jusqu’à sa nouvelle résidence.

Convaincue que les deux femmes allaient éventuellement la tuer, Lana Del Rey a embauché un garde du corps et retenu les services d’anciens policiers de Los Angeles.

Krinitsyna et Luliia Vladimirovna sont maintenant tenues de se tenir à plus de 100 mètres de la star, grâce à l’injonction émise par un juge de la région.

Ces événements surviennent un mois après qu’un homme de 19 ans ait été arrêté chez Lana Del Rey. Le jeune homme visiblement ébranlé « vivait » dans le garage de l’interprète de Summertime Sadness.

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Lana Del Rey : Un dérangé vivait dans son garage

Il n’est pas étonnant d’apprendre que Lana Del Rey attire les admirateurs un peu trop entreprenants.

Qu’un homme dérangé vivant dans on garage soit arrêté et inculpé, cependant, représente une nouvelle un peu plus étonnante.

La police de Malibu a confirmé avoir procédé à l’arrestation d’un homme qui campait dans le garage de Lana Del Rey, rapporte Entertainment Tonight.

« En se basant sur ses élucubrations et ses notes, il était clairement très amoureux de Lana », déclare un détective chargé de l’affaire.

La chanteuse de 30 ans n’aurait jamais fait face au suspect de 19 ans, et jamais son intégrité physique n’aurait été mise en danger, selon les informations obtenues.

Le jeune homme campait dans la maison encore en construction de la chanteuse, achetée au coût de trois millions de dollars justement pour éviter les admirateurs trop entreprenants, semble-t-il.

C’est un employé de construction qui a dénoncé le suspect.