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La femme d’Harvey Weinstein le quitte

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L’affaire Weinstein prend une autre tangente. Après la sortie publique de nombreuses actrices d’Hollywood qui affirment avoir subi du harcèlement sexuel de la part de Harvey Weinstein, voilà qu’on apprend que l’épouse du producteur plie bagage.

Dans un communiqué, Georgina Chapman annonce qu’elle met un terme à sa relation avec l’homme de 65 ans :

« J’ai choisi de quitter mon mari. Mon coeur est brisé pour toutes ces femmes qui ont souffert d’une immense peine à cause de ces actions impardonnables. »

Mariée à Harvey Weinstein depuis 2007, Georgina Chapman, est la designer et cofondatrice de la marque de luxe Marchesa. Le couple a deux enfants.

« Me soucier de mes deux jeunes enfants est ma première priorité. Je demande donc aux médias de respecter cela en ces temps difficiles », ajoute la femme de 41 ans.

Rappelons que depuis quelques jours, Harvey Weinstein est au centre d’une tempête qui ébranle le Tout-Hollywood. L’un des hommes de cinéma les plus puissants du monde, Weinstein, aurait durant de nombreuses années harcelées de nombreuses actrices.

Depuis quelques jours, le nombre de dénonciations ne cesse d’augmenter, mettant en évidence une omerta qui sévissait dans le monde du cinéma. 

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Ashley Judd victime de harcèlement sexuel

Ashley Judd dévoile avoir été victime de harcèlement sexuel de la part d’un homme puissant d’Hollywood. Sans jamais nommer de nom, elle explique comment les choses sont devenues difficiles pendant le tournage du film Kiss the Girls, réalisé par Gary Fleder, en 1997.

C’était un homme à la tête d’un studio rival qui lui demandait constamment de se rendre à sa chambre d’hôtel et qui avait des requêtes de plus en plus inappropriées.

«Il était très subtil et habile dans sa façon de m’amadouer. «Viens me rejoindre à l’hôtel pour manger quelque chose!». Il s’y est pris par étape. C’était dégoutant. Il m’attirait vers lui en disant : «Viens m’aider à choisir ma tenue», raconte l’actrice de 47 ans.

C’est plusieurs années plus tard que Judd s’est rendu compte que d’autres actrices avaient subi la même chose. En racontant sa mésaventure autour d’une table, c’est en dévoilant qu’il lui avait demandé de le regarder se doucher que les autres actrices se sont exclamées : «Moi aussi!»

Après s’en être longtemps voulu, l’actrice dit qu’elle a réalisé que la honte appartenait à l’agresseur.

Le dernier film d’Ashley Judd, Insurgent, est sorti en mars 2015 et a récolté plus de 295,2 millions de dollars au box-office.

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Harcèlement sexuel : Marcel Aubut s’excuse et se retire

Depuis que Marcel Aubut s’est vu accusé par plusieurs femmes de harcèlement sexuel, l’avocat quitte sa fonction de président du Comité olympique canadien.

De plus, il s’est excusé via un communiqué pour ses gestes.

«Je profite de l’occasion pour m’excuser sincèrement auprès des gens que mon comportement aurait offusqués. Je suis conscient que, parfois, mon attitude a pu être perçue comme discutable auprès de certaines personnes de la gent féminine et avoir entraîné un sentiment de malaise. Je le réalise. Et je vais m’ajuster.»

Malgré tout, après une séance du conseil d’administration de BCF, bureau d’avocats où travaille Marcel Aubut, la décision a été prise de continuer à œuvrer avec lui. L’avocat «a formulé l’engagement solennel de changer son comportement à l’égard des autres et en particulier à l’égard des femmes», a confirmé la firme via un communiqué. «Il s’est engagé à travailler avec l’aide de professionnels réputés choisis par BCF pour l’assister dans sa démarche. Il a l’appui de BCF».

À ce jour, le COC a reçu une plainte formelle et l’avocate Amélia Salehabadi-Fouques a aussi porté plainte au Barreau. Les services policiers n’ont été avisés d’aucune plainte officielle pour le moment.

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Harcèlement sexuel: Marcel Aubut aurait fait une troisième victime

Mercredi (30 octobre), nous apprenions via le Globe and Mail qu’une accusation de harcèlement sexuel était à l’origine du retrait temporaire de l’avocat Marcel Aubut de son poste de président du COC. Ce matin, nous apprenons qu’une ancienne adjointe exécutive d’un cabinet d’avocat dans lequel a déjà travaillé Me Aubut affirme aussi avoir été victime de harcèlement et d’attouchements.

La dame a cependant signé une entente comprenant une clause de confidentialité pour laquelle elle a reçu 10,000$, son identité ne pouvant donc être dévoilée. La dame s’est néanmoins confiée au bureau d’enquête du Journal de Montréal et a raconté ce qu’elle aurait subi.

«Avec le temps, il commençait à être de plus en plus à l’aise avec ses gestes. Les mains descendaient un peu plus bas chaque fois», dit-elle.

«Quand j’allais porter des dossiers à son bureau, il avait toujours les mains autour de ma taille, très proche de mes fesses. Il fallait toujours qu’il me touche à l’épaule, qu’il me touche quelque part», a-t-elle souligné.

Pour elle, le moment où elle a réalisé qu’elle nous pouvait plus vivre une telle situation est quand il lui aurait demandé de lui apporter des dossiers dans sa salle de conférence. En arrivant,  la femme dit qu’il était en sous-vêtement. Cet incident aurait mené à son arrêt de travail.

Étant persuadée que cette attitude ne lui était pas réservée, elle dit : «Je suis en état de choc, mais je dois vous avouer que je suis surprise que ça ait mis autant de temps à sortir, parce que je suis convaincue que je ne suis pas la seule».

    

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Harcèlement sexuel: Marcel Aubut aurait fait plus d’une victime

Le Globe and Mail nous apprenait hier qu’une femme avait porté plainte contre Marcel Aubut pour harcèlement sexuel.  C’est maintenant au Journal de Montréal de révéler qu’il y aurait eu une deuxième victime.

Amelia Salehabadi-Fouques, qui enseignait alors à l’Université de Montréal en droit du sport, souhaitait s’impliquer au sein du Comité olympique canadien. Elle rencontre donc Marcel Aubut à la Queue de Cheval de Montréal. Elle dit s’être rapidement rendu compte que ce souper n’en serait pas un professionnel, alors qu’Aubut avait organisé un cadre plutôt détendu au bar de l’établissement.

Il aurait d’abord tenté un rapprochement physique qui aurait déplu à la dame.

«Et là, il m’embrasse sans que je le veuille parce qu’il me fait boire beaucoup, avec la langue, et tout… ça m’a dégoûtée», a-t-elle expliqué, ajoutant qu’elle s’est sentie violée devant les gens présents dans l’établissement.

Il y aurait eu deux autres incidents du genre par la suite. La première lors d’une rencontre d’affaires entre l’avocat et l’enseignante en droit à Québec. Aubut n’avait pas réservé de chambre d’hôtel à son nom et lui aurait dit :

«Quand est-ce que je vais venir dans ta chambre? J’ai demandé des clés pour ta chambre.» La dame se serait alors embarrée dans sa chambre.

Finalement,  le dernier évènement raconté par la mère de trois enfants est celui où elle était à la Coupe du monde féminine U-20 accompagnée de son fils de 15 ans. Aubut lui a demandé sans discrétion pourquoi est-ce qu’ils n’avaient toujours pas couché ensemble.

Aucune accusation officielle n’a été déposée jusqu’à maintenant par Amelia Salehabadi-Fouques.

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Jewel dévoile le harcèlement sexuel omniprésent dans l’industrie de la musique

La chanteuse Jewel ne passe pas par quatre chemins : sa vie a été marquée par le harcèlement sexuel dès son plus jeune âge, et les manifestations machistes ne se sont jamais arrêtées depuis, dans une industrie qui ne fait rien pour les enrayer.

Élevée dans un contexte difficile où la maison de son père n’avait pas l’eau courante, Jewel a dû chanter dans des petits bars dès son enfance pour aider sa famille à joindre les deux bouts.

«Des hommes me donnaient de l’argent lorsque j’avais huit ans et me disaient de les rappeler dans quelques années pour qu’ils puissent me baiser», a-t-elle raconté à The Hollywood Reporter.

Cette situation inacceptable a pris d’autres formes au cours des années.

«Dans l’industrie de la musique, ça m’a beaucoup servi d’avoir vécu de telles horreurs en bas âge. J’ai appris à garder mon énergie pour moi. Je suis devenue très bonne pour gérer les hommes et ne pas les fâcher tout en passant mon message, parfois avec humour. Je leur faisais comprendre que je n’étais pas disponible sexuellement.»

D’ailleurs, c’est le harcèlement sexuel qui l’aurait mise à la rue, quelques mois avant d’obtenir son premier contrat de disque. Employée d’un bar de San Diego, elle avait refusé d’avoir des rapports sexuels avec le propriétaire de l’établissement, qui l’avait aussitôt congédiée.

«C’était comme si les hommes sentaient ma vulnérabilité, comme un requin est attiré par le sang», a-t-elle imagé.

Jewel publiera un livre le 15 septembre, Never Broken : Songs Are Only Half the Story, dans lequel elle aborde certains de ces sujets.

Photo : Facebook

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Robbie Williams et sa femme poursuivis pour harcèlement sexuel

Le chanteur Robbie Williams et son épouse auraient fait du harcèlement sexuel auprès de leur ancien assistant personnel, Gilles De Bonfilhs.

Selon ce qu’a appris TMZ, une poursuite a été déposée par l’ancien employé expliquant que le couple aurait outre passé les limites du bon goût. À titre d’assistant personnel, l’homme s’attendait à aider le chanteur anglais et sa femme pour leurs tâches quotidiennes, mais certainement pas à être obligé de parler de sexe et à commenter leurs attraits physiques personnels.

Congédié en janvier dernier, l’ancien assistant personnel fait état dans sa poursuite d’agissements répréhensibles de la part de Robbie Williams et Ayda Field. Ils auraient entre autres déambulé devant lui dévêtus, elle aurait partagé des détails de sa vie sexuelle, il l’aurait questionné à propos de sa vie sexuelle, elle lui aurait posé des questions et demandé des commentaires à propos de son corps.

Robbie Williams, 41 ans, et Ayda Field, 35 ans, sont mariés depuis 2010. Le couple a deux enfants, Theodora Rose et son Charlton Valentine.

Le couple n’a pas voulu commenter les allégations de leur ancien employé.

Photo : BANG/BIG

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Robbie Williams et sa femme poursuivis pour harcèlement sexuel

Le chanteur Robbie Williams et son épouse auraient fait du harcèlement sexuel auprès de leur ancien assistant personnel, Gilles De Bonfilhs.

Selon ce qu’a appris TMZ, une poursuite a été déposée par l’ancien employé expliquant que le couple aurait outre passé les limites du bon goût. À titre d’assistant personnel, l’homme s’attendait à aider le chanteur anglais et sa femme pour leurs tâches quotidiennes, mais certainement pas à être obligé de parler de sexe et à commenter leurs attraits physiques personnels.

Congédié en janvier dernier, l’ancien assistant personnel fait état dans sa poursuite d’agissements répréhensibles de la part de Robbie Williams et Ayda Field. Ils auraient entre autres déambulé devant lui dévêtus, elle aurait partagé des détails de sa vie sexuelle, il l’aurait questionné à propos de sa vie sexuelle, elle lui aurait posé des questions et demandé des commentaires à propos de son corps.

Robbie Williams, 41 ans, et Ayda Field, 35 ans, sont mariés depuis 2010. Le couple a deux enfants, Theodora Rose et son Charlton Valentine.

Le couple n’a pas voulu commenter les allégations de leur ancien employé.

Photo : BANG/BIG

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Justin Timberlake règle une cause de harcèlement sexuel hors cour

En fait, Justin Timberlake n’a rien à y voir, c’est plutôt un de ses associés qui a fait vivre l’enfer à la demoiselle, Alison McDaniel, qui a par la suite porté plainte au tribunal.

La cause remonte à 2009 et devait passer en cour au début du mois. Une entente « à l’amiable » confidentielle a cependant été signée le 4 juin, et la plaignante a laissé tomber la poursuite. Le montant alloué à la jeune femme n’a pas été dévoilé, mais les accusations contre Eytan Sugarman étaient nombreuses.

Celui-ci, copropriétaire du restaurant avec Timberlake et un 3e partenaire d’affaires, Ronnie Kaplan, a été jusqu’à enfermer la victime à clé dans une pièce avec lui et Kaplan, la forçant à regarder de la pornographie.

Alison McDaniel a été promue peu de temps après les premiers incidents au poste de directrice générale du restaurant, mais déclare avoir été « intimidée, harcelée, humiliée et congédiée » parce qu’elle est une femme.

Radar Online rapporte que Timberlake est demeuré ami et partenaire d’affaires avec les deux copropriétaires malgré leur comportement.

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Harcèlement sexuel à l’école : un sujet dont les parents devraient discuter

Des propos rapportés par SheKnows, qui doivent faire tendre l’oreille à tous les parents. Le harcèlement sexuel peut commencer à la petite école et provenir d’élèves de même âge, plus vieux, ou encore du corps professoral.

Le harcèlement sexuel peut prendre plusieurs formes :

– Verbal : commentaires, blagues, opinions, qui sont offensants et à caractère sexuel.

– Physique : attouchements, frottements, forcer à poser des gestes inappropriés.

 -Électronique : textos, commentaires sur les médias sociaux ou courriels à caractère sexuel.

Soyez proactif et n’hésitez pas à :

– Demander quelle est la politique sur le harcèlement sexuel à l’école. Impliquez-vous.

– Préparer votre enfant, dès la première année. Il doit avoir suffisamment confiance en lui pour savoir que personne n’a le droit de se comporter de façon irrespectueuse envers lui.

– Encourager la dénonciation de tout comportement inapproprié, envers lui-même ou s’il voit d’autres amis en être victime.

– Discuter ouvertement de ces sujets à la maison, avec un langage adapté à l’âge de l’enfant.

Dans tous les cas, il faut prendre le moindre cas au sérieux et demander de l’aide dès qu’on se sent dépassé.