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COVID: Le mystère de la perte d’odorat élucidé

Ce symptôme appelé anosmie est l’un des premiers à affecter les malades du coronavirus.

Les scientifiques de l’École de médecine de l’université de Harvard aux États-Unis ont analysé diverses bases de données pour trouver que la COVID-19 attaque des cellules qui supportent certains neurones qui détectent et transmettent le sens de l’odorat au cerveau.

«Nos recherches indiquent que le nouveau coronavirus change le sens de l’odorat des patients, non pas en infectant directement les neurones, mais en infectant les fonctions des cellules les supportant», explique un professeur de neurobiologie, coauteur de l’étude.

La bonne nouvelle selon les chercheurs, c’est qu’il est improbable que le virus puisse causer des dommages permanents au circuit neural olfactif et que les patients devraient retrouver leur sens de l’odorat.

«Je pense que c’est une bonne nouvelle, car lorsque l’infection est guérie, le circuit neural olfactif n’aura pas à être remplacé ou rebâti de toute pièce», ajoutent les scientifiques dans un communiqué.

Les chercheurs ajoutent qu’ils «ont besoin de plus de données pour avoir une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents pour confirmer cette conclusion».

L’étude de l’université de Harvard a été publiée hier dans le journal Science Advances.

Photo : Cover Images

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Rihanna est l’humanitaire Harvard de l’année

L’interprète de Work a vu son travail humanitaire et philanthrope être souligné par la prestigieuse université Harvard, rapporte BANG Media International.

Rihanna a en effet été nommée « humanitaire Harvard de l’année », notamment en lien avec son travail pour la Clara and Lionel Foundation Scholarship , le Global Partnership for Education et le Global Citizen Project.

En plus d’oeuvrer pour l’amélioration de l’éducation, notamment dans les Caraïbes, Rihanna a également contribué à la construction d’un centre « à la fine pointe de la technologie » pour aider les patients atteints de cancer dans sa ville natale de la Barbade.

C’est cela, et encore plus, que décrit le directeur de la Fondation Harvard, S. Allen Counter, lorsqu’il explique la décision de choisir Rihanna pour le titre remis par l’université.

« Rihanna a construit de manière charitable un centre à la fine pointe de la technologie d’oncologie et de médecine nucléaire pour diagnostiquer et traiter le cancer du sein à l’hôpital Queen Elizabeth de Bridgetown », explique notamment M. Counter.

Rihanna recevra en personne le prix Peter J. Gomes remis à l’humanitaire Harvard de l’année sur le campus de l’université le 28 février prochain.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Natalie Portman inspire les étudiants d’Harvard

L’actrice Natalie Portman présentait cette semaine une conférence aux étudiants gradués de l’Université Harvard, au Massachusetts. Son message fut absolument clair : «n’ayez pas peur de prendre des risques !»

Tiré de son expérience personnelle, ce conseil pourrait effectivement s’avérer judicieux. Portman, à la fin des années 2000, avait accepté un rôle dans le film Black Swan dans lequel elle devait jouer des scènes de ballet.

Néophyte en la matière, elle n’a toutefois pas reculé et a accepté le rôle.

«Si j’avais connu mes propres limites, je n’aurais jamais pris le risque», a-t-elle lancé aux étudiants.

«Et le risque m’a mené à l’un de mes plus grands accomplissements en carrière», a-t-elle poursuivi, en référence à son Oscar de la Meilleure actrice remporté pour ce rôle, en 2010.

«Utilisez le fait que vous ne doutez pas de vous en ce moment, parce qu’en vieillissant, on devient plus réaliste. Acceptez votre manque de connaissances et utilisez-le comme un avantage.»

Portman a aussi rencontré son âme sœur lors du tournage de Black Swan, en la personne du chorégraphe Benjamin Millepied.

Gageons que cette rencontre n’est pas étrangère aux commentaires de Portman, qui n’aurait probablement jamais fait la connaissance de celui qui est aujourd’hui son époux et père de son enfant, Aleph, si elle avait décliné le rôle en question.

Photo : BANG/BIG

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Doit-on vraiment dépenser 2000 calories par semaine?

Le New York Times répond à une question que plusieurs se posent, proposée par un lecteur du journal new-yorkais, à savoir si le mythe qui veut que l’on doive brûler 2000 calories par semaine pour être en bonne santé est véridique ou non.

Selon le New York Times, l’idée que l’on doive dépenser 2000 calories de façon hebdomadaire découle d’une fameuse étude en provenance de Harvard, il y a plusieurs années.

L’étude en question est l’Harvard Alumni Study, qui suivait durant plusieurs décennies des sujets types et qui analysait leurs habitudes, dont celles concernant l’activité physique sur une base hebdomadaire.

Les chercheurs qui ont décortiqué les données recueillies au fil de 50 ans d’observation ont alors bel et bien estimé que les sujets qui dépensaient 2000 calories par semaine avaient moins de risque que les autres de subir une crise cardiaque, notamment.

Mais pour les experts, de nombreuses activités banales du quotidien permettent d’en arriver rapidement au compte, par exemple le simple fait de monter un escalier ou encore les pas effectués pour se rendre d’un endroit à l’autre.

En somme, les spécialistes croient qu’il est bon de se fixer 1000 calories à brûler par semaine comme objectif, et le reste des activités routinières devraient permettre d’atteindre ou de frôler les 2000 calories éliminées hebdomadairement.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Une poignée de noix pour prévenir du cancer du pancréas

Quelques noix peuvent-elles changer la donne en matière de prévention du cancer du pancréas? C’est ce que semble indiquer une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui vante les mérites des noix en prévention de ce virulent type de cancer.

L’étude exhaustive en provenance de l’Université Harvard analysait les données recueillies auprès de 75 000 femmes. Les résultats semblent clairs pour les chercheurs de la prestigieuse université : la consommation de noix peut bel et bien réduire les risques de cancer du pancréas.

On parle d’une diminution des risques de tumeur de 35 % chez les femmes qui consommaient des noix au moins deux fois par semaine.

L’étude ne mentionne pas quel type de noix serait plus efficace en matière de prévention, mais en suggère simplement la consommation hebdomadaire.

Les noix sont également vantées dans plusieurs autres études en nutrition. Elles préviendraient plusieurs maladies et troubles de la santé, et devraient faire partie d’un régime équilibré, selon une majorité de spécialistes.

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Une étude met en doute les bienfaits du lait sur les os

S’il y a bien un fait que l’on croyait être une certitude en alimentation, et qu’on se fait répéter depuis notre tendre enfance, c’est bien que le lait est un allié précieux de la santé des dents et des os.

Or, selon Radio-Canada, une nouvelle étude en provenance de l’illustre Université Harvard vient d’être déposée, et sème un sérieux doute sur la véracité de cette affirmation, à savoir que le lait est bénéfique pour les os chez l’humain. 

Aux fins de la recherche, les chercheurs de Harvard ont analysé les cas de près de 100 000 personnes, sur une période de 22 ans. On ne pourra taxer l’étude de ne pas être exhaustive, malgré son résultat.

Les conclusions parlent d’une absence de preuve en ce qui a trait à la notion que la consommation de lait peut solidifier les os et ainsi prévenir les fractures.

Malgré tout, on ne conteste pas les organisations de la santé, comme celles du Canada, qui suggèrent la consommation d’au moins deux verres de lait par jour, ce dernier possédant tout de même sa part d’avantages et d’éléments nutritifs.

Les spécialistes appelés à commenter l’étude croient cependant qu’il est impératif d’allier ces apports en produits laitiers avec de l’exercice physique pour protéger le corps et les os de façon véritablement efficace.

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Le lait n’est pas nécessaire pour la santé

Voilà une déclaration qui fait du bruit. Alors que la consommation de lait est fortement encouragée depuis belle lurette, deux spécialistes en nutrition hautement reconnus viennent remettre en question son utilité.

C’est ce que dévoilent David Ludwig, professeur de pédiatrie et de nutrition à l’École de médecine de Harvard et à l’Hôpital pour enfants de Boston, ainsi que Walter Willett, professeur d’épidémiologie et de nutrition et président du département de nutrition de l’École de santé publique de Harvard.

Ils ont publié les résultats de leur récente étude dans le journal médical JAMA Pediatrics.

On peut y lire qu’il n’existerait non seulement pas de preuves des bénéfices du lait sur la santé, mais que les recommandations officielles pousseraient les enfants à consommer une trop grande quantité de sucre, alors que les produits lactés pour jeunes en sont souvent bourrés.

Aussi, ils soulignent que l’homme n’a absolument pas besoin de consommer du lait de vache. La majeure partie de la population globale n’en consomme pas, ou très peu, et jouit tout de même d’une excellente santé.

Ils réfutent également la fausse idée, popularisée entre autres par l’industrie agroalimentaire, disant que les produits laitiers seraient nécessaires, notamment pour solidifier les os.

Ils déclarent : « À travers le monde, les taux de fractures sont moins élevés dans les pays qui ne consomment pas de lait, par rapport aux pays où on consomme des laitages. En plus, la consommation de lait ne protège pas des fractures chez l’adulte, selon une méta-analyse récente ».

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Deux tasses de café pourraient réduire les risques de suicide de moitié

Le Daily Mail (UK) propose une étude initialement publiée par des chercheurs de Harvard, qui tend à démontrer que le café serait bel et bien un outil de taille dans la lutte à la dépression.

Plus encore, selon l’étude, de deux à quatre tasses de café par jour permettraient de réduire les risques de suicide de 50 %.

Cette quantité permettrait même une meilleure protection que le thé et le chocolat. Par contre, les chercheurs préviennent les consommateurs et les gens qui souffrent de dépression ou de trouble de l’humeur que de consommer du café ne constitue pas un remède ou une médication adéquate.

Il s’agit simplement d’un impact découlant de la consommation du café, un effet démontré clairement lorsque les chercheurs ont comparé les dossiers médicaux des amateurs de caféine à ceux qui n’en consomment que peu ou pas du tout.

Les données compilées recoupaient les dossiers de 200 000 hommes et femmes, ce qui s’avère suffisant pour parler d’une recherche exhaustive!

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Conserver sa jeunesse grâce à une pilule ne relèverait plus de la fiction

C’est une nouvelle étonnante que celle rapportée par Top Santé, voulant que des chercheurs aient mis au point un nouveau traitement anti-âge qui semble sortir tout droit d’un livre de science-fiction.

En effet, la « pilule de jouvence » serait bel et bien sur le point d’être proposée par une équipe de chercheurs australiens, qui présentent leurs récentes découvertes dans une étude.

Cette dernière, publiée dans la revue Science, explique qu’une enzyme aux propriétés anti-âge, la SIRT1, a été testée et serait en mesure de ralentir les effets du vieillissement, mais aussi de prévenir certaines maladies et d’assurer une plus grande longévité.

On apprend aussi que cette enzyme est naturellement produite chez l’humain grâce, notamment, à l’exercice physique et un bon régime alimentaire.

« … le principe de ces médicaments n’est pas de traiter une maladie en particulier, mais de pouvoir en prévenir une vingtaine », lance avec optimisme le professeur David Sinclair de Harvard.

Une bien bonne nouvelle qui pourrait se traduire par l’apparition d’une pilule « magique » anti-âge sur le marché d’ici les cinq prochaines années.