Catégories
Potins

Les Weinstein poursuivis par New York

Alors que des enquêtes criminelles sont encore actuellement en cours concernant Harvey Weinstein, le producteur déchu et prédateur allégué se voit attaqué sur un autre front.

Cette fois, c’est le procureur de l’État de New York Eric Schneiderman qui décide d’aller de l’avant avec une poursuite civile. Mais, Harvey Weinstein n’est pas seul dans cette requête en justice. Son frère Bob Weinstein et l’entreprise The Weinstein Co. sont également visés par la poursuite.

Selon Me Schneiderman, les Weinstein ont « échoué à protéger des employés contre de l’intimidation, de la discrimination et du harcèlement sexuel envahissant et généralisé », de « manière répétée », rapporte BANG Media.

Cette annonce fait suite à une enquête civile officielle commandée lors du dévoilement des pratiques douteuses et des inconduites sexuelles alléguées par Harvey Weinstein par de nombreuses femmes, en 2017.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Cinéma

Rose McGowan blâmée pour le suicide de son agente

L’ancienne agente de Rose McGowan s’est enlevé la vie, et cette décision aurait été motivée par les allégations de l’actrice.

C’est du moins ce que prétendent les proches de Jill Messick, qui s’est malheureusement récemment suicidée.

Messick était l’agente de Rose McGowan en 1997, donc dans la période où cette dernière aurait été agressée sexuellement par Harvey Weinstein.

L’actrice n’avait pas hésité à laisser entendre que Messick n’avait rien fait pour l’aider à cette époque.

« Voir son nom dans les gros titres encore et encore, pour qu’une personne puisse attirer davantage d’attention sur sa cause personnelle, en plus des tentatives désespérées de Harvey à se justifier, a été dévastateur pour elle. Ça a brisé Jill… », explique la famille de Jill Messick dans un long communiqué.

Jill Messick avait 50 ans.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Potins

Rose McGowan blâmée pour le suicide de son agente

L’ancienne agente de Rose McGowan s’est enlevé la vie, et cette décision aurait été motivée par les allégations de l’actrice.

C’est du moins ce que prétendent les proches de Jill Messick, qui s’est malheureusement récemment suicidée.

Messick était l’agente de Rose McGowan en 1997, donc dans la période où cette dernière aurait été agressée sexuellement par Harvey Weinstein.

L’actrice n’avait pas hésité à laisser entendre que Messick n’avait rien fait pour l’aider à cette époque.

« Voir son nom dans les gros titres encore et encore, pour qu’une personne puisse attirer davantage d’attention sur sa cause personnelle, en plus des tentatives désespérées de Harvey à se justifier, a été dévastateur pour elle. Ça a brisé Jill… », explique la famille de Jill Messick dans un long communiqué.

Jill Messick avait 50 ans.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Cinéma

Affaire Weinstein : Salma Hayek avait « honte »

De la honte, à plusieurs degrés et à diverses périodes, voilà ce qu’aura ressenti majoritairement Salma Hayek à la suite des comportements, puis de la chute, de l’ancien magnat de Hollywood Harvey Weinstein.

C’est en effet le mot qui revient le plus souvent lors d’un entretien accordé à Oprah Winfrey, que rapporte BANG Media.

« Quand on (Le New York Times) m’a contactée pour faire partie de la première histoire, déjà par ce contact, il y avait toute cette tourmente et j’ai commencé à pleurer et j’ai fini par ne pas le faire. Ensuite j’ai ressenti de la honte d’être une lâche. Je supportais des femmes depuis deux décennies et je ne pouvais pas faire ça. J’ai pensé à ma fille. J’ai pensé à la honte. Quand c’est sorti, j’avais honte de ne pas avoir parlé alors que tant de femmes parlaient, c’était une sensation étrange », explique Salma Hayek à Oprah.

En marge de toutes les allégations dirigées contre Harvey Weinstein, causant au passage sa chute brutale, l’actrice de 51 ans avait finalement joint sa voix à celle de dizaines d’autres femmes en affirmant avoir été victime d’inconduites sexuelles répétées de la part du producteur.

Catégories
Potins

Affaire Weinstein : Salma Hayek avait « honte »

De la honte, à plusieurs degrés et à diverses périodes, voilà ce qu’aura ressenti majoritairement Salma Hayek à la suite des comportements, puis de la chute, de l’ancien magnat de Hollywood Harvey Weinstein.

C’est en effet le mot qui revient le plus souvent lors d’un entretien accordé à Oprah Winfrey, que rapporte BANG Media.

« Quand on (Le New York Times) m’a contactée pour faire partie de la première histoire, déjà par ce contact, il y avait toute cette tourmente et j’ai commencé à pleurer et j’ai fini par ne pas le faire. Ensuite j’ai ressenti de la honte d’être une lâche. Je supportais des femmes depuis deux décennies et je ne pouvais pas faire ça. J’ai pensé à ma fille. J’ai pensé à la honte. Quand c’est sorti, j’avais honte de ne pas avoir parlé alors que tant de femmes parlaient, c’était une sensation étrange », explique Salma Hayek à Oprah.

En marge de toutes les allégations dirigées contre Harvey Weinstein, causant au passage sa chute brutale, l’actrice de 51 ans avait finalement joint sa voix à celle de dizaines d’autres femmes en affirmant avoir été victime d’inconduites sexuelles répétées de la part du producteur.

Catégories
Cinéma

Affaire Weinstein : « Tout le monde s’en foutait »

La star Rachel Weisz n’y va pas avec le dos de la cuillère et accuse la majorité de l’industrie du cinéma d’avoir volontairement fermé les yeux sur les comportements horribles d’Harvey Weinstein alors qu’il était au sommet de sa gloire et de son pouvoir.

L’actrice de 47 ans rappelle qu’une amie proche, Sophie Dix, est très vocale depuis les années ’90 quant à une rencontre dévastatrice avec le producteur, mais que « tout le monde s’en foutait ».

« Mon amie Sophie Dix parle de ça depuis les années ’90. Elle disait son histoire à tout le monde qui voulait écouter, depuis 20 ans. Et tout le monde s’en foutait. Je pense que son pouvoir déclinait. Même chose pour Bill O’Reilly, Charlie Rose. C’est une question financière – ils ne ramenaient plus les gros sous désormais. Ce n’est pas un truc optimiste à dire, mais c’est juste à propos d’argent et de pouvoir », lance Rachel Weisz lors d’un superbe entretien avec le Evening Standardqu’il est possible de découvrir ici.

Sophie Dix avait réitéré l’agression vécue aux mains de Harvey Weinstein l’an dernier, avec cette fois beaucoup plus de succès.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Potins

Affaire Weinstein : « Tout le monde s’en foutait »

La star Rachel Weisz n’y va pas avec le dos de la cuillère et accuse la majorité de l’industrie du cinéma d’avoir volontairement fermé les yeux sur les comportements horribles d’Harvey Weinstein alors qu’il était au sommet de sa gloire et de son pouvoir.

L’actrice de 47 ans rappelle qu’une amie proche, Sophie Dix, est très vocale depuis les années ’90 quant à une rencontre dévastatrice avec le producteur, mais que « tout le monde s’en foutait ».

« Mon amie Sophie Dix parle de ça depuis les années ’90. Elle disait son histoire à tout le monde qui voulait écouter, depuis 20 ans. Et tout le monde s’en foutait. Je pense que son pouvoir déclinait. Même chose pour Bill O’Reilly, Charlie Rose. C’est une question financière – ils ne ramenaient plus les gros sous désormais. Ce n’est pas un truc optimiste à dire, mais c’est juste à propos d’argent et de pouvoir », lance Rachel Weisz lors d’un superbe entretien avec le Evening Standardqu’il est possible de découvrir ici.

Sophie Dix avait réitéré l’agression vécue aux mains de Harvey Weinstein l’an dernier, avec cette fois beaucoup plus de succès.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Potins

Affaire Weinstein : « Tout le monde s’en foutait »

La star Rachel Weisz n’y va pas avec le dos de la cuillère et accuse la majorité de l’industrie du cinéma d’avoir volontairement fermé les yeux sur les comportements horribles d’Harvey Weinstein alors qu’il était au sommet de sa gloire et de son pouvoir.

L’actrice de 47 ans rappelle qu’une amie proche, Sophie Dix, est très vocale depuis les années ’90 quant à une rencontre dévastatrice avec le producteur, mais que « tout le monde s’en foutait ».

« Mon amie Sophie Dix parle de ça depuis les années ’90. Elle disait son histoire à tout le monde qui voulait écouter, depuis 20 ans. Et tout le monde s’en foutait. Je pense que son pouvoir déclinait. Même chose pour Bill O’Reilly, Charlie Rose. C’est une question financière – ils ne ramenaient plus les gros sous désormais. Ce n’est pas un truc optimiste à dire, mais c’est juste à propos d’argent et de pouvoir », lance Rachel Weisz lors d’un superbe entretien avec le Evening Standardqu’il est possible de découvrir ici.

Sophie Dix avait réitéré l’agression vécue aux mains de Harvey Weinstein l’an dernier, avec cette fois beaucoup plus de succès.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Cinéma

Keira Knightley dénonce la culture du viol à Hollywood

Keira Knightley n’a jamais eu peur de ses opinions, et profite du contexte social actuel pour dénoncer ce qu’elle considère comme une culture du viol dans les films « situés à notre époque», lors d’une entrevue accordée à Variety.

« Je ne fais pas vraiment de films situés à notre époque, parce que le personnage féminin se fait toujours violer. Je trouve toujours de mauvais goût la manière dont les femmes sont dépeintes, alors que j’ai toujours trouvé très inspirants les personnages que l’on m’a offerts dans les œuvres historiques. Il y a eu quelques améliorations. Soudainement, on m’envoie des scénarios situés à notre époque où la femme ne se fait pas vi*ler dans les cinq premières pages, et qui n’est pas simplement la copine ou la femme aimante », explique avec candeur une Keira Knightley visiblement lasse des stéréotypes.

L’actrice de 32 ans est justement en vedette dans une autre oeuvre historique, Colette, et sera d’au moins quatre films, en 2018.

L’entrevue complète de Keira Knightley pour le Variety est disponible ici.

Crédit photo : BANG/BIG

Catégories
Potins

Keira Knightley dénonce la culture du viol à Hollywood

Keira Knightley n’a jamais eu peur de ses opinions, et profite du contexte social actuel pour dénoncer ce qu’elle considère comme une culture du viol dans les films « situés à notre époque», lors d’une entrevue accordée à Variety.

« Je ne fais pas vraiment de films situés à notre époque, parce que le personnage féminin se fait toujours violer. Je trouve toujours de mauvais goût la manière dont les femmes sont dépeintes, alors que j’ai toujours trouvé très inspirants les personnages que l’on m’a offerts dans les œuvres historiques. Il y a eu quelques améliorations. Soudainement, on m’envoie des scénarios situés à notre époque où la femme ne se fait pas violer dans les cinq premières pages, et qui n’est pas simplement la copine ou la femme aimante », explique avec candeur une Keira Knightley visiblement lasse des stéréotypes.

L’actrice de 32 ans est justement en vedette dans une autre oeuvre historique, Colette, et sera d’au moins quatre films, en 2018.

L’entrevue complète de Keira Knightley pour le Variety est disponible ici.

Crédit photo : BANG/BIG