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2015, une bonne année pour le cinéma au Québec

La Presse révèle d’intéressantes statistiques concernant le cinéma québécois et les habitudes des cinéphiles en salles, en 2015.

On apprend par l’entremise des chiffres obtenus par le quotidien que le cinéma québécois a repris du poil de la bête l’an dernier, notamment grâce à des titres comme Le Mirage, Paul à Québec, La Guerre des Tuques 3D et La Passion d’Augustine.

En tout, le cinéma local aura réussi à augmenter ses parts de marché de 1.3% si l’on compare avec 2014. Du côté des recettes, on note cependant une hausse de 28%.

Plus intéressant encore, et peut-être plus étonnant, plus de gens ont visionné des films en salles en 2015 qu’en 2014, malgré les nouvelles technologies disponibles sur le marché. La hausse en salles serait de 6,4%.

L’entrée en salles de mégaproductions américaines comme Jurassic World, Mission Impossible : Rogue Nation et Star Wars : The Force Awakens aura probablement joué un rôle important dans cette hausse des revenus aux guichets des cinémas du Québec.

Source : La Presse+

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De plus en plus de demandes de cultures de marijuana médicinale au Canada

Santé Canada serait assiégée de demandes pour des permis de culture de marijuana thérapeutique, selon les informations rapportées par Le Devoir.

Ces chiffres risquent d’être à la hausse pour encore un bon moment. Santé Canada observe une montée en flèche de ces demandes, qui oscillent maintenant à près de 25 nouvelles requêtes par semaine.

On recense plus de 850 demandes en date de la fin du mois d’avril, contrairement à 156 demandes en septembre 2013. Dès février 2014, les demandes se sont mises à tripler, et la hausse n’a jamais donné de signes de ralentissement.

Parmi les demandeurs, on retrouve des entrepreneurs possédant une expérience ou une expertise dans le domaine médical, ainsi que des sociétés minières. On peut aussi déduire que certaines demandes sont effectuées par des particuliers.

Plusieurs observateurs s’interrogent sur le phénomène. « Il s’agit d’une bureaucratie assiégée. Ils sont aux prises avec une situation à laquelle ils n’étaient pas préparés… il y a quelque chose qui ne fonctionne vraiment pas », s’exclame le président d’une entreprise demanderesse d’un permis, Umar Syed.

Plusieurs autres demandeurs abondent dans le même sens que M. Syed.

Santé Canada évalue à 1,3 milliard de dollars par année le marché du cannabis médicinal d’ici 2024, et une moyenne de consommateurs se situant autour de 450 000.

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Fentanyl : Inquiétude dans les rues de Montréal

L’ajout de Fentanyl dans certaines drogues de synthèse serait à l’origine de plusieurs décès et de cas d’intoxications dans la métropole, selon les informations rapportées par Le Devoir.

Les autorités s’inquiètent largement du phénomène observable dans les rues de Montréal, et la Direction de la santé publique (DSP) de la ville lance un sérieux avertissement aux consommateurs et aux citoyens.

En deux semaines seulement, la DSP rapporte neuf décès sur le territoire de la ville de Montréal liés à la consommation de drogue. Tous ces cas pourraient être dus à la présence de Fentanyl dans certaines drogues.

« Jusqu’à présent, l’ajout du Fentanyl ou d’autres substances de coupe aux drogues consommées est soupçonné chez les cas signalés. Cependant, tous les cas font toujours l’objet d’une enquête. Il est donc encore trop tôt pour dire si l’ensemble de ces décès et intoxications est directement lié au Fentanyl », précise le Dr Richard Massé (DSP).

Le Fentanyl se retrouverait notamment dans l’héroïne, la cocaïne et les comprimés d’oxycodone. L’inquiétude est telle, que le DSP invite les consommateurs à la prudence, et à ne pas se retrouver seuls sous l’influence de ces drogues.

« Les gens doivent être prudents : c’est la roulette russe », termine le Dr Massé, de façon imagée.

Jusqu’à présent, c’est 14 cas d’intoxication sévère qui ont été recensés sur le territoire de Montréal depuis le milieu du mois de mai.

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Le cancer de la peau gagne encore du terrain au Canada

Il semble que le cancer de la peau gagne toujours du terrain au Canada, rapporte Le Devoir, et se place maintenant à égalité au palmarès peu enviable des cancers les plus fréquents diagnostiqués sur notre territoire.

Au Québec seulement, on estime à 30 000 nouveaux cas à prévoir au cours de l’année 2014. Le plus inquiétant, et peut-être étonnant, est qu’il existe des méthodes de prévention et des causes connues pour ce type de cancer, à commencer par les rayons UV.

« Malheureusement, la mode du bronzage est encore présente, et les gens ont un peu perdu les consignes de sécurité. Ils s’exposent plus qu’avant et se protègent moins qu’il y a 20 ans. On voit qu’il y a encore de l’éducation à faire. Les jeunes bébés, les enfants, ça, les parents ont compris. C’est bien intégré dans les moeurs. Mais dès que l’adolescence arrive, les consignes de sécurité sont complètement mises de côté », explique le porte-parole de la Société canadienne du cancer (SCC), André Beaulieu.

Un retour en arrière qui expliquerait en partie cette hausse statistique des cas de cancer de la peau, selon la SCC, qui y va d’une vaste campagne de sensibilisation à l’aube de la saison estivale.

Les données et informations concernant le cancer de peau sont disponibles sur le site officiel de la SCC

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Le marathon gagne en popularité

Radio-Canada rappelle l’arrivée de la saison des marathons avec la venue de l’été et rapporte une hausse statistique des sportifs s’adonnant à cette épreuve des plus exigeantes sur le plan physique, mais aussi sur le plan psychologique.

Ainsi, on rapporte que les marathons attirent maintenant environ 500 000 personnes annuellement, comparativement à 150 000 il y a trente ans. Une hausse qui continue d’être observable depuis les années 80, en somme, et qui traduit bien le choix de plusieurs personnes de transformer leurs vies ou de se fixer un objectif intense d’entraînement.

Paradoxalement, si on retrouve toujours plus d’athlètes de ce niveau, on continue également d’observer une hausse des personnes sédentaires ou qui ne pratiquent pas d’activité physique, rapporte cette même source.

« On parle de 150 000 participants dans les années 80 et, aujourd’hui, on compte un demi-million de marathoniens. On constate qu’il y a plus de gens qui y participent, c’est devenu un sport plus démocratique », estime le spécialiste Marc Gosselin.

Il existe également maintenant des compétitions appelées « ultra-marathon », qui proposent des parcours de 160 kilomètres, de quoi rassasier les plus extrêmes.

Les spécialistes s’accordent toutefois pour dire qu’il est important de consulter un médecin pour un bilan de santé avant de se lancer dans un entraînement de marathonien, et de demander conseil auprès de différentes sources ou professionnels de la santé.

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Une étude établit un lien réel entre le téléphone et le risque de tumeur

Les téléphones intelligents et cellulaires sont soupçonnés depuis longtemps de hausser les risques de développer une tumeur, notamment au cerveau.

Une nouvelle recherche semble vouloir confirmer ces craintes, rapporte Top Santé, alors qu’une étude française propose des statistiques sur le sujet.

Selon la recherche menée par des chercheurs de l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (Isped) de l’Université de Bordeaux, les personnes qui utilisent constamment leur téléphone portable pour parler avec leurs proches ou pour affaires seraient effectivement plus à risque. On estime qu’un temps moyen minimum d’utilisation de trente minutes par jour peut constituer un risque bien réel de développer une tumeur cérébrale.

« Le risque de contracter un gliome est multiplié par deux pour les utilisateurs de longue durée d’un portable », estime la Dre Annie Sasco, Galement épidémiologiste.

On suggère donc l’utilisation d’oreillette ou d’un système comme le Bluetooth, d’éviter de téléphoner dans des zones de mauvaise réception ou encore de téléphoner lorsque s’on se déplace à grande vitesse, tous des facteurs qui pourraient contribuer au risque.

Les conclusions des chercheurs européens ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

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Hausse inquiétante de la morbidité maternelle

Les statistiques les plus récentes aux États-Unis ont été publiées la semaine dernière. Le taux de morbidité maternelle a tellement augmenté que le pays se retrouve dans le même panier que l’Afghanistan ou le Salvador. Les données sont « réellement inquiétantes », rapporte la Dre Lisa Hollier du Texas Children’s Pavilion for Women.

Selon Hollier, l’une des causes les plus probables des « nouvelles » complications est l’utilisation de méthodes invasives pour tomber enceinte. D’autre part, de plus en plus de femmes accouchent tardivement, menant à de nombreuses césariennes, rapporte She Knows.

Les causes les plus courantes de mortalité lors de l’accouchement sont cependant reliées à des problèmes de santé sous-jacents, comme des maladies cardiovasculaires (14,6 %), cardiomyopathies (11,8 %) ou autres maladies infectieuses, respiratoires, gastro-intestinales, endocriniennes ou hématologiques (11,9 %).

Il reste de nombreux cas reliés directement à des complications lors de l’accouchement, comme la septicémie (14 %), l’hémorragie (11 %) et d’autres troubles.

Au Canada, le taux de morbidité maternelle était à son plus haut en 2010-2011, oscillant entre les mêmes causes qu’aux États-Unis.

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L’OMS s’inquiète grandement de la propagation de poliomyélite

C’est avec grande inquiétude que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce un état d’urgence à grande échelle dans le dossier de la poliomyélite, qui semble prendre de plus en plus d’ampleur.

La poliomyélite, ou « polio », est une maladie ancienne qui reprend de la vigueur depuis quelque temps, notamment dans certains pays comme l’Afghanistan, la Guinée équatoriale, l’Éthiopie, l’Irak, Israël, la Somalie et le Nigeria.

Les « foyers potentiels de pandémie » se retrouveraient du côté du Pakistan, du Cameroun et de la Syrie, selon ce que rapporte Le Devoir.

« Si elle n’est pas contrôlée, la situation pourrait mettre en échec l’éradication globale d’une des maladies les plus graves que l’on puisse empêcher par la vaccination », explique l’OMS par voie de communiqué.

L’Organisation mondiale de la santé presse donc les autorités en place d’y aller de vastes campagnes de vaccination, notamment chez les voyageurs.

La « polio » avait pourtant perdu le combat depuis 1988, avec une baisse des cas de 99 %. L’OMS souhaite donc à tout prix éviter un retour de cette agressive maladie.

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Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.