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Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

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455 médecins supplémentaires au Québec

Un bilan proposé par le Collège des médecins du Québec, et rapporté par Radio-Canada, fait état d’une hausse des médecins praticiens au Québec depuis 2013, une excellente nouvelle en soi.

Ce sont près de 500 nouveaux médecins, soit 455, qui sont désormais disponibles dans la province, avec près de la moitié agissant comme médecins généralistes ou « médecins de famille ».

On apprend également dans ce rapport que les femmes continuent de progresser davantage en nombre dans la profession, les étudiants en médecine des facultés du Québec comptant dans leurs rangs pas moins de 63 % de femmes.

En ajoutant cette hausse de médecins à celle de 418 recensée en 2012, on constate que la situation dramatique du Québec pourrait s’améliorer au cours des prochaines années.

Car si le gouvernement et certains prédécesseurs ont causé du tort au système, les facultés et les penseurs universitaires ont réussi en partie à colmater la brèche.

« C’est une nette amélioration. On est sortis des soins intensifs et des soins intermédiaires. On est rendus à l’étage! On avait augmenté les admissions en faculté de médecine, il y a quelques années, et on commence à récolter ça. On voit que certaines régions qui étaient vraiment très déficitaires semblent, petit à petit, combler le déficit », explique le Dr Charles Bernard, PDG du Collège des médecins du Québec.

Une excellente nouvelle pour l’ensemble de la population, qui peut maintenant entrevoir l’avenir du système de santé avec un brin plus d’optimisme qu’il y a quelques années.

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La solitude favoriserait les troubles cardiovasculaires

Le fait d’être seul dans la vie n’est pas uniquement une triste réalité pour bien des gens, mais s’avèrerait également un important facteur de risque pour le cœur, selon les informations rapportées par Top Santé.

C’est la Fédération française de cardiologie qui s’est penchée sur le phénomène, et affirme que la solitude provoque une hausse des risques de maladie cardiovasculaire par deux fois.

Deux fois plus de chances, donc, pour une personne qui vit dans la solitude d’être victime d’un AVC ou d’un trouble cardiaque, mais il y a plus. Selon les chercheurs de la Fédération, la solitude gonfle aussi les statistiques d’obésité, de tabagisme, de stress, et d’hypertension. Ces deux derniers facteurs sont également des causes possibles de troubles cardiovasculaires.

Les gens seuls auraient aussi tendance à se nourrir moins sainement, ce qui ajoute à ce cocktail de risques pour le cœur.

« La prévention cardiaque est très centrée sur la lutte contre l’obésité, le tabac, le cholestérol. En revanche, peu de médecins interrogent leurs patients sur la qualité de leurs interactions sociales, et même s’ils le faisaient, ils ne pourraient pas les prescrire sur ordonnance. Faire du bien à un proche en l’appelant, échanger un simple sourire, exprimer sa reconnaissance à son entourage sont des moyens simples de rompre avec l’isolement. Donner également de son temps peut avoir un impact certain sur la santé mentale, sur l’humeur, et donc préserver le coeur en bonne santé », explique avec justesse le président de la Fédération, M. Claude Le Feuvre.

Une « prescription » fort importante, si l’on considère d’autant plus que les statistiques de solitude grimpent en flèche chez les aînés.

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Le revers de la médaille des boissons gazeuses diètes

Si un grand nombre de spécialistes en santé et nutrition s’entendent pour dire que le choix d’une boisson gazeuse dans son format diète est une bonne idée en soi, ils vous répondront également qu’il existe quelques revers à cette médaille.

Dont celui de vous faire manger plus, apprend-on maintenant des informations rapportées par The National Library of Medicine, qui propose les conclusions d’une étude sur le sujet.

Cette étude, en provenance de la Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health, explique que les gens qui optent pour des boissons gazeuses diètes sont plus enclins à consommer plus de calories quotidiennement que ceux qui s’en tiennent à la version originale, ironiquement.

« Les gens en surpoids qui consomment des boissons diètes mangent plus de nourriture dans une journée que ceux qui consomment des boissons gazeuses sucrées. Si vous consommez des sucres artificiels, ça indique au cerveau que vous moins rassasié, et vous mangez plus », explique Sara Bleich, l’une des chercheuses impliquées.

The American Beverage Association, qui représente plusieurs fabricants de boissons gazeuses, s’indigne d’une telle conclusion et rappelle que de nombreuses études ont démontré les bienfaits des boissons diètes.

Mais une professeure de l’Université Purdue tranche le débat : « Le but devrait plutôt être de réduire la consommation de sucre et de sucre artificiel en tant que tel. La meilleure option demeure de boire de l’eau ».

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine American Journal of Public Health.

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Quand la sexualité rend plus « intelligent »

Une sexualité active pourrait bien augmenter certaines compétences du cerveau, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), et par conséquent rendre plus « intelligent ».

On apprend en effet de l’étude rapportée par le quotidien que le sexe a une bonne influence sur les cellules cérébrales, et favoriserait leur progression. Les résultats de cette cause à effet pourraient varier entre de meilleures capacités cognitives, une baisse significative de stress et de plus grandes capacités de mémorisation.

On doit ces révélations, qui abondent dans le même sens que quelques autres recherches précédentes sur le sujet, à une équipe de l’Université du Maryland, qui proposait ses travaux lors d’une conférence de la Society for Neuroscience.

La notion de création de nouvelles cellules cérébrales peut aussi surprendre, et les chercheurs impliqués dans la recherche croient que le sexe, tout comme les exercices mentaux et physiques, peut contribuer à garder ces cellules plus longtemps en vie.

Comme le note si bien le Daily Mail (UK), les cours du soir n’auront jamais été aussi plaisants à la suite de cette étude.

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Le sucre est-il la nicotine de l’ère moderne?

« Le sucre est le nouveau tabac », lance Simon Capewell, un professeur d’épidémiologie clinique à l’Université de Liverpool.

Son opinion va de pair avec celle exprimée par bon nombre de ses confrères et spécialistes de la santé, comme on le sait, et un groupe composé d’Américains et de Britanniques lance maintenant une campagne de sensibilisation afin d’obliger les multinationales et compagnies productrices d’aliments à baisser les taux de sucre dans leurs produits d’au moins un tiers.

Pour étayer leurs propos, les chercheurs affectés à cette campagne ont décidé de tester plusieurs produits et aliments pour en dévoiler leur teneur en sucre. Ainsi, rapporte le Daily Mail (UK), on découvre que presque tout contient du sucre, même des yogourts « sans sucre », des eaux vitaminées embouteillées et de la soupe aux tomates (Heinz).

« Nous devons entamer un plan structuré et cohérent afin de doucement réduire le nombre de calories consommé par les gens en retirant le sucre ajouté des aliments et des boissons », lance le professeur Graham MacGregor, de Londres.

Pour ces chercheurs, le sucre s’est infiltré dans tout ce qu’on mange, et la donne doit changer afin d’assurer la sécurité du public contre des multinationales qui ne « songe qu’aux profits, et non à la santé des consommateurs ».

En se basant sur cette prémisse, le sucre pourrait bien effectivement être la nicotine de l’ère moderne.  

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Vers un vaccin contre la coqueluche en Europe

Si vous croyez que la coqueluche est une maladie du passé révolue, détrompez-vous : plusieurs cas sont encore recensés chaque année, et la maladie d’époque résonne encore dans l’ère moderne.

Top Santé rapporte que la maladie ferait jusqu’à 300 000 morts dans le monde annuellement, malheureusement surtout chez les enfants. On note également une hausse moyenne des cas depuis 2010 en Europe.

Mais des chercheurs européens (INSERM) seraient sur la piste d’un tout nouveau genre de vaccin, administré par les voies nasales, et qui pourrait contrer la menace de la coqueluche.

« Ce mode d’administration original rendra le vaccin accessible au plus grand nombre et à moindre coût. Ce qui est particulièrement intéressant était qu’une seule administration nasale pouvait induire une réponse immunitaire qui se maintenait au moins pendant six mois, c’est-à-dire aussi longtemps que l’étude », explique Camille Locht, du Centre d’Infection et d’Immunité de Lille et directrice de ces nouvelles recherches.

Les essais sur l’homme de ce vaccin nasal contre la coqueluche semblent donc satisfaisants pour les chercheurs, qui croient que celui-ci pourrait devenir une norme dans le monde médical au cours des prochaines années.

Les détails et résultats de ces recherches ont été publiés dans le magazine PLoS ONE.

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Injecter de l’argent en santé bénéficierait davantage aux hommes qu’aux femmes

Une étude proposée par un candidat au doctorat montréalais dévoile des statistiques intéressantes en matière de développement du système de santé et de ses impacts sur les hommes et les femmes.

Rapportée par The National Library of Medicine, l’étude en question analyse des données en provenance de 27 pays développés concernant leur système de santé, et l’efficacité des sommes injectées.

« Nous avons été surpris de découvrir un large écart entre les sexes en matière d’efficacité des sommes injectées à travers les pays industrialisés dans le monde », lance Douglas Barthold, de l’Université McGill.

Il appert en effet que depuis 1991, les avancées médicales et les investissements en capitaux dans les systèmes de santé ont largement profité aux hommes, qui ont vu leur espérance de vie augmenter plus rapidement que celle des femmes.

Il semble que pour chaque 100 $ investi dans un système de santé de l’un de ces pays, un homme gagnerait 2,56 mois d’espérance de vie, contre 1,26 pour les femmes.

Ces étranges conclusions demeurent à être développées et expliquées plus en détail, mais on peut noter que les femmes bénéficiaient déjà d’une espérance de vie plus grande, ce qui s’avère vrai à ce jour.

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Obamacare reprend du poil de la bête

C’est un deuxième essai qui semble en voie de se solder par un succès, peu importe nos idéaux et philosophies politiques, pour le président Barack Obama et son nouveau système de santé surnommé « Obamacare », après un faux départ et des mois de polémique.

C’est qu’en plus d’être décrié par une partie de la population et vilipendé par les républicains, bien entendu, Obamacare a connu des ratés techniques dès le départ, en plus de semer la confusion au sein de la population.

On connaît maintenant beaucoup mieux les tenants et aboutissants du système implanté par Barack Obama, notamment ces obligations des compagnies d’assurance à couvrir les soins de base et d’hospitalisation de leurs clients, l’obligation d’accepter les patients mêmes jugés fragiles ou « coûteux », et l’interdiction de plafonner les remboursements annuellement, notamment.

Des mesures qui protègent donc le patient et la population, mais qui inversent complètement le processus déjà en place et qui feront monter les coûts d’assurances pour l’ensemble de la population… qui sera néanmoins mieux protégée globalement, à condition que tout le monde y adhère.

La bonne nouvelle à ce stade, rapporte notamment La-Croix, c’est que les inscriptions à Obamacare sont en hausse, et on prédit que le premier objectif de sept millions de nouveaux assurés d’ici la fin mars 2014 pourrait être atteint. On en est à 2,1 millions, sur les 50 millions qui n’avaient tout bonnement pas de possibilité ou de désir d’assurance maladie avant l’instauration d’Obamacare, un système qui compte justement sur l’inscription de tout le monde afin d’être pleinement fonctionnel et justifiable.

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Une nouvelle souche de l’E. Coli inquiète les spécialistes

The National Library of Medicine rapporte l’inquiétude de plusieurs spécialistes concernant la montée en flèche d’une virulente souche de la bactérie E. Coli, qui commence à poser de sérieuses menaces partout dans le monde.

On apprend d’ailleurs du même coup que cette souche de l’E. Coli, la H30-Rx, serait devenue au cours des dernières années la cause principale d’infection chez les femmes et les personnes âgées, et ce, de façon générale à travers la planète.

La H30-Rx serait résistante aux antibiotiques et aurait développé l’unique capacité de se répandre à travers le système urinaire et le sang, provoquant du même coup une infection extrêmement dangereuse.

« Avec la vaste présence de résistance aux antibiotiques démontrée par l’E. Coli, il devient plus difficile de traiter les infections, et cela mène à une hausse de mortalité. Cependant, la H30-Rx pourrait proposer des opportunités de vaccins ou de stratégie de prévention… », explique le Dr David Samadi, du Lenox Hill Hospital de New York.

Le Dr Samadi et ses homologues ont donc bon espoir de pouvoir remédier à la situation, même s’il reste encore beaucoup de travail à faire pour enrayer le phénomène.