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Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

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Le test maison pour la pression sanguine inefficace?

Les tests maison retrouvés un peu partout dans les foyers d’Amérique du Nord pourraient s’avérer inefficaces, selon une nouvelle étude.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs remettent en doute la véracité des résultats proposés par certains de ces tests.

Cependant, ceux-ci fonctionneraient beaucoup mieux lorsque vient le temps de lire les données d’une personne plus âgée ayant déjà souffert de problèmes cardiaques, voire d’un AVC.

Le reste de la population devrait par contre se méfier. C’est ce que conclut l’étude, qui a suivi des patients sur une période d’un an.

Les chercheurs ont donc donné à un groupe des systèmes de tests de pression sanguine populaires et vérifié les données avec un groupe B.

Les résultats sont clairs pour Hayden B. Bosworth, professeur de médecine à l’Université Duke de Durham : « Il y a des différences marquées entre les données réelles et certains résultats affichés par ces tests. Cela fonctionne pour certaines personnes; il ne faut pas les bannir complètement. Il s’agit simplement de déterminer quels tests s’appliquent à quelles personnes. »

On suggère de consulter votre médecin pour avoir l’heure juste et d’entamer un contrôle efficace de la haute pression.

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La haute pression chez les jeunes : des diagnostics déficients

L’American Heart Association lance un cri d’alerte concernant les problèmes de haute pression chez les jeunes et met en garde les praticiens contre certaines lacunes de diagnostics observées.

Il semble que les médecins ne soient pas très enclins à surveiller d’éventuels problèmes de haute pression chez les plus jeunes, un phénomène pourtant bien réel.

www.newsroom.heart.org rapporte que dans plusieurs cas, les patients ne reçoivent un tel diagnostic que longtemps, parfois jusqu’à quatre ans, après l’apparition réelle du problème.

Les jeunes fumeurs, entre autres, sont sujets à faire de la haute pression.

Fait étonnant, les femmes médecins obtiennent une meilleure note, alors qu’elles font régulièrement des diagnostics de haute pression chez leurs patients plus jeunes.

C’est d’ailleurs une femme, Heather Johnson, qui est à la tête de l’étude. Elle déclare : « Les jeunes adultes de 18 à 24 ans qui passent dans les cliniques se font pourtant tester au niveau de la pression sanguine. Cependant, il n’y a aucune documentation, et les diagnostics réels sont rares. Nous voulons savoir pourquoi ».

On suggère aux jeunes patients de prendre le temps de poser des questions à cet effet lors de leurs visites chez le médecin de famille.

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Un vaccin contre la haute pression

L’équipe du chercheur suisse Martin Bachmann est sur le point de remplacer la médication utilisée pour traiter la haute pression sanguine par un simple vaccin. Celui-ci bloquerait les récepteurs de l’angiotensine II, les peptides qui jouent un rôle dans la maintenance du volume et de la tension artériels.

Selon l’inventeur de ce vaccin, il ne faut que deux à trois doses annuelles pour contrôler l’hypertension artérielle et dire ainsi adieu aux médicaments.

« Nos analyses démontrent que le vaccin est bien toléré par les sujets qui font de la haute pression et que celle-ci diminue », a précisé le Dr Bachmann

En plus de l’absence d’effets secondaires, le vaccin permet de contourner deux problèmes reliés à la prise de médicaments : celui voulant que les personnes ne les prennent pas de manière appropriée et celui voulant que les médicaments soient peu efficaces lorsqu’ils sont consommés tôt le matin.

Seulement aux États-Unis, le tiers des personnes qui souffrent d’hypertension voient leur condition contrôlée par la médication.