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Jean Dujardin s’ennuie de OSS 117

Bonne nouvelle pour les fans de Jean Dujardin, mais surtout ceux de Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117.

Le Journal de Québec et AFP rapportent en effet que l’acteur français avoue s’ennuyer de son rôle d’agent secret, et qu’il accepterait de tourner un troisième volet dès qu’on lui demanderait.

« On me dit OSS 3 et je dis demain. Mais ça dépend aussi de Michel Hazavanicius. Je ne conçois pas de faire le 3 sans lui. Comme lui, j’espère », lance Jean Dujardin.

Michel Hazavanicius, le réalisateur derrière les deux premiers OSS, n’a pas tardé à répondre aux déclarations de son acteur fétiche.

« Je serais dingue, et lui aussi, de ne pas vouloir retourner à ce personnage-là. Ça passera par un désir fort, une bonne idée et du travail. L’envie théorique, on l’a. C’est un personnage en or massif, avec un acteur en or massif. Je n’imagine pas faire OSS sans lui, quoi que… », répond le réalisateur avec un brin d’humour.

Dujardin et Hazavanicius s’étaient retrouvés pour L’Artiste, qui avait tout balayé sur son passage lors de sa sortie en 2012.

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Jean Dujardin s’ennuie de OSS 117

Bonne nouvelle pour les fans de Jean Dujardin, mais surtout ceux de Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117.

Le Journal de Québec et AFP rapportent en effet que l’acteur français avoue s’ennuyer de son rôle d’agent secret, et qu’il accepterait de tourner un troisième volet dès qu’on lui demanderait.

« On me dit OSS 3 et je dis demain. Mais ça dépend aussi de Michel Hazavanicius. Je ne conçois pas de faire le 3 sans lui. Comme lui, j’espère », lance Jean Dujardin.

Michel Hazavanicius, le réalisateur derrière les deux premiers OSS, n’a pas tardé à répondre aux déclarations de son acteur fétiche.

« Je serais dingue, et lui aussi, de ne pas vouloir retourner à ce personnage-là. Ça passera par un désir fort, une bonne idée et du travail. L’envie théorique, on l’a. C’est un personnage en or massif, avec un acteur en or massif. Je n’imagine pas faire OSS sans lui, quoi que… », répond le réalisateur avec un brin d’humour.

Dujardin et Hazavanicius s’étaient retrouvés pour L’Artiste, qui avait tout balayé sur son passage lors de sa sortie en 2012.

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Cinéma

Cannes 2014 : Hazanavicius et Godard, temps forts du 21 mai

Michel Hazanavicius dévoilera The search avec Bérénice Bejo et Annette Bening. De son côté, Jean-Luc Godard, en compétition avec Adieu au langage, n’a pas souhaité faire le déplacement.

Pas de chance de croiser Jean-Luc Godard à Cannes ni cette année ni pour une autre édition donc, confiait le réalisateur à la télévision suisse, le 17 mai. « Rien ne me fera aller à Cannes. Parce que j’y suis déjà allé. Il n’y a qu’à regarder le film et dire si vous le trouvez bien, et puis voilà ».

Et d’ajouter : « Par esprit de contradiction, j’aimerais mieux qu’il n’y ait aucun prix… » Un constat qui n’empêche pas le Franco-Suisse d’être en lice pour la Palme d’or avec Adieu au langage. Quatre ans après Film socialisme, ce long-métrage tourné en 3D au synopsis énigmatique étudiera la relation entre un homme et une femme.

De son côté, Michel Hazanavicius, également en compétition, présentera son remake des Anges marqués (1948), intitulé The search, avec Bérénice Bejo et Annette Bening. Le film a lieu pendant la seconde guerre de Tchétchénie, en 1999, et raconte quatre destins que le conflit va amener à se croiser.

Le Chinois Wang Chao fait son retour à Cannes après avoir remporté le prix Un Certain Regard avec Voiture de Luxe en 2006. Dans cette même section, il présentera son nouveau long-métrage Fantasia, film sombre dans le milieu ouvrier chinois. Également présent dans cette sélection, Snow in paradise d’Andrew Hulme racontera l’histoire vraie de Dave, un délinquant londonien qui, après avoir provoqué la mort de son ami Tarik, tente de trouver la paix dans l’Islam.

En séances spéciales, le film Maidan de Serguei Loznitsa, du nom de la place centrale de Kiev, en Ukraine, d’où est née la contestation qui a forcé le président Ianoukovitch à démissionner le 22 février 2014, proposera un éclairage sur ces événements politiques et médiatiques.

À retenir également, la projection du Conte de la princesse Kaguya d’Isao Takahata, le dernier film sorti des studios Ghibli.

Enfin, André Téchiné dévoilera L’homme qu’on aimait trop hors compétition, un long-métrage basé sur la célèbre affaire judiciaire Maurice Agnelet-Agnès Le Roux.