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Étude sur l’aluminium dans les vaccins

On apprend sur Le Figaro que le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en France révèle dans un récent rapport que l’adjuvant de certains vaccins, qui contient de l’aluminium, ne serait aucunement lié aux divers troubles dont la population s’est plainte, dont des problèmes musculaires et cognitifs.

Les injections visées sont celles du vaccin diphtérie-tétanos-polio, celui contre les hépatites A et B et le papillomavirus. Malgré que l’adjuvant soit utilisé depuis plus de 80 ans, le HCSP a tout de même mis sur pied une équipe consultative qui s’est penchée sur la question.

En conclusion, elle a recommandé la poursuite des vaccinations comme prévu au calendrier et rappelle les dangers potentiels pour la santé globale qu’une baisse de la couverture vaccinale pourrait avoir.

Dans ce rapport, on peut lire : « Le HCSP estime que les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques ».

Bien que considérées comme infondées, les inquiétudes des patients n’arrivent pas de nulle part. Plusieurs études passées ont déjà suggéré la toxicité de l’adjuvant aluminique.

Entre autres, il avait été prouvé que les cellules immunitaires véhiculant l’aluminium pouvaient migrer dans le cerveau de souris et y rester. Or, l’aluminium est toxique pour les cellules cérébrales.

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Hépatite B : la couverture vaccinale en nette amélioration chez les nourrissons

(Relaxnews) – Alors que la Journée mondiale contre l’hépatite se tient le samedi 28 juillet, la Direction générale de la santé (DGS) annonce que la couverture vaccinale contre l’hépatite B ne cesse de s’améliorer chez les nourrissons.

Plus de huit nourrissons sur dix (81 %) avaient reçu une dose de vaccin contre l’hépatite B à l’âge de six mois en 2010, contre seulement 31 % trois ans auparavant. Ces progrès s’expliquent notamment par la mise en oeuvre du remboursement du vaccin combiné hexavalent intervenue en France en 2008.

Autre nouvelle rassurante : les Français ont de plus en plus recours aux tests de dépistage. Pour le virus de l’hépatite B, le nombre de tests est passé de 1,19 à 1,96 million entre 2000 et 2010, alors que pour celui de l’hépatite C, il a quasiment doublé, passant de 960 000 à 1,86 million.

Malgré ces avancées notables, la DGS rappelle que la moitié des personnes atteintes par l’un de ces deux virus ne savent pas qu’elles sont infectées. L’autorité sanitaire indique que les efforts doivent être portés sur la vaccination, le dépistage et la sensibilisation, notamment auprès des personnes à risque (détenus, usagers de drogues, personnes tatouées ou personnes ayant des rapports sexuels avec des partenaires multiples).

Environ 280 000 Français sont infectés par le virus de l’hépatite B, et 232 000 par celui de l’hépatite C.

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Hépatite B : 47 % des bébés vaccinés

Selon le Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire du 10 juillet dernier, les bébés ne sont pas assez vaccinés contre l’hépatite B, avec un taux à 47 % en 2008, rapporte le site Famili.fr.

Pourtant, ce vaccin est primordial pour réduire la circulation du virus, qui fait encore un grand nombre de victimes à travers le monde.

Le bulletin précise que ce faible taux représente la vaccination chez les bébés âgés de 24 mois. Cette hépatite, qui peut être transmise notamment par les sécrétions biologiques, n’est donc pas une priorité pour les parents. Pourtant, la vaccination contre cette maladie est recommandée pour tous les nourrissons.

Les parents ne devraient pas s’inquiéter : les soupçons d’un risque de sclérose en plaques dû au vaccin ne sont plus d’actualité. Les médecins sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à vacciner contre ce virus.

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Hépatite B : une large majorité de médecins est favorable à la vaccination des adultes à risque

(Relaxnews) – Plus de neuf médecins généralistes sur dix (94 %) se déclarent favorables à la vaccination contre l’hépatite B pour les adultes à risque, d’après la dernière étude du Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) de l’Institut de veille sanitaire (InVS) publié aujourd’hui (10 juillet).

Un peu plus des trois quarts des professionnels interrogés (78,7 %) se disent favorables à la vaccination des adolescents, et 68 % à celle des nourrissons.

Non seulement la quasi-totalité des médecins généralistes recommande la vaccination, mais ils suivent également eux-mêmes ces directives. Ainsi, 88 % des médecins interrogés affirment être vaccinés contre l’hépatite B.

Autre constat : plus d’un tiers des médecins généralistes (36 %) déclare proposer de façon systématique le vaccin hexavalent pour les nourrissons.

Alors que l’étude a été réalisée neuf mois après la décision de l’Assurance maladie de rembourser le vaccin hexavalent, le sondage révèle que pour près des deux tiers des médecins généralistes, ce remboursement a entraîné une amélioration de la couverture vaccinale.

Ce sondage a été réalisé entre novembre 2008 et janvier 2009 par téléphone et en ligne, auprès d’un échantillon de 2083 médecins généralistes exerçant une activité libérale.

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La thérapie fish spa : attention, danger

On vous promet une pédicure des plus relaxante si vous vous adonnez à la thérapie fish spa, laquelle pourrait même réduire votre stress et soulager vos symptômes de psoriasis.

Or, on apprend sur MedicMagic que cette méthode basée sur les morsures de poissons peut entraîner des maladies infectieuses.

La raison en est que le Garra rufa, aussi appelé le poisson-docteur, est de moins en moins utilisé par les centres de détente. On opterait plus souvent pour le poisson Chin chin, qui coûte beaucoup moins cher.

Le Garra rufa est employé dans les spas naturels depuis plusieurs années. Toutefois, il demande plus d’entretien et ne peut être utilisé à répétition. On doit ainsi s’assurer que les eaux sont bien désinfectées et que les poissons ne sont employés qu’une seule fois.

Quant au poisson Chin chin, il est plus agressif que le Garra rufa. En grandissant, des dents lui poussent, ce qui le rend plus dangereux. Il peut ainsi blesser et transmettre des maladies infectieuses plus facilement.

Il est par ailleurs reconnu pour aspirer du sang et transmettre de cette façon l’hépatite B. Cette maladie est transmissible par les poissons et par l’eau, notamment dans les piscines publiques.

On recommande quatre règles de sécurité si l’on se rend dans un fish spa : l’eau des poissons est filtrée aux ultraviolets; on réserve une bassine par client; les poissons ne sont pas réutilisés; on exige aux clients de se laver les pieds et l’on refuse les clients ayant une infection à levure.

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L’hépatite B cause des cancers du système lymphatique

Les personnes qui souffrent de l’hépatite B chronique, une infection transmise sexuellement, ont deux fois plus de risques de développer un lymphome non hodgkinien (LNH).

 

Après avoir suivi 600 000 personnes pendant 14 ans, des chercheurs américains et sud-coréens ont découvert que l’hépatite B double les chances de développer un cancer lié au système lymphatique, soit les ganglions qui sont situés dans le cou, aux aisselles, à la poitrine, à l’abdomen et à l’aine.

Par le passé, on a déjà associé ce type d’hépatite à une mortalité accrue, en raison de cirrhose et de cancer du foie.

Cette fois, c’est au lymphome qu’on l’associe. « Dans cette vaste étude, nous avons montré un risque accru de lymphome non hodgkinien chez les personnes infectées par le virus de l’hépatite B. D’autres recherches sont nécessaires pour établir un lien causal entre hépatite B et lymphome non hodgkinien », mentionnent les auteurs selon The Lancet Oncology.

L’hépatite B affecte 350 millions de personnes dans le monde.

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Les bébés de plus en plus vaccinés contre l’hépatite B

Il semble que les parents auraient un regain de confiance envers le vaccin contre l’hépatite B. En 2007, 42 % des enfants avaient reçu les trois doses recommandées à deux ans, comparativement à 34,5 % en 2004.
 
Bien que les médecins trouvent les résultats de l’étude encourageants, ils sont encore insuffisants selon eux, rapporte le Bulletin épidémiologique hebdomadaire.
 
Depuis une dizaine d’années, on recommande le vaccin pour l’hépatite B, donné en trois doses, pour tous les bébés.
 
Depuis 1990, un débat existe toutefois sur les possibles effets secondaires du vaccin, notamment qu’il augmenterait le risque de développer la sclérose en plaques. Encore aujourd’hui, des études se contredisent, mais les médecins insistent sur le fait que la vaccination est sécuritaire et efficace.
 
La majorité du temps, l’hépatite B ne provoque pas de symptômes ou sinon très peu. Dans 5 % des cas, elle peut par contre devenir une infection chronique et mener à une cirrhose ou même un cancer du foie.
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Découverte dans le domaine du cancer du foie

Par le passé, les chercheurs ne trouvaient aucune explication au fait que plus d’hommes ayant une hépatite B développaient un cancer du foie comparativement aux femmes.
 
Aujourd’hui, le Dr Ming-Heng Wu et son équipe de l’Université Cheng Kung de Taiwan ont découvert que le génome du virus de l’hépatite B contenait la réponse.
 
Selon la revue Science Translational Medicine, le génome contient une séquence particulière de l’ADN qui interagit avec les récepteurs de l’androgène, l’hormone sexuelle mâle. Donc, c’est l’androgène qui jouerait un rôle dans l’apparition du cancer.
 
Les scientifiques pensent maintenant que des médicaments qui cibleraient les récepteurs de l’androgène permettraient de lutter efficacement contre le cancer du foie, spécialement lors de son développement.
 
On estime que 1 850 nouveaux cas de ce type de cancer seront diagnostiqués cette année au Canada. Le cancer du foie est le cinquième cancer le plus fréquent dans le monde et l’hépatite B déclenche la moitié d’entre eux.
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Le Canada doit agir davantage en matière d’hépatite

Alors que la journée du 20 mai est consacrée à l’hépatite, l’Alliance mondiale pour l’hépatite au Canada, un nouveau groupe formé d’individus, de professionnels des soins de santé et d’associations, interpelle le gouvernement fédéral afin qu’il développe une stratégie de prévention de la maladie d’ici 2012.

Selon l’organisme, l’hépatite B et C menacent la vie des 600 000 Canadiens qui en sont atteints; des mesures concrètes doivent être prises afin de prévenir et de traiter la maladie et de faire plus de recherches en la matière.

« Les Canadiens meurent à cause de l’inaction et de l’ignorance. C’est inacceptable de la part d’un pays qui vante les avantages de son système de santé universel financé par les fonds publics. Nous reconnaissons que la récente annonce du gouvernement contribue à faire en sorte que l’hépatite C soit reconnue comme un problème de santé national. Toutefois, il s’agit uniquement de la pointe de l’iceberg. L’hépatite B a été complètement ignorée et les subventions pour l’hépatite C sont cruellement insuffisantes pour correctement s’attaquer à ce problème majeur », a souligné le président de la Fondation canadienne du foie et président de l’Alliance mondiale pour l’hépatite au Canada, M. Gary Fagan.