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Le traitement de l’hépatite c augmente les risques de dépression

Déjà avant d’entamer un traitement contre l’hépatite C, certains patients sont déprimés, mais l’International Journal of Interferon, Cytokine and Mediator Research rapporte que les risques de dépression chez les patients sont accrus de 10 à 40 % avec le traitement par interféron.
 
Les interférons pégylés combinés avec les antiviraux donnent un taux de guérison durable et aident à soulager les douleurs musculaires et articulaires, en plus de réduire aussi la fatigue. Seulement, les risques de dépression et de pensées suicidaires sont accrus.
 
Le problème est que les antidépresseurs ne fonctionnent pas toujours pour aider les patients.
 
Il est donc important d’avoir un suivi médical adéquat afin de maximiser les chances de guérison et permettre aux patients de bien vivre sans être déprimés.
 
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Attention aux tatouages!

Des chercheurs ont récolté des données concernant les tatouages depuis 1994. On lance un appel à la prudence, car cela peut causer l’hépatite C.
 
En fait, si vous choisissez un tatoueur qui a une formation professionnelle et un établissement reconnu, où la sécurité des gens est primordiale, il ne devrait pas y avoir de problèmes.
 
Cependant, un tatoueur amateur peut vous causer de sérieux ennuis. En fait, certains sont négligents, non seulement avec les aiguilles, mais également avec l’encre. Des clients contractent l’hépatite C en raison d’une contamination de l’encre.
 
Cette infection du foie peut entraîner une cirrhose et même un cancer. Les symptômes peuvent être traités, mais ils sont souvent si bénins que la majorité des gens infectés ne reçoivent aucun traitement, malheureusement. Pourtant, comme toute maladie, une intervention médicale précoce est préférable.
 
Chaque année aux États-Unis, on dénote 18 000 nouveaux cas d’hépatite C, surtout causés par l’injection de drogue avec des aiguilles contaminées.
 
À noter que les différents perçages aussi présentent les mêmes risques.
 
Le journal Clinical Infectious Diseases rappelle donc de bien choisir son tatoueur. Mis à part l’hépatite C, des instruments contaminés peuvent aussi transmettre d’autres maladies graves.
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Un vaccin contre l’hépatite C grâce aux chimpanzés

Deux équipes de chercheurs européens ont démontré que les chimpanzés permettraient la création d’un vaccin contre l’hépatite C pour l’homme.
 
À ce jour, il n’existe aucun vaccin contre cette maladie qui touche plus de 170 millions de personnes dans le monde.
 
Après des études, les chercheurs ont constaté que les adénovirus des singes pouvaient offrir une protection contre la maladie.
 
Chez l’humain, on se sert des adénovirus comme vecteurs dans les vaccins pour transférer un gène dans les cellules, mais ces vecteurs ne sont pas les meilleurs pour l’hépatite C.
 
Plusieurs humains ont déjà été en contact avec le virus qui cause l’hépatite C, ce qui tue les vecteurs et les empêchent de déclencher une réponse immunitaire efficace.
 
Toutefois, les adénovirus des chimpanzés seraient beaucoup plus efficaces.
 
Les premiers tests effectués sur un petit groupe de volontaires ont donné des résultats très encourageants.

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Une molécule pour traiter les maladies auto-immunes

Des chercheurs français ont découvert qu’une molécule, déjà utilisée pour traiter certains cancers, était aussi efficace pour soigner les complications auto-immunes de l’hépatite C.
 
Bien souvent, les personnes ayant une hépatite C peuvent développer des complications au niveau de la peau, des articulations, des nerfs ou des reins.
 
Après six mois de traitements avec la molécule interleukine-2, on a noté une amélioration considérable des patients, rapporte le New England Journal of Medicine.
 
« Ces résultats montrent, pour la première fois chez l’homme, que l’interleukine-2 à faibles doses a des effets thérapeutiques dans contexte d’une maladie auto-immune, ouvrant la voie à ce type de traitement dans des maladies comme le diabète, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques, le lupus… Des essais de traitement par interleukine-2 du diabète de type 1 sont déjà en cours à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière », expliquent les chercheurs.
 
Cette découverte ouvre la voie à de nouveaux traitements pour les maladies auto-immunes.
 
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Un nouveau médicament contre l’hépatite C

Les personnes qui souffrent d’hépatite C auront maintenant un choix de plus comme traitement. L’agence américaine de médicaments (FDA) a approuvé la mise en marché d’Incivek, des laboratoires américains Vertez Pharmaceuticals.
 
L’Incivek a donné des résultats de 20 à 45 % supérieurs aux traitements actuels lors des essais en laboratoire. Ce traitement est aussi appelé telaprevir et complète une thérapie avec le peginterféron alpha et la ribavirine. Il consiste en une pilule à prendre trois fois par jour lors des repas.
 
Il y a quelques semaines, la FDA approuvait aussi le Victrelis des laboratoires Merck. « Avec l’approbation d’Incivek, il y a maintenant deux nouveaux traitements importants contre l’hépatite C, qui offrent une plus grande chance de soigner certains patients dans un état grave », indique Edward Cox de la FDA.
 
L’hépatite C touche 170 millions de personnes dans le monde et cause 350 000 décès annuellement. Il n’existe aucun vaccin contre cette pathologie qui entraîne bien souvent une cirrhose ou un cancer du foie.
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Transmission mère-enfant : nouvelles données

De nouvelles données ont été présentées dans Hepatology quant à la transmission de l’hépatite C et du VIH. Un gène influencerait le combat de la transmission à l’enfant, lequel se nomme le IL28B.

En effet, le rejet spontané de l’hépatite C par le bébé serait dû à ce gène IL28B. On a par ailleurs constaté que les facteurs de risque d’une possible transmission auraient tout à voir avec la coexistence de l’hépatite C et du VIH.
 
Des recherches précédentes avaient tenté d’établir des liens entre la transmission de l’hépatite et la façon de nourrir l’enfant (allaitement ou non) ainsi que la méthode d’accouchement (vaginale ou par césarienne), par exemple. Les résultats avaient toutefois été variés, voire contradictoires.

Toutes les données possibles doivent être prises en compte quant à l’épidémie d’hépatite C et du sida. En ce moment, 170 millions de personnes sont infectées de l’hépatite C dans le monde. De 10 à 15 % des cas se soldent par une cirrhose ou un cancer du foie.

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Nouvel espoir contre l’hépatite C

Des chercheurs américains auraient découvert une thérapie beaucoup plus efficace que celles utilisées en ce moment contre l’hépatite C.
 
Selon le New England Journal of Medicine, ce nouveau traitement prometteur serait constitué d’un cocktail de trois médicaments, incluant le nouveau bocéprévir. Ce dernier neutralise la protéase, l’enzyme qui permet au virus de se multiplier.
 
Selon le Dr Stuart Gordon de l’hôpital Henry Ford à Détroit, les résultats obtenus jusqu’à présent sur les 1 000 patients canadiens et américains sont très encourageants. « Cette étude représente une percée remarquable. Elle pourrait aboutir à une guérison des personnes souffrant d’hépatite C et ne répondant pas aux thérapies existantes », dit-il.
 
Des études plus approfondies seront donc effectuées.
 
Au Canada, on estime qu’il y aurait de 3 200 à 5 000 nouveaux cas d’hépatite C diagnostiqués chaque année.
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Avancée dans le traitement de l’hépatite C

Les traitements traditionnels ne permettent que de guérir un cas sur deux de l’hépatite C. Le Figaro mentionne que des scientifiques ont identifié un indicateur prédictif qui pourrait dire de façon fiable comment le patient réagira au traitement contre la maladie.
 
Habituellement, les traitements sont longs, de six à douze mois. Ils sont souvent pénibles et causent des effets secondaires indésirables importants, comme un syndrome grippal, un amaigrissement, de l’insomnie, une perte de cheveux, une dépression et de l’anémie, entre autres.
 
On a remarqué que les personnes qui ne guérissent pas en traitement possèdent une forme particulière et plus courte de la protéine IP-10 dans leur sang. Or, un simple test sanguin permet de détecter sa présence. Si le résultat du test est positif, ces personnes pourraient se voir prescrire immédiatement des traitements supplémentaires pour mieux les traiter.
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Vers une meilleure guérison de l’hépatite C

L’ajout d’un antiviral nommé le booeprevir au traitement conventionnel contre l’hépatite C doublerait l’efficacité du traitement standard de la maladie, et donc, améliorerait grandement les chances de guérison.

Selon The Lancet, ce sont des chercheurs américains qui ont fait la découverte.

Habituellement, on utilise l’interféron pégylé et la ribavirine pour guérir l’hépatite C; avec le booeprevir, les chances de guérison sont doublées.

L’étude a été faite dans 67 hôpitaux aux États-Unis, au Canada et en Europe.

Cette découverte en est surtout une positive pour les personnes atteintes par le génotype 1 de la maladie, soit le plus difficile à traiter.

Rappelons que l’hépatite C touche 170 millions de personnes dans le monde, et qu’à long terme, elle peut provoquer la cirrhose et le cancer du foie.

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Vers un nouveau traitement contre l’hépatite C

La South Fondation for Biomedical Research (SFBR) aux États-Unis a fait savoir qu’elle en était arrivée à un traitement contre l’hépatite C qui a donné des résultats forts prometteurs chez des chimpanzés.

Cette percée médicale importante a été développée par la compagnie pharmaceutique Santaris Pharma A/S et la thérapie cible les cellules hépatiques.

Le traitement SPC 3649 a grandement diminué la charge virale dans le sang des primates et ce médicament verrait ses effets se prolonger plusieurs moins après la thérapie.

De premiers essais cliniques se tiennent en ce moment sur quelques volontaires humains.

Le traitement est fait d’un acide bloqué qui capture la molécule nécessaire au développement de l’hépatite C dans le foie.

Cette découverte pourrait éventuellement ouvrir une nouvelle voie pour d’autres maladies si elle s’avère concluante chez les humains. Elle pourrait servir dans les cas d’infections au VIH, dans certains traitements contre le cancer ou encore contre des affections inflammatoires, a laissé savoir la SFBR dans son récent communiqué.