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De nouvelles données ont été présentées dans Hepatology quant à la transmission de l’hépatite C et du VIH. Un gène influencerait le combat de la transmission à l’enfant, lequel se nomme le IL28B.
Toutes les données possibles doivent être prises en compte quant à l’épidémie d’hépatite C et du sida. En ce moment, 170 millions de personnes sont infectées de l’hépatite C dans le monde. De 10 à 15 % des cas se soldent par une cirrhose ou un cancer du foie.
Nouvel espoir contre l’hépatite C
L’ajout d’un antiviral nommé le booeprevir au traitement conventionnel contre l’hépatite C doublerait l’efficacité du traitement standard de la maladie, et donc, améliorerait grandement les chances de guérison.
Selon The Lancet, ce sont des chercheurs américains qui ont fait la découverte.
Habituellement, on utilise l’interféron pégylé et la ribavirine pour guérir l’hépatite C; avec le booeprevir, les chances de guérison sont doublées.
L’étude a été faite dans 67 hôpitaux aux États-Unis, au Canada et en Europe.
Cette découverte en est surtout une positive pour les personnes atteintes par le génotype 1 de la maladie, soit le plus difficile à traiter.
Rappelons que l’hépatite C touche 170 millions de personnes dans le monde, et qu’à long terme, elle peut provoquer la cirrhose et le cancer du foie.
La South Fondation for Biomedical Research (SFBR) aux États-Unis a fait savoir qu’elle en était arrivée à un traitement contre l’hépatite C qui a donné des résultats forts prometteurs chez des chimpanzés.
Cette percée médicale importante a été développée par la compagnie pharmaceutique Santaris Pharma A/S et la thérapie cible les cellules hépatiques.
Le traitement SPC 3649 a grandement diminué la charge virale dans le sang des primates et ce médicament verrait ses effets se prolonger plusieurs moins après la thérapie.
De premiers essais cliniques se tiennent en ce moment sur quelques volontaires humains.
Le traitement est fait d’un acide bloqué qui capture la molécule nécessaire au développement de l’hépatite C dans le foie.
Cette découverte pourrait éventuellement ouvrir une nouvelle voie pour d’autres maladies si elle s’avère concluante chez les humains. Elle pourrait servir dans les cas d’infections au VIH, dans certains traitements contre le cancer ou encore contre des affections inflammatoires, a laissé savoir la SFBR dans son récent communiqué.