Catégories
Potins

La série de Guillermo del Toro déniche son héroïne

L’actrice argentine Mia Maestro donnera la réplique à Corey Stoll dans The Strain, série vampirique façonnée par Guillermo del Toro pour la chaîne FX.

Un mois après avoir trouvé son acteur principal, la déclinaison cathodique de la trilogie écrite par le réalisateur mexicain et le romancier américain Chuck Hogan trouve son héroïne.

Vue dans les deux derniers Twilight, Mia Maestro prêtera ses traits à Nora Martinez, brillante biochimiste et étroite collaboratrice d’Ephraim Goodweather (Corey Stoll). Ce dernier, un scientifique spécialisé dans les épidémies et attaques biologiques, sera appelé lorsqu’un avion atterrira à New York avec l’intégralité de ses passagers morts. Pour résoudre ce mystère, Ephraim fera équipe avec un ancien professeur et survivant de l’Holocauste, Abraham. Ensemble, ils vont découvrir que des vampires ambitionnent d’exterminer la race humaine.

Dans The Strain, pas de vampires attachants comme dans True Blood, Twilight et Vampire Diaries. Très sombre et sanglant, le roman écrit en 2009 se complète l’année suivante avec The Fall, et en 2011 avec The Night Eternal.

Guillermo del Toro mettra également en scène l’épisode pilote.

Catégories
Potins

La série de Guillermo del Toro déniche son héroïne

L’actrice argentine Mia Maestro donnera la réplique à Corey Stoll dans The Strain, série vampirique façonnée par Guillermo del Toro pour la chaîne FX.

Un mois après avoir trouvé son acteur principal, la déclinaison cathodique de la trilogie écrite par le réalisateur mexicain et le romancier américain Chuck Hogan trouve son héroïne.

Vue dans les deux derniers Twilight, Mia Maestro prêtera ses traits à Nora Martinez, brillante biochimiste et étroite collaboratrice d’Ephraim Goodweather (Corey Stoll). Ce dernier, un scientifique spécialisé dans les épidémies et attaques biologiques, sera appelé lorsqu’un avion atterrira à New York avec l’intégralité de ses passagers morts. Pour résoudre ce mystère, Ephraim fera équipe avec un ancien professeur et survivant de l’Holocauste, Abraham. Ensemble, ils vont découvrir que des vampires ambitionnent d’exterminer la race humaine.

Dans The Strain, pas de vampires attachants comme dans True Blood, Twilight et Vampire Diaries. Très sombre et sanglant, le roman écrit en 2009 se complète l’année suivante avec The Fall, et en 2011 avec The Night Eternal.

Guillermo del Toro mettra également en scène l’épisode pilote.

Catégories
Uncategorized

Percée prometteuse dans la lutte à la dépendance à l’héroïne

Des chercheurs basés en Californie croient avoir franchi un pas considérable vers le traitement d’une des plus sournoises et puissantes dépendances connues, soit celle à l’héroïne.

En effet, selon Top Santé, des spécialistes en toxicomanie de l’Institut de recherche Scripps (TSRI) seraient parvenus à créer un vaccin expérimental capable de soigner cette dépendance. Du moins, on confirme la réussite du traitement sur des rats, souvent un bon indicateur du succès d’un essai clinique.

Il ne reste plus qu’à confirmer son efficacité sur des humains, et les chercheurs pourraient ensuite annoncer l’une des plus belles percées de la science des dernières années en matière de lutte à la toxicomanie.

On imagine déjà le nombre de vies qui pourraient être sauvées grâce à cette spectaculaire avancée, mais plusieurs étapes restent à franchir.

« L’héroïne se métabolise très vite et se transforme en une substance appelée 6-acétylmorphine, qui va dans le cerveau et provoque la plupart des effets de la drogue. Le vaccin sera administré aux héroïnomanes avec d’autres traitements », explique Kim Janda, professeur du TSRI, acteur principal de ces recherches.

Une belle lueur d’espoir pour les victimes de cette drogue dévastatrice et leur famille.

Catégories
Potins

Russell Brand a frôlé la rechute d’héroïne

Plus de 10 ans après s’être battu contre l’héroïne et le crack, Russell Brand admet que la drogue est toujours présente dans son esprit, et qu’il en a envie lors des moments difficiles.

Selon Female First, Russell Brand a raconté mardi (5 mars) qu’il s’est approché du chaos alors qu’il venait de recevoir une mauvaise nouvelle.

« La dernière fois que j’ai pensé à prendre de l’héroïne était hier. J’ai reçu une troublante nouvelle de la part d’une femme magnifique. Elle m’a appris qu’elle était enceinte, et que l’enfant n’était pas de moi. »

Le comique anglais reconnait qu’il comptait alors acheter de la drogue auprès d’un revendeur qu’il connaissait, mais il a été sauvé par un appel à celui qui le soutient dans sa lutte.

« Je pensais aux endroits où je pouvais me procurer de la drogue […], puis j’ai pris mon téléphone. J’ai appelé quelqu’un qui n’est pas un docteur ou un grand sage, juste un type comme moi, un autre alcoolique, qui comprend ce que je ressens. »

« Le téléphone sonnait, et je souhaitais à moitié qu’il sonne indéfiniment. Il était 4 h du matin à Londres, il dormait sans doute, n’entendrait pas et ne décrocherait pas. Puis, la sonnerie s’est arrêtée, et je l’ai entendu marmonner : “Allo, comment ça va mon ami?” »

« Et pour un autre jour, Dieu merci, je n’en ai pas pris. »

Catégories
Mode et accessoires

Un nouveau sac Alexander McQueen

La maison britannique Alexander McQueen présente son tout nouveau modèle fétiche de sac à main, pour la saison estivale 2012, décrit comme étant un modèle classique et minimaliste, rapporte Vogue.fr.

Pour la saison estivale, Alexander McQueen avait surtout offert à ses clientes des minaudières et des sacs têtes de mort plutôt originaux et d’inspiration décalée. Ils ne sont toutefois pas nécessairement des accessoires qui peuvent être utilisés au quotidien.
 
C’est pourquoi la marque a décidé de lancer son tout nouveau sac Heroine, un sac à main plus simple et fonctionnel qui offre à ses clientes un look plus classique qu’elles peuvent porter au quotidien.
 
Le sac Heroine d’Alexander McQueen se décline de plusieurs façons, en petit, moyen ou grand format, en cuir lisse, clouté, découpé au laser ou même en crocodile.
 
Il sera offert dans les boutiques de la marque dès la fin du mois de juillet prochain. Soulignons toutefois que la version noir du sac est déjà proposée en ligne.
Catégories
Uncategorized

Traiter la toxicomanie par l’héroïne?

Selon des chercheurs des universités de la Colombie-Britannique, de Montréal et de la Northern Ontario School of Medicine, la diacétylmorphine, qui est une forme d’héroïne, serait plus efficace et moins coûteuse que la méthadone pour traiter les toxicomanes.
 
Le Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ) rapporte que les participants à l’étude clinique qui avaient reçu l’héroïne pharmaceutique continuaient leur traitement plus longtemps et avaient plus de succès que ceux traités avec la méthadone.
 
Les coûts sont moindres en raison du fait qu’il y a moins de rechutes avec la diacétylmorphine.
 
L’étude s’est étalée sur un an, mais les chercheurs ont fait des prédictions sur les coûts et la durée de vie des patients après cinq ans.
 
Selon eux, traiter une personne dépendante à l’héroïne toute sa vie coûterait 1,14 million de dollars avec la méthadone et 1,10 million avec la diacétylmorphine.
 
Catégories
Uncategorized

L’abus de médicaments mènerait aux drogues dures

Les parents devraient demeurer prudents quant aux médicaments qu’ils font prendre à leurs enfants. Selon une récente étude de l’École de santé publique de l’Université Drexel, des médicaments antidouleur prescrits en trop grande quantité présageraient le pire.

Leur abus pourrait en effet mener aux drogues dures par injection telle l’héroïne. On recommande donc une meilleure supervision des médicaments prescrits, particulièrement durant l’adolescence.

Selon les résultats parus dans l’International Journal of Drug Policy, l’accès à des médicaments sous prescription par un membre de la famille ou un ami constitue un élément clé de l’initiation aux drogues.

La conservation en lieu sûr des médicaments prescrits est donc de mise, surtout pour les opiacés. L’attitude des parents quant à la consommation de drogue ou d’alcool entre aussi en ligne de compte.

On souligne qu’il est plus difficile de faire une prévention efficace auprès des jeunes ayant grandi au sein d’une famille où la consommation de drogue était banalisée. Le même problème était rencontré lorsque des problèmes sociaux ou psychologiques y étaient vécus.

Catégories
Uncategorized

L’alcool serait plus dangereux que les drogues

Des chercheurs britanniques ont comparé différentes substances, comme l’héroïne, la cocaïne, le crack, la marijuana et l’ecstasy, avec l’alcool.
 
Selon leurs résultats publiés dans la revue The Lancet, l’alcool serait le plus nocif de tous si l’on considère tous ses impacts, autant chez les individus que la société.
 
L’alcool affecte tous les organes du corps humain. Il cause le plus haut taux de mortalité sur les routes, il cause l’éclatement des familles et finit par être extrêmement dispendieux pour les systèmes de santé et services sociaux, ainsi que pour le milieu judiciaire et carcéral.
 
Par contre, au niveau de la santé d’une personne, ce sont l’héroïne, le crack et les méthamphétamines qui sont les plus dommageables. Ces trois drogues sont les plus mortelles de toutes.
 
Toutefois, si l’on tient compte de tous les impacts individuels et collectifs, l’alcool les surpasse, mentionne le professeur David Nutt de l’Imperial College London.
 
Parmi les drogues les moins nocives, on retrouve la marijuana, le LSD et l’ecstasy.
Catégories
Uncategorized

Un succédané à la méthadone

L’équipe du Dr Martin Schechter, directeur de la School of Population and Public Health de l’Université de la Colombie-Britannique, affirme qu’un traitement d’héroïne pharmaceutique est plus efficace pour vaincre la dépendance à cette drogue que la méthadone.

De plus, le chercheur affirme que ce type de traitement a l’avantage de faire diminuer les activités illicites entourant la consommation de drogues chez les héroïnomanes.

« Sans ce traitement, ces gens se retrouvent à la rue et s’exposent davantage à mourir d’une overdose, au VIH et à des activités illégales. Tôt ou tard, ils doivent aller chercher de l’aide pour d’autres traitements et celui-ci a l’avantage d’être moins coûteux pour la société », ont souligné les auteurs de cette recherche.

251 participants ont été les sujets de cette étude et parmi ceux à qui l’on a administré de l’héroïne pharmaceutique, 88 % ont continué les traitements, comparativement à 48 % pour le groupe traité à la méthadone.

Catégories
Uncategorized

Une solution de rechange à la méthadone

Des scientifiques attachés à la North American Opiate Medication Initiative affirment que l’héroïne pharmaceutique pourrait remplacer la méthadone pour vaincre la dépendance à l’héroïne.

Réalisée auprès de 251 participants, à Vancouver et Montréal, leur étude démontre que l’usage de l’héroïne pharmaceutique a conduit à un taux de rétention de 88 % pour l’héroïne pharmaceutique, comparativement à 54 % pour la méthadone.

Autre avantage? Après 12 mois de traitement à l’héroïne pharmaceutique, les chercheurs ont observé une diminution d’environ 70 % de la consommation d’héroïne illicite, alors que les héroïnomanes dépensaient environ 1 500 $ par mois pour acheter leur drogue avant le début des travaux menés par le Dr Martin Schecter.