Catégories
Sport et Santé

Avoir plusieurs partenaires sexuels diminuerait le risque de cancer de la prostate

Une étude sur l’effet protecteur de l’éjaculation fréquente sur la prostate a donné des résultats étonnants, rapporte La Presse.

L’échantillonnage comprenait 3200 hommes de 40 à 69 ans, dont 50 % étaient atteints du cancer de la prostate. Apparemment, les hommes ayant eu plus de 20 partenaires sexuels masculins augmentaient considérablement le risque de ce cancer. S’il s’agissait de partenaires féminines, le risque chutait radicalement.

Ainsi, un homme qui avait la même partenaire toute sa vie avait 28 % plus de risques d’avoir le cancer de la prostate que celui qui avait eu plus de 20 partenaires sexuelles.

Marie-Élis Parent, auteure principale de la recherche, explique les résultats : « Nous pensons que chez les hétérosexuels, une vie sexuelle plus active permet d’évacuer certaines substances carcinogènes présentes dans le fluide prostatique, avec des éjaculations plus fréquentes ».

Quant à l’hypothèse chez les homosexuels, on pense aux dommages occasionnés à la prostate ou aux cas plus fréquents d’ITS. Par contre, un homme qui avait le même partenaire durant sa vie ne voyait pas ses risques de cancer de la prostate augmenter.

L’étude a été publiée dans la revue Cancer Epidemiology.

Catégories
Uncategorized

Les pères ont autant d’instinct que les mères

« L’instinct paternel est inscrit dans le cerveau des pères et ne demanderait qu’à se développer après la naissance d’un enfant », selon Parents.

Une nouvelle étude de l’Université d’État de l’Oregon démontre que si les femmes ont parfois l’impression que leur homme a moins d’instinct qu’elles, c’est parce que ce dernier ne l’utilise pas au maximum de leur capacité. En effet, en présence des mères, les pères sont moins portés à assumer plusieurs rôles : divertir, faire l’autorité et éduquer leurs petits.

Grâce à des tests effectués par scanneur, les chercheurs ont découvert que l’implication émotionnelle d’un père dans l’éducation de son enfant peut être identique à celle d’une mère. Tout dépend si l’homme se dit complémentaire à sa conjointe, se fie ou encore se réfère à elle, en présence de cette dernière.

Pour arriver à cette conclusion, des neurologues ont comparé l’action cérébrale de divers pères. Certains étaient hétérosexuels, monoparentaux ou homosexuels (l’un des deux devait être le père biologique de l’enfant). En regardant des vidéos d’eux avec leur enfant, il en est ressorti qu’en présence de leur conjointe, les pères hétérosexuels en couple avec la mère de l’enfant avaient moins de réactions émotionnelles que leur femme quand ils regardaient la vidéo. Les pères hétérosexuels en couple avaient également moins de réactions que les autres hommes qui élèvent leur enfant seul ou avec un partenaire du même sexe, qui réagissaient de la même manière que les mères en visionnant le film.

En conclusion, les femmes, les pères hétérosexuels en couple ou seuls et les homosexuels sont tous en mesure d’assumer deux rôles, soit s’impliquer émotionnellement tout en maintenant leur autorité. Il suffit d’en faire la commande à son cerveau et d’utiliser son instinct parental au maximum de sa capacité.

Catégories
Potins

Josh Hutcherson se dit plutôt hétéro

Voilà un jeune acteur qui n’a pas peur de l’opinion des autres. Josh Hutcherson se dit régulièrement attiré par des hommes. Le magazine Out a eu la confidence en entrevue. « Je me qualifierais de plutôt hétéro », a affirmé le jeune homme.

Il a d’ailleurs cofondé l’organisme Straight But Not Narrow (hétéro mais ouvert d’esprit), qui vient en aide aux jeunes ayant des difficultés avec leur identité sexuelle. L’organisme vise à les outiller pour qu’ils soient ouverts et pour sensibiliser les gens à l’homophobie.

Hutcherson, 21 ans, combat les stéréotypes et ne comprend pas que les gens puissent juger le choix de partenaire des autres. « C’est parfois frustrant de voir que les gens se révoltent contre l’homosexualité. »

Bien qu’il ait récemment été vu en train d’échanger un baiser langoureux avec sa covedette de Paradise Lost, Claudia Traisac, l’acteur ne tient pas pour autant à développer une relation. Il préfère demeurer ouvert.

« Je rencontre souvent des gars et je me dis “Wow, c’est un sacré bel homme”, vous voyez? Je ne me suis jamais dit “Oh, j’aimerais embrasser ce gars”, j’aime vraiment les femmes. Mais se définir comme étant 100 % de l’un ou de l’autre, pour moi, représente une étroitesse d’esprit. »

Alors, qui sera le premier à tester les frontières du jeune Hutcherson?

Catégories
Uncategorized

Couple homosexuel – aucune différence pour l’enfant adoptif

Les enfants adoptifs présentaient tous de hauts risques pour les parents, puisqu’ils étaient soit nés prématurément, avaient été exposés à la drogue ou abusés, ou même une combinaison de ces facteurs.

Les résultats de la recherche menée à Los Angeles par des spécialistes en psychologie de l’enfant ont démontré que les parents homosexuels réussissaient aussi bien que les autres parents. Qui plus est, les enfants adoptifs confiés aux couples homosexuels présentaient encore plus de risques de développer de mauvais comportements.

En tout, 82 enfants adoptifs à haut risque âgés de 4 mois à 8 ans ont été suivis. Des tests étaient effectués après 2 mois de vie avec le couple, puis après 1 et 2 ans.

Selon Letitia Anne Peplau, professeure renommée de la UCLA et coauteure de la recherche : « Les enfants adoptifs confiés aux couples homosexuels devaient même relever de plus gros défis pour arriver à un développement psychosocial équilibré. Les résultats ont été similaires aux autres enfants, ce qui est remarquable ».

Malheureusement, par exemple aux États-Unis, les politiques d’adoption ne sont pas les mêmes d’un État à l’autre, et de nombreux enfants qui sont en attente d’être adoptés pourraient trouver une famille aimante si l’adoption pour les couples homosexuels était permise.