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Avoir des enfants rend-il plus heureux?

La récolte des données s’est effectuée entre 2008 et 2012, auprès de plus de 2,77 millions de personnes à travers le monde. 1,77 million provenant des États-Unis, puis 1 million en provenance de 161 autres pays.

Après une étude de cette ampleur, les chercheurs de l’Université Princeton suggèrent que les parents ayant un revenu et une éducation sous la moyenne étaient ceux pour qui l’arrivée d’un enfant représentait la plus belle expérience. Mais le niveau de bonheur entre les parents et les adultes ayant choisi de ne pas avoir d’enfants n’était pas notable.

Tous les parents participants devaient répondre à un questionnaire détaillé, notant leurs réponses chaque fois sur une échelle de 0 à 10 (10 étant la meilleure vie possible et 0 la pire).

Selon LiveScience, bien que globalement, les adultes ayant des enfants tendaient à être plus heureux, lorsque d’autres facteurs tels que la santé, le revenu et l’importance de la religion entraient en ligne de compte, les résultats se brouillaient.

Seuls les adultes pouvant avoir des enfants et choisissant d’en avoir ou non étaient soumis au questionnaire.

Conclusion logique de la part d’Angus Deaton, économiste et responsable de l’étude : « Ceux qui souhaitaient avoir des enfants en ont eu, et ceux qui n’en voulaient pas n’en ont pas eu (en majorité). Pourquoi vous attendiez-vous à ce qu’un groupe soit plus heureux que l’autre? »

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Les couples sans enfant seraient plus heureux que les autres

Voici une étude qui risque de faire jaser, alors qu’on trace un parallèle entre la décision d’avoir des enfants et le taux de bonheur du couple, une recherche rapportée par Top Santé, notamment.

C’est une équipe de l’Open University qui s’est penchée sur la question, à savoir si les enfants pouvaient être une cause de problèmes conjugaux, et si l’absence de descendance pouvait avoir un impact positif sur la vie d’un couple.

Il semble que oui, si l’on se fie aux résultats découlant d’analyses effectuées auprès de 5000 sujets en couple. Baisse du rythme et de la qualité de la vie sexuelle, augmentation du stress, baisse des attentions romantiques l’un envers l’autre, voilà autant de raisons qui expliqueraient pourquoi les couples avec enfants ont semblé afficher moins de bonheur que les autres répondants sans progéniture.

Bien que l’on peut facilement croire ces « révélations », l’étude ne se penche cependant pas sur les bonheurs individuels d’avoir un enfant, et des émotions découlant de ce miracle que seuls les parents ayant vécu l’expérience peuvent bien comprendre.

Il s’agirait donc d’un sacrifice de soi et du couple, au profit d’une expérience qui procure une tout autre gamme et palette d’émotions. Il s’agit aussi d’un choix personnel, et il y a fort à parier que les traits de personnalités (égocentrisme, individualisme, maturité, etc.) et le choix du partenaire sont aussi des facteurs qui feront varier la relation du couple, post-naissance.

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Savez-vous ce qui rend réellement les enfants heureux?

Les résultats d’une étude menée par IKEA au Royaume-Uni ont de quoi surprendre, mais également rassurer les parents. Celle-ci avait pour mission de découvrir ce qui rend les enfants heureux.

55 % des enfants et adolescents qui ont répondu au sondage ont admis que passer du temps avec leur famille était ce qui leur procurait le plus de bonheur, comme le rapporte FemaleFirst.

Bien que de nos jours, il y a les ordinateurs, tablettes, iPod, médias sociaux et jeux vidéo, c’est encore et toujours le temps passé avec les parents qui a la cote.

Parmi les répondants, 29 % ont révélé qu’ils préféraient partager un repas en famille plutôt que de jouer sur leur console. Un autre 20 % a confié que la lecture d’une histoire par maman ou papa était ce qui les rendait le plus heureux.

Quant à la réponse des parents, la représentante du géant IKEA, Gemma Arranz, a mentionné : « Passer plus de temps en famille est la préoccupation première pour les parents, et dans 75 % des cas, ils croient fermement que cela constitue la pierre angulaire du bonheur familial ».

Le temps des fêtes approche, n’hésitez pas à profiter de l’occasion pour décorer la maison et le sapin en famille!

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Le Danemark remporte la palme du bonheur

S’il existe un sondage international fascinant et intéressant à lire, c’est bien celui du World Happiness Report, qui dresse le palmarès des peuples les plus heureux dans le monde!

Top Santé révèle les résultats de la deuxième édition de cette étude sur le bonheur, qui voient le Danemark s’emparer de la première position.

En effet, le peuple danois serait le plus heureux du monde, selon les résultats du World Happiness Report, coiffant au poteau quelques autres pays nordiques et scandinaves, réputés pour leur qualité de vie.

On retrouve donc respectivement, à la suite du Danemark, la Norvège, la Suisse, les Pays-Bas et la Suède.

Bonne nouvelle cependant, car le Canada vient juste après dans ce décompte, en sixième place. Plusieurs facteurs ont été étudiés pour en arriver à ce résultat, par exemple l’économie, la santé et les programmes sociaux, dont les traitements offerts aux malades et aux gens souffrant de maladies mentales, ainsi que la liberté, la générosité et le niveau de corruption.

Le Danemark conservera-t-il le sommet de ce palmarès lors de la prochaine édition du World Happiness Report, et le Canada améliorera-t-il sa position?

À suivre…

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John Mayer trouve le bonheur auprès de Katy Perry

John Mayer est sorti de sa léthargie, si l’on comprend bien les propos qu’il a tenus récemment.

Après avoir surmonté une opération à la gorge, qui aurait pu l’empêcher de chanter définitivement, et quelques échecs amoureux médiatisés, John Mayer croit qu’il arrive dans un beau segment de sa vie.

S’il parle des bienfaits de la mi-trentaine, on sent aussi que ses fréquentations avec Katy Perry y sont aussi pour quelque chose.

« Je suis très heureux avec tous les aspects de ma vie, et je crois que 35 ans est une période géniale. Tu es plus introspectif et tu sais qu’il y a des choses qui ne poussent pas dans la bonne direction ou qui ne t’aident pas en vieillissant, et tu fais les changements. »

« Je suis content de ne pas avoir vécu tout cela alors que j’étais sur la route. J’ai eu quelques années de pause. Tu te déconstruis, c’est douloureux, mais quand tu te reconstruis, tu as une vision nouvelle et fraîche de tes 20 prochaines années », lance un nouveau John Mayer.

Questionné à savoir s’il aimerait bien se marier, le chanteur rétorque prudemment qu’il voudrait bien vivre une vie très traditionnelle malgré un travail non traditionnel.

S’il demeure avare de détails sur son nouvel amour, c’est probablement qu’il a retenu la leçon de ses déclarations-chocs lors de ses relations précédentes. Comme quoi 35 ans est vraiment un bel âge!

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Le mariage est-il gage d’un gain de poids?

Une nouvelle recherche établit un lien entre le mariage et le gain de poids, rapporte The National Library of Medicine.

S’il s’agissait jusqu’à présent d’un simple cliché, des chercheurs américains croient maintenant pouvoir en faire la preuve. Pour y parvenir, ils ont étudié les cas de plusieurs nouveaux mariés, sur une période de quatre ans.

Les conclusions sont claires : le mariage est un véritable ennemi de la taille fine. Ce qui s’avère d’autant plus étonnant, c’est qu’il semble que la notion de bonheur au sein du mariage joue également un rôle prédominant dans la prise éventuelle de poids. Ainsi, plus on est heureux dans son mariage, plus on prendrait du poids!

« Il est accepté depuis longtemps qu’une prise de poids est associée avec l’union du mariage, et qu’une perte de poids est quant à elle associée au divorce ou à la séparation. Ce qui était moins clair, c’est le rôle joué par le fait d’être heureux dans ce mariage sur la variation de la masse corporelle », explique Andrea Meltzer, psychologue et auteure de l’étude.

Le phénomène s’expliquerait en partie par le fait que les gens malheureux pensent plus au divorce et s’assurent de conserver une belle silhouette… au cas où.

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Les parents d’enfants trisomiques sont positifs

En fait, 97% des parents des enfants touchés par la trisomie 13 ou 18 estiment que leur bébé est heureux, selon la recherche publiée dans la revue Pediatrics.

De plus, ces parents croient que leur enfant, durant sa vie, a enrichi la vie de la famille ainsi que leur vie de couple.

Cela vient trancher avec l’opinion des médecins, qui croyaient que l’annonce de la maladie poussait beaucoup plus de mères à interrompre leur grossesse. À vrai dire, plusieurs médecins pensaient même qu’un bébé atteint de trisomie crée « une période de grande souffrance » au sein de la famille et causerait « des dégâts au sein de la vie familiale ou de couple ».

Les trisomies 13 et 18 sont liées à une courte longévité — les enfants qui en sont atteints ne vivent souvent que quelques jours ou quelques semaines — et à de nombreuses et graves malformations. Elles touchent respectivement un enfant sur 8000 et un enfant sur 10 000.

Rappelons qu’il y a de moins en moins d’enfants trisomiques. En 2010, on annonçait que le nombre de bébés trisomiques avait été divisé par trois depuis 1990.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les tout-petits préfèrent donner que recevoir

De plus, l’étude effectuée par les chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique soutient que les enfants en bas âge seraient même encore plus heureux de donner aux autres quelque chose qui leur appartient.

« Ce qui est le plus excitant à propos de cette recherche, c’est que les enfants sont plus heureux de donner leurs propres objets. Concéder leurs objets précieux pour le bénéfice des autres les rend plus heureux que de donner un objet quelconque », explique l’auteure principale de la recherche, Lara Aknin.
 
L’étude du docteur Aknin vient donc défaire la croyance selon laquelle les tout-petits ne penseraient qu’à eux.
 
Cette étude rappelle que les adultes également se sentent mieux lorsqu’ils donnent que lorsqu’ils reçoivent, et ce, même si ce geste nécessite qu’ils déboursent un certain montant d’argent.
 
Rappelons que certaines personnes sont naturellement plus généreuses que d’autres. Fait intéressant, l’ADN et le bagage génétique d’un individu seraient responsables de sa générosité.
 
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La plupart des parents estiment que leur enfant est heureux à l’école

Selon un sondage effectué par OpinionWay, les parents ont presque tous l’impression que leurs enfants partent à l’école le sourire aux lèvres, et ce, qu’ils soient inscrits dans une institution publique ou privée.

Toutefois, les élèves qui semblent les plus enjoués à l’idée d’aller à l’école sont les plus jeunes, soient ceux qui fréquentent la maternelle. Les lycéens, quant à eux, seraient les moins épanouis.

Le sondage révèle que les examens, la pression ainsi que les résultats scolaires démoralisent certains étudiants.

C’est de retrouver leurs amis qui motivent les jeunes à aller à l’école, selon 66 % des parents. Seulement 51 % d’entre eux aimeraient l’école parce qu’ils y apprennent et y découvrent plein de choses.

Au contraire, les raisons faisant que certains enfants aiment moins leur milieu scolaire sont les différends avec leurs enseignants, les règlements auxquels ils doivent se plier ainsi que la discipline dont ils doivent faire preuve.

Les parents reprochent cependant au système scolaire français de ne pas assez mettre en valeur le développement et la créativité personnelle des enfants et de ne pas assez souligner leurs bons résultats.

Rappelons que les experts jugent que l’on devrait s’assurer que notre enfant fait de l’activité physique, qu’il profite de bonnes nuits de sommeil et qu’il prend un déjeuner satisfaisant. Ces trois clés seraient celles du succès en ce qui a trait à la réussite à l’école.