Catégories
Sport et Santé

Accepteriez-vous une opération au cerveau effectuée par un robot?

Le fameux robot permettra une opération moins invasive que celles qui sont actuellement pratiquées pour éradiquer les crises.

En effet, la seule méthode consiste habituellement à percer un trou dans le crâne afin d’aller détruire la partie du cerveau qui contient ce que l’on appelle le foyer épileptique. Celui-ci se situe dans l’hippocampe, soit à la base du cerveau.

Science World Report mentionne que le prototype a été présenté lors de la Fluid Power Innovation and Research Conference à Nashville. Les gens présents ont eu droit à une démonstration en direct.

Le robot chirurgien effectuera une insertion à partir de la joue. De cette façon, il serait possible de détruire le foyer en atteignant la zone inférieure du cerveau sans toucher au crâne.

Selon l’auteur principal du projet, Eric Barth, le processus fut très complexe. « Nous savions que nous avions la compétence pour développer un robot qui pouvait opérer à l’intérieur d’un appareil IRM (imagerie médicale) »,

Barth affirme que le robot sera dans les salles d’opération dans la prochaine décennie. Pour le moment, ils se pratiqueront sur des sujets à la morgue.

Catégories
Uncategorized

Le cerveau des bébés de sexe masculin est plus gros

Des experts de l’Université de Californie, d’Hawaii et de la Norwegian University of Science and Technology ont analysé les diverses trajectoires de croissance cérébrale postnatale. 

Lorsqu’un bébé voit le jour, son cerveau fait environ un tiers de la taille de celui d’un adulte. La petite boîte crânienne prendra de l’expansion et grossira de 1 % par jour au fil des premières semaines de vie. 

Après trois mois, le nourrisson aura un cerveau un peu plus gros que la moitié de la taille du cerveau adulte. 

En examinant par IRM 87 bébés naissants des deux sexes et en bonne santé, les chercheurs ont découvert que lorsqu’un petit garçon naît, son cerveau est légèrement plus grand que ceux des filles (347 cm3 vs 335 cm3). Qui plus est, sa croissance lors des 3 premiers mois est plus rapide (66 % vs 63 %). 

Le cervelet qui se situe derrière le cerveau et qui gère le mouvement, la coordination et l’équilibre est la zone cervicale qui se développe le plus vite. Quant à l’hippocampe qui aide à la mémoire, elle serait la partie la plus lente à faire ses preuves. 

Ces nouveaux constats publiés dans le JAMA Neurology pourraient aider à prévenir et mieux détecter certains troubles du développement, écrit Santé Log.  

Catégories
Uncategorized

Prendre une marche bénéficie aussi au cerveau

Les amateurs de promenades et de longues marches connaissent bien les avantages de cette activité physique simple. L’air frais, la découverte de nouveaux lieux, la complicité à partager avec une autre personne, l’activité physique, une meilleure digestion, bref, les bienfaits connus de la marche sont nombreux.

Mais selon une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), la marche aurait également des bénéfices secrets pour le cerveau.

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, le fait de s’adonner à trois marches hebdomadaires de 40 minutes aurait un impact direct sur le cerveau et l’hippocampe. Cette zone grossirait au gré de ces marches de santé, ce qui pourrait prévenir de certaines maladies comme l’Alzheimer, croient les chercheurs américains.

« Vous n’avez pas besoin d’une activité physique hautement vigoureuse pour observer ces effets. Ça peut sembler modeste comme somme (d’exercice), mais ça permet d’inverser l’horloge de l’âge de quelques années », croit le Dr Kirk Erickson, chercheur en chef de l’étude à l’Université de Pittsburgh. 

Bien qu’il spécifie également que la marche, ou une autre activité physique, ne constitue pas une « baguette magique » contre les maladies dégénératives comme l’Alzheimer, le Dr Erickson reste convaincu qu’il s’agit de l’un des meilleurs moyens de garder son cerveau vif et en santé.

Catégories
Uncategorized

Découverte importante concernant le cerveau

On croyait depuis longtemps que l’hippocampe, qui est lié à la mémoire, et le cortex préfrontal, qui est lié à la prise de décision et à l’inhibition, étaient totalement indépendants l’un de L’autre.

Mais une équipe de scientifiques de l’Université McGill à Montréal vient de découvrir qu’en fait, ces deux zones s’interpellent. Ce qui laisse donc croire que les circuits du cerveau fonctionnent en symbiose.

« Nous avions toujours cru que l’hippocampe et le cortex préfrontal fonctionnaient de façon indépendante. Les résultats de notre plus récente étude indiquent qu’il en est autrement », explique le professeur Yogita Chudasama au Journal of Neuroscience.

L’expérience, qui a été menée sur des rats, apporte une nouvelle compréhension des mécanismes neurologiques. Éventuellement, cela pourrait mener à de meilleurs traitements de la dépression et de la schizophrénie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Un air d’exotisme à l’Aquarium de Québec

Ces créatures intrigantes du monde sous-marin exotique sont les nouvelles résidentes de l’Aquarium de Québec. De la méduse électrisante à l’hippocampe, en passant par les raies et les requins-marteaux, tous ont trouvé leur place dans le cadre du projet de réfection et d’agrandissement de l’Aquarium de Québec.

« On a voulu choisir des variétés qui étaient originales et spectaculaires pour se différencier de l’offre nord-américaine », a expliqué Raymond Desjardins, PDG de la SEPAQ au quotidien Le Soleil.

C’est grâce à des investissements de 8 millions de dollars, majoritairement financés par le gouvernement provincial et la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) (6,5 millions), que le nouveau pavillon exotique a pu voir le jour.

Au coût de 3,3 millions, les infrastructures déjà existantes ont pu être rénovées et dévoilées au public sous un nouveau jour cette semaine.

D’ici 2020, la direction de la SEPAQ compte réaliser la troisième phase du projet. Différentes idées bourgeonnent dans la tête de la direction, qui dit prendre en considération les diverses propositions.

Celle du directeur général de l’Aquarium du Québec, Christophe Zamuner, qui propose la création d’un pavillon des prédateurs marins, au coût de 40 millions $, ne passe pas inaperçue.

L’Aquarium de Québec, qui a connu une hausse d’achalandage incroyable depuis 2006, soit un bond de 94 %, augmentera son coût d’entrée à 16,50 $ cette année.

Catégories
Uncategorized

Nouveaux facteurs génétiques liés à la maladie d’Alzheimer

L’atrophie de l’hippocampe est un marqueur biologique de la maladie d’Alzheimer, les chercheurs tentaient donc de trouver l’origine du phénomène pour mieux comprendre la maladie
 
Une équipe internationale de chercheurs est parvenue à découvrir des facteurs génétiques liés à l’atrophie de l’hippocampe, rapporte le Nature Genetics.
 
Les génomes et les imageries cérébrales de 9232 personnes de 56 à 84 ans ont été analysés. Les résultats confirment une réduction du volume de l’hippocampe avec l’âge, mais on a procédé à des analyses pour détecter d’éventuelles associations entre certaines mutations et l’atrophie de l’hippocampe.
 
Des facteurs non identifiés encore déclenchent les mutations génétiques qui provoquent une réduction du volume de l’hippocampe et modifient des gènes importants jouant des rôles majeurs dans la mort cellulaire, le développement embryonnaire, le diabète et la migration neurale.
 
« Cette étude marque un tournant majeur, car elle confirme que des facteurs génétiques sont associés à une structure cérébrale, l’hippocampe, impliquée dans les démences et, d’une façon beaucoup plus générale, dans le vieillissement cérébral », explique Christophe Tzourio qui a dirigé les travaux.
 
Catégories
Uncategorized

Le comportement d’une mère influence le développement du cerveau de son enfant

Une étude prospective de l’Université Washington à St. Louis, publiée dans Proceedings of National Academy of Sciences, laisse entrevoir la possibilité que l’augmentation du volume de l’hippocampe soit due au comportement qu’aura une mère envers son petit durant l’enfance.

Les chercheurs ont remarqué que l’augmentation du volume hippocampique était significative seulement pour les enfants qui n’étaient pas déprimés; une découverte importante qui laisse croire aux chercheurs qu’une dépression précoce durant la jeunesse peut affecter le développement cérébral.

L’augmentation du volume de l’hippocampe peut se traduire par des changements épigénétiques dans la méthylation de l’ADN et par l’accroissement du développement neuronal et la ramification.

Les résultats de cette étude suggèrent que le soutien maternel en bas âge exerce une influence positive sur le développement de l’hippocampe chez les enfants sans dépression. Par contre, chez les enfants déprimés, leurs comportements ont des effets négatifs et entravent les avantages potentiels de l’aide maternelle, pensent les scientifiques.

Catégories
Uncategorized

Effet de la grossesse sur la mémoire

Un enfant dont la mère a souffert d’hypothyroïdie durant sa grossesse aurait une moins bonne mémoire. Précisément, un impact négatif sur le fonctionnement de son hippocampe rendrait difficile le rappel de ses souvenirs autobiographiques, lit-on sur Medscape.

C’est que l’hormone thyroïdienne joue un rôle clé dans le développement de cette partie du cerveau. L’hippocampe est activé plus fortement lors de la recherche de mémoire autobiographique. On a donc vérifié de quelle manière l’hypothyroïdie pouvait l’influencer.

L’étude dont il est question ici a porté sur 34 enfants de 9 à 11 ans. Près de la moitié (15 sujets) étaient nés d’une mère qui avait souffert d’hypothyroïdie durant sa grossesse. Les enfants ont répondu à des questions portant sur leur mémoire autobiographique et sur des souvenirs événementiels; une imagerie numérique était effectuée pendant ces tests.

Il s’est avéré qu’il y avait une différence notable entre les deux groupes d’enfants. De plus, les taux de l’hormone stimulant la thyroïde durant le premier trimestre de grossesse prédisaient l’activation de l’hippocampe lors du rappel de souvenirs autobiographiques.

Catégories
Uncategorized

Manque d’oxygène et mémoire

Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.

Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.

La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.

Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.

Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.

Catégories
Uncategorized

Manque d’oxygène et mémoire

Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.

Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.

La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.

Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.

Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.