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Bérénice Bejo fait son entrée à Hollywood aux côtés de Robert Pattinson

L’actrice de nationalité française et argentine Bérénice Bejo fera ses premiers vrais pas dans la capitale mondiale du cinéma, alors qu’elle se voit confier un rôle de premier plan dans une nouvelle production américaine.

Celle qui avait également été remarquée dans The Artist effectuera ses débuts sur la scène américaine aux côtés de nul autre que Robert Pattinson, dans le film The Childhood of the Leader.

Réalisé par Brady Corbet, The Childhood of the Leader propose l’histoire post-première guerre mondiale d’un leader que l’on compare à Hitler et Mussolini.

On chuchote que c’est grâce au retrait de Juliette Binoche du projet que Bérénice Bejo aurait obtenu finalement le rôle, rapporte le Voici, un fait qui n’enlèvera certes rien au mérite ni à la fierté de l’actrice.

The Childhood of the Leader met également en vedette Tim Roth, et la sortie du film est prévue pour 2015.

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Bérénice Bejo fait son entrée à Hollywood aux côtés de Robert Pattinson

L’actrice de nationalité française et argentine Bérénice Bejo fera ses premiers vrais pas dans la capitale mondiale du cinéma, alors qu’elle se voit confier un rôle de premier plan dans une nouvelle production américaine.

Celle qui avait également été remarquée dans The Artist effectuera ses débuts sur la scène américaine aux côtés de nul autre que Robert Pattinson, dans le film The Childhood of the Leader.

Réalisé par Brady Corbet, The Childhood of the Leader propose l’histoire post-première guerre mondiale d’un leader que l’on compare à Hitler et Mussolini.

On chuchote que c’est grâce au retrait de Juliette Binoche du projet que Bérénice Bejo aurait obtenu finalement le rôle, rapporte le Voici, un fait qui n’enlèvera certes rien au mérite ni à la fierté de l’actrice.

The Childhood of the Leader met également en vedette Tim Roth, et la sortie du film est prévue pour 2015.

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Eva Green trouve l’industrie du cinéma plutôt froide

Eva Green n’est pas le genre à tenir sa langue maintenant qu’elle est en bonne position sur l’échiquier hollywoodien.

En fait, l’actrice se permet de parler davantage, elle qui a maintenant obtenu deux rôles d’importance au cinéma cette année, soit dans 300 : Rise of an Empire et Sin City : A Dame To Kill For, en plus d’obtenir un vif succès avec la nouvelle série Penny Dreadful.

Mais pour Green, l’ascension aura été difficile depuis son rôle dans Casino Royale, et elle ne se gêne pas pour le dire, rapporte BANG Media International.

« Tous les rôles étaient ceux de la jolie fille ennuyante. Au lieu de faire ça, j’ai fait des films que peu de gens ont vus, mais qui étaient bons pour mon coeur. J’ai toujours trouvé l’industrie du cinéma pas mal froide, alors trouver des rôles et faire en sorte que des gens les apprécient a fait de cette année un miracle pour moi », explique la star, comblée.

Green poursuit en affirmant qu’elle adore ses plus récents rôles de « femme forte et très sexuelle », et qu’elle souhaiterait avoir « les couilles d’être comme elles dans la vraie vie ».

Sin City : A Dame To Kill For arrive en salles aujourd’hui même (22 août).

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Ashton Kutcher veut prendre une pause du cinéma

Ashton Kutcher désire se retirer de l’œil des caméras pour se concentrer sur sa passion première : la technologie mobile. Il en profitera également pour passer du temps avec sa future famille.

Selon des sources à Radaronline, le populaire acteur qui « n’a jamais aimé la gloire et n’a jamais pensé qu’il était réellement un bon acteur » voudrait revenir à l’origine de ses rêves.

Rappelons qu’avant d’être découvert dans un bar de l’Iowa, Kutcher était un étudiant en ingénierie et biochimie à l’Université de l’Iowa.

« Il a investi plus de 200 millions de dollars dans le domaine de la technologie et ça lui a rapporté beaucoup ». Certains des investissements lucratifs de Kutcher concernent Skype, Foursquare, Airbnb, Uber Car Service, Spotify, Washio, TapTalk and Fab.com.

« Quand Ashton a pris le rôle de Steve Jobs, c’est parce que son rêve ultime est de faire ce que Steve Jobs a fait, mais dans le monde mobile » a révélé une source.

Persuadé à 100 % qu’il a été introduit dans le monde hollywoodien pour « rencontrer son âme sœur », Ashton Kutcher songe également à cette pause pour se concentrer sur sa tendre moitié, Mila Kunis, enceinte de leur premier enfant.

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Quand la dépression touche Hollywood

C’est en 2011 que Catherine Zeta-Jones a été diagnostiquée du trouble de bipolarité (maniaco-dépression). L’acteur britannique Russel Brand a suivi la même trace. Il a aussi eu des épisodes de boulimie et d’auto-mutilation. Cette dernière a également touché Angelina Jolie durant l’adolescence.

D’autre part, le suicide est loin d’être étranger aux vedettes de cinéma. À l’âge de six ans, l’actrice Ashley Judd a pensé mettre fin à ses jours. La thérapie a sauvé cette femme qui admet qu’elle serait morte autrement. 

L’acteur Stephen Fry (bipolaire) qui a déjà remporté des prix pour son documentaire The Secret Life of the Manic Depressive y a aussi déjà pensé. 

En 1962, Marilyn Monroe, qui discutait ouvertement de ses troubles psychiques, est passés à l’acte. Toujours à l’époque du noir et blanc, Scarlett O’Hara a dû subir des traitements aux décharges électriques pour tenter de contrôler son irritabilité, sa bipolarité et son hypersexualité. 

Pour connaître les noms et histoires d’autres artistes malades mentalement, voyez le dossier de Radaronline. Comme le disait l’acteur de Jaws Richard Dreyfuss :  « Il n’y a pas de honte à avoir une dépression ». 

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Julia Louis-Dreyfus croit que les rôles féminins ont évolué

Alors que plusieurs actrices soutiennent encore qu’Hollywood est sexiste, Julia Louis-Dreyfus (Veep et Enough Said) perçoit plutôt une grande amélioration dans le milieu.

« Je pense que pour les femmes à la télévision il y a plus de possibilités aujourd’hui qu’il y en avait il y a dix ans », dit-elle au journal britannique Metro avant de spécifier sa pensée : « On retrouve désormais des personnages féminins très forts, non stéréotypés et qui sortent des sentiers battus. »

Dans son dernier film Enough Said sorti en 2013, la brunette jouait aux côtés de James Gandolfini, décédé l’an dernier à 51 ans d’une crise cardiaque. Julia, 53 ans, porte encore le deuil de la mort de son collègue, rapporte Film News.

« Il me manque désespérément. », confie-t-elle. « Il y a une partie de moi qui ne croit pas encore qu’il est parti ».

Louis-Dreyfus se souvient du talent de l’acteur et pourtant, il ne se sentait pas à la hauteur pour Enough Said. « C’était ridicule. Il disait à Nicole Holofcener la réalisatrice : “N’hésitez pas à appeler Clooney, au besoin” ».

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Lauren Bacall s’éteint à 89 ans

La légendaire actrice Lauren Bacall nous a quittés, rapporte le Variety, au cours de la journée de mardi (12 août).

Bacall est l’un des noms qui viennent à l’esprit lorsqu’on pense à « l’âge d’or » d’Hollywood et du cinéma, alors que la classe et la grâce venaient au premier plan des priorités pour devenir une star.

L’actrice a tenu la vedette dans un grand nombre de films, et avait effectué ses débuts aux côtés d’une autre légende, Humphrey Bogart, dans To Have and Have Not, du réalisateur Howard Hawks. Elle mariera ce même Bogart et demeurera à ses côtés jusqu’à sa mort, en 1957.

Lauren Bacall aurait perdu la vie à son domicile de Manhattan, rapporte également cette même source. La famille et les exécutants d’Humphrey Bogart ont par ailleurs confirmé la nouvelle via Twitter.

Forte d’une carrière d’un demi-siècle, Lauren Bacall n’a jamais remporté d’Oscar, malgré une première nomination en 1997. Elle est cependant saluée tant par les critiques que par les cinéphiles, qui reconnaissent son impact dans l’histoire du cinéma.

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Emily Blunt et John Krasinski s’offrent une nouvelle demeure

La nouvelle mère et vedette de Edge of Tomorrow, Emily Blunt, vient de mettre la main sur une nouvelle demeure en compagnie de son amoureux John Krasinski, ancienne star de The Office.

Le couple vient tout juste d’accueillir leur premier enfant, Hazel, rapporte Female First (UK), et pourra maintenant s’occuper de leur famille dans une résidence évaluée à 2,75 millions de dollars américains.

La demeure est située du côté d’Hollywood Hills et comprend 37 acres de terrain.

L’agent immobilier Eric Tan, qui semble se réjouir de la transaction, accepte de révéler quelques détails à E!.

« Cette demeure fabuleuse est la maison parfaite pour un couple comme Krasinski et Blunt. La résidence est située sur deux terrains et offre pas mal d’intimité pour les nouveaux parents. La maison possède aussi une belle piscine entourée d’un patio de pierre », explique Tan.

Après une brève pause, Emily Blunt reprend du service avec Sicario et sera en vedette cet été dans Edge of Tomorrow. John Krasinski continue quant à lui sa transition au cinéma avec The Prophet, qui mettra aussi en vedette Liam Neeson et Salma Hayek.

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Zac Efron vend sa maison à Hollywood

Zac Efron, toujours sympathique, mais aux prises avec certains problèmes de comportements depuis un certain temps, a vendu sa maison d’Hollywood.

C’est ce que rapporte ELLE Canada, qui évalue la valeur de cette demeure à 2,8 millions de dollars. L’acteur et star de High School Musical aurait décidé de passer à une résidence encore plus grande, qui se trouverait non loin de celle qui vient de trouver preneur.

Zac Efron avait acheté cette maison en 2008 pour la somme de 2,35 millions de dollars, ce qui lui fait un joli profit de 425 000 dollars, quelque six années plus tard.

L’acteur effectue plusieurs changements dans sa vie, semble-t-il, afin de l’aider à reprendre le contrôle après deux passages plus ou moins réussis en thérapie et désintoxication. Il affirme maintenant aller beaucoup mieux et se présenter à des réunions des Alcooliques Anonymes.

Zac Efron est en vedette dans Neighbors, aux côtés de Seth Rogen et Rose Byrne.

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Marion Cotillard veut protéger son fils des affres de son métier

Le succès désormais international de l’actrice Marion Cotillard, qui a gagné l’Oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans La Môme, lui permet d’embrasser deux cultures totalement différentes. 

Cependant, comme le rapporte voici.fr, Cotillard a adopté le rythme de vie américain, qui prône par-dessus tout le travail. « Je ne sais plus m’arrêter », avoue-t-elle. Mais Los Angeles, comme elle le dit, a « changé [sa] vie d’actrice », et même si Paris lui manque, elle se sent à l’aise aux États-Unis.

Le seul problème, c’est que son métier et son humeur vont de pair. Un rôle dépressif la rend dépressive, et elle doit même s’éloigner de son fils lorsque son attitude est trop négative.

Forte de cette expérience avec son fiston Marcel, qui de plus ira bientôt à l’école, il se peut que Marion Cotillard revienne s’installer en France de façon plus définitive. « Je veux qu’il ait des repères quand je ne suis pas là. »