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Le bacon nuirait aux chances de conception chez l’homme

La passion de l’homme pour le bacon comporterait un danger majeur, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK). En effet, la consommation de cette viande serait nuisible au sperme et, par conséquent, aux chances de conception masculine.

C’est ce que croit une équipe de chercheurs américains de Harvard, qui présentera cette semaine une nouvelle étude sur le sujet lors d’une rencontre de l’American Society for Reproductive Medicine, à Boston.

Les chercheurs de Harvard croient que cette conclusion s’applique aussi aux autres viandes transformées, et pas qu’au bacon, et que même une consommation modérée peut nuire aux chances de procréer.

Les chercheurs ont remarqué une baisse des spermatozoïdes viables chez les consommateurs de ces viandes, et conseillent vivement aux hommes qui désirent avoir un enfant de se mettre au poisson.

« Nous avons découvert que la consommation de viandes transformées réduit la qualité, alors que le poisson l’augmente », résume la Dre Myriam Afeiche, chercheuse en tête de ces recherches.

Le Dr Allan Pacer, de la British Fertility Society, croit cependant qu’il s’agit d’une étude minimale, et qu’il faut être prudent avant de tirer des conclusions aussi précises.

« La relation entre la diète et la fertilité masculine en est une intéressante, et il y a maintenant des preuves convaincantes que les hommes qui mangent plus de fruits et de légumes ont une meilleure qualité de sperme que ceux qui n’en mangent pas. Cependant, on en sait beaucoup moins sur les impacts d’une mauvaise diète, et sur les aliments qui pourraient être liés à une baisse de fertilité. »

Encore une fois, donc, une saine alimentation est à prescrire chez les couples qui souhaitent concevoir, tout comme elle l’est pour la population en général en tout temps.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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Le divorce serait particulièrement dangereux pour la santé des hommes

Top Santé rapporte une étude qui confirme certaines théories précédemment avancées par des spécialistes, à savoir que les hommes qui traverseront un divorce risquent d’éprouver des problèmes de santé.

À tout le moins plus que les femmes, comprend-on des informations révélées dans cette étude en provenance de l’Université Cornell, aux États-Unis. On y apprend que les hommes divorcés voient les risques de mort prématurée, de suicide, de dépression et d’AVC augmenter considérablement.

Même chose en ce qui concerne l’abus d’alcool ou la toxicomanie, des comportements qui peuvent justement mener à certains autres problèmes de santé comme ceux énumérés précédemment.

Le professeur Ridwan comment l’étude : « La perception populaire de nombreuses cultures et les médias véhiculent l’idée que les hommes sont solides, résistants et moins vulnérables aux traumatismes psychologiques que les femmes. Il me semble que cette vision humaine est fausse. Les hommes ayant subi un traumatisme psychologique, comme le divorce, la faillite, la guerre et le deuil sont plus vulnérables que les femmes et perdent plus facilement et rapidement leurs points de repère ».

De plus, comme les hommes eux-mêmes vivent convaincus de ce stéréotype, ils seront moins enclins à demander et quérir de l’aide pour les aider à traverser le deuil et l’épreuve, croit Ridwan, à juste titre.

Deux autres études récentes ont par ailleurs indiqué de meilleures chances de survie au cancer (20 %) chez les hommes mariés, ainsi qu’une longévité accrue, en moyenne. Il semble que l’état civil d’un homme influence beaucoup plus sa destinée qu’on aurait pu le croire.

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Les hommes mariés ont plus de chances de survivre à un cancer

La théorie avait déjà été avancée il y a quelque temps, et voilà qu’une nouvelle étude la confirme : les hommes mariés auraient bel et bien plus de chances de survivre à un cancer.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui propose les conclusions avancées par une équipe de chercheurs américains et publiées dans le Journal of Clinical Oncology.

De plus en plus, on reconnait les choix et le style de vie comme étant des facteurs primordiaux sur la santé. Vivre en solitaire, par exemple, aurait une incidence sur la durée de vie, les célibataires endurcis voyant leur longévité s’abréger, statistiquement parlant.

L’inverse serait donc aussi vrai, c’est-à-dire que les personnes mariées auraient de meilleures chances de vivre plus longtemps. Dans le cas des hommes, cette conclusion permet de croire que ceux qui vivent en relation ou qui sont mariés ont plus de chances de battre le cancer.

L’équipe de Harvard a étudié les cas de milliers de patients en oncologie, et après avoir analysé les données associées aux différents styles de vie, elle conclut que les hommes mariés ont trois fois plus de chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

Une statistique absolument éloquente, qui confirmerait encore une fois à quel point les décisions prises au cours d’une vie influencent plusieurs aspects de la santé d’un individu… et ses chances de survie.

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L’énergie vitale : une question d’âge, mais aussi de choix

Les niveaux d’énergie que l’on ressent au fil des journées peuvent varier grandement selon nos habitudes de vie, et même si le vieillissement nous fait graduellement perdre de cette intensité débordante, il est possible de contrecarrer le phénomène en faisant de meilleurs choix de vie.

C’est précisément le raisonnement que nous rapporte SheKnows, qui dresse également un petit top 5 des « meilleurs choix » à faire si l’on veut conserver notre énergie vitale le plus longtemps possible.

D’abord, on mentionne l’importance incontestable du sommeil. S’il est permis de passer des nuits blanches ou de dormir peu lorsqu’on est jeune, il s’agit d’un comportement à proscrire à mesure qu’on prend de l’âge.

Ensuite, la fameuse alimentation, qui nécessite un équilibre certain afin de maximiser l’énergie vitale. Après tout, il s’agit ni plus ni moins de l’essence de notre véhicule corporel.

Dans le même ordre d’idée, il appert que le repas le plus important de la journée, le petit déjeuner, devient encore plus primordial pour maintenir son niveau d’énergie en vieillissant. Passer outre le déjeuner peut signifier de bien longues journées…

On termine cette liste avec l’exercice physique, mais également en conseillant vivement de boire de l’eau, au détriment des nombreux autres produits sucrés et gazeux sur le marché.

La publication aurait également pu faire mention du bonheur et de l’état d’esprit mental, pourtant très importants pour se sentir énergique et basés presque exclusivement sur… nos choix.

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L’amour par l’odeur, une nouvelle étude le confirme

L’amour au premier… reniflement? Voilà ce que titre judicieusement le Daily Mail (UK) en rapportant une nouvelle étude qui confirme l’impact de l’odeur sur l’attirance entre hommes et femmes.

Attention, on ne parle pas nécessairement ici d’odeur corporelle ou d’hygiène, bien que plus qu’appréciée, mais plutôt « d’odeur génétique ».

On entend par là, et ceci concerne surtout la femme si l’on se fie aux données rapportées, que les futurs partenaires sont capables de détecter l’odeur subliminale du bagage génétique l’un de l’autre et ainsi de déterminer de façon subconsciente si celui-ci fera un bon géniteur.

C’est ce qu’avance le professeur Daniel Davis dans son plus récent livre, The Compability Gene, qui accorde aux femmes un sixième sens très développé pour ce genre de choses.

Le membre de l’Université de Manchester se base également sur une expérience menée en Suisse, une recherche baptisée « expérience du t-shirt ».

On demandait à des hommes de porter le même t-shirt pendant deux jours, en évitant tout contact avec quoi que ce soit qui pourrait altérer leurs odeurs naturelles. Puis, on plaçait les chandails dans des boîtes et on demandait à un groupe-test composé de femmes de les « renifler » et de choisir un partenaire en se basant sur cette seule facette.

Résultat? Les femmes volontaires ont presque systématiquement choisi les hommes avec lesquels elles pourraient concevoir des enfants possédant un avantage génétique évident!

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.