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Les relations amoureuses longue distance enfin vantées!

Loin des yeux, loin du cœur, dit le vieil adage. Et depuis des lunes, les relations longue distance ont mauvaise réputation, soit celle de n’avoir aucune chance de réussite.

Or, une nouvelle recherche sur le sujet tend à démontrer le contraire et qu’en fait, ce type de relation peut s’avérer non seulement fonctionnel, mais parfois même plus solide que les autres dits « traditionnels », rapporte Top Santé

Ce sont des chercheurs chinois et américains, basés respectivement aux universités de Hong Kong et de Cornell, qui ont uni leurs expertises et leur savoir afin d’analyser les relations longue distance.

Leurs conclusions, publiées dans le Journal of Communication, font état d’une meilleure communication, puisqu’obligatoire. Comme la communication est la première clé vers la réussite d’un couple, il appert que celle-ci est optimale lorsque les amoureux sont éloignés.

De plus, on remarque une plus grande franchise ou honnêteté, en plus de disputes moins fréquentes et pour des raisons beaucoup moins simplistes que les couples qui partagent leur vie au quotidien.

Loin des yeux, loin du cœur? Ça reste à voir, croient ces spécialistes.

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Un antioxydant qui contrecarre les bienfaits de l’exercice

Medical News Today rapporte une étude qui révèle une cause à effet difficile à croire, mais qui semble pourtant tout à fait vérifiable.

Selon une étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Physiology, un antioxydant retrouvé dans les raisins rouges, et donc dans le vin rouge, invaliderait les effets bénéfiques de l’exercice physique sur la santé des hommes plus âgés.

Il s’agit du resvératrol, un antioxydant qui se retrouve également dans certains autres végétaux.

Le problème, c’est que le resvératrol a reçu beaucoup de mentions pour ses propriétés anti-vieillissement et est maintenant largement disponible un peu partout. Les propriétés santé du vin, également, sont très bien connues.

Or, cette récente étude en provenance de Copenhague, qui ne contredit pas les précédents énoncés, fait état d’un effet retour qui contrecarre ceux de l’exercice physique.

Les impacts de l’exercice sur la réduction de la haute pression et des taux de cholestérol pourraient donc être invalidés à la suite de la consommation de resvératrol.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir dans un avenir rapproché.

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Un lien est démontré entre la santé psychologique et la sexualité

Quelques études sur la sexualité paraissent aujourd’hui, dont une sur les effets d’une sexualité abondante, mais celle qui retient le plus l’attention est probablement cette autre qui trace un lien entre la santé psychologique et certains comportements sexuels.

C’est Santé Log qui rapporte cette étude, par ailleurs effectuée par des chercheurs de l’Université California State, voulant que les gens plus enclins aux aventures d’un soir ou uniques puissent présenter des signes d’instabilité psychologique ou d’anxiété.

Publiées dans le Journal of Sexual Research, les théories et conclusions avancées font état d’autres études précédentes sur le sujet, pas toutes concluantes, mais dont certaines avaient reconnu le lien entre le « vagabondage sexuel » et une faible estime de soi.

La présente tend plus à conclure que les gens plus stables sur les plans psychologique et émotif chercheraient moins les rapports sexuels constants avec plusieurs partenaires différents pour des histoires d’un soir.

Les chercheurs impliqués dans l’étude tiennent cependant à préciser qu’on parle bien d’un lien tracé, et non d’une cause à effet.

L’étude a été effectuée auprès de près de 4000 sujets.

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Les hommes obéissent, les femmes confrontent?

Une étude dévoile certains traits de caractère observés chez les hommes et les femmes qui s’unissent pour tenter la belle aventure du couple.

Les conclusions proposées par les chercheurs de l’Université de l’Arizona, et rapportées ici par Top Santé, font état d’un fait qui ne surprendra pas les foules et qui peut être interprété de deux façons, selon le terme utilisé.

Ainsi, selon les chercheurs américains, les hommes seraient plus « coopératifs » que leur compagne au sein du couple, c’est-à-dire qu’ils seraient plus enclins à choisir la même opinion que celle-ci afin d’éviter toute source de conflits.

Les femmes, quant à elle, seraient plus rapides à confronter le partenaire (ou qui que ce soit d’autre), peu importe la situation.

De bien beaux termes qui signifient, en vérité, que les hommes sont plus portés à la soumission, et les femmes au débat.

« La coopération est quelque chose de précieux et d’important dans une relation épanouie, mais les hommes et les femmes ne la vivent pas de la même manière. Cette étude donne une autre piste pour comprendre comment les émotions des partenaires peuvent être liées, mais de plus amples recherches sont nécessaires pour comprendre comment ces réponses émotionnelles peuvent au final contribuer à la longévité ou au terme d’une relation amoureuse », résume Ashley Randall, qui mène l’étude, par ailleurs effectuée sur 44 couples volontaires.

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Les hommes et le sexe : plus de mythes que de réalité

Une stupéfiante nouvelle recherche sur les hommes et leur relation avec la sexualité lève le voile sur plusieurs faits qui s’avèreraient en fait des mythes plutôt tenaces…

C’est ce qui ressort des conclusions proposées par des chercheurs de l’Université Duke et rapportées par le Daily Mail (UK), alors que l’on constate que les hommes ne sont pas toujours aussi obsédés par la sexualité qu’ils le prétendent.

En fait, selon l’étude, plusieurs mythes qui circulent autour des hommes seraient véhiculés par ces derniers eux-mêmes, notamment afin d’être à la hauteur du stéréotype.

Dans la même veine, les réponses obtenues sur l’échantillon de 101 hommes et de 101 femmes du groupe test révèlent que ce sont en fait les femmes qui seraient davantage attirées par la question sexuelle, et davantage que leurs confrères masculins!

Un point que les deux genres ont en commun, cependant, c’est qu’ils tendent à évaluer à la hausse le nombre de leurs rapports sexuels sur une base mensuelle. C’est donc à dire que tout le monde ment, consciemment ou pas, sur sa relation avec sa sexualité ainsi que sur la fréquence.

Les chercheurs terminent en rappelant que le désir et les performances sexuelles varient aussi beaucoup en fonction des humeurs, chez l’homme comme chez la femme.

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Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

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Les raisons qui poussent les fumeurs à arrêter ne sont pas celles que l’on croit

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions et des statistiques surprenantes et fort intéressantes en ce qui concerne l’arrêt du tabagisme, particulièrement en ce qui a trait aux véritables raisons qui poussent les fumeurs à arrêter.

Selon l’étude publiée dans le Health Education Journal, la santé et les risques de cancer ou de maladies cardiovasculaires ne sont étrangement pas en tête de liste des raisons qui poussent les gens à cesser de fumer.

Ce serait davantage la peur reliée à tout ce qui touche à l’apparence et aux performances sexuelles, selon l’étude britannique, qui frappe l’imaginaire des fumeurs.

Les femmes, par exemple, réagiraient plus fortement aux données qui font état de vieillissement prématuré, de problèmes cutanés, de rides et d’autres problèmes physiques et apparents. Même son de cloche du côté des hommes, mais avec en prime la peur de perdre de la puissance sexuelle ou de devenir carrément impuissant.

Voilà qui peut surprendre, compte tenu de la gravité des maladies connexes au tabagisme comme le cancer, mais en cette ère de superficialité, on comprend rapidement le phénomène.

Par ailleurs, les femmes de plus de 50 ans réagissent davantage à la peur du cancer et des maladies cardiovasculaires que leurs homologues plus jeunes.

Les chercheurs croient que l’étude permettra de mieux diriger les campagnes et les outils de prévention en fonction du public cible.

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Les femmes possèdent-elles réellement une meilleure mémoire?

Une étude rapportée par Santé Log confirme la légende qui suggère une mémoire plus efficace chez les femmes que chez les hommes, ce qui risque de faire encore une fois bondir plusieurs mâles susceptibles.

En fait, selon les conclusions proposées par ces chercheurs de l’Université Cornell, la femme aurait une meilleure capacité à se souvenir de certains événements grâce à une performance accrue de ce qu’on appelle la « mémoire épisodique ».

Plus de données, de détails et de souvenirs reviendraient en tête plus facilement, mais aussi plus rapidement chez la femme que chez l’homme, toujours selon l’équipe de chercheurs.

L’étude, publiée dans la plus récente édition du magazine Memory, fait aussi état d’une organisation de la mémoire bien précise du côté de la gent féminine, en plus d’une meilleure capacité de codage et de conservation des données.

Les chercheurs avancent que cette différence notable entre la mémoire épisodique des hommes et des femmes pourrait expliquer en partie pourquoi les deux sexes semblent voir le monde et réagir aux événements souvent de façon bien différente.

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Les hommes sont-ils à blâmer pour… la ménopause?

Le Telegraph (UK) rapporte une théorie des plus fascinantes voulant que les hommes puissent être à blâmer pour la ménopause que doivent subir les femmes de ce monde.

En effet, les chercheurs canadiens en cause dans cette recherche mettent de l’avant la théorie que c’est le comportement des mâles, qui recherchent subitement une partenaire plus jeune passé un certain âge, qui aurait provoqué le concept de ménopause dans l’évolution.

On sait que la ménopause est un phénomène typiquement humain, et une nouvelle étude pilotée sur ordinateur tendrait à confirmer la théorie en provenance de l’Université McMaster.

« La ménopause est unique aux humains, mais personne n’a encore apporté d’explication satisfaisante sur les raisons qui expliquent son apparition. Comment fait-on évoluer l’infertilité? C’est contraire au principe de sélection naturelle, qui cherche la fertilité, la reproduction », lance avec enthousiasme le professeur canadien Rama Singh.

Ce dernier a vu ses recherches et sa théorie être publiées dans le PLoS Computational Biology, et il donnera sans doute de nouvelles munitions aux femmes de ce monde qui aiment bien déjà taquiner leurs homologues masculins.

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Les hommes deviennent-ils des adultes… à 43 ans?

Être un éternel adolescent ne serait plus un syndrome réservé à quelques individus, selon ce que l’on comprend des chiffres rapportés par Top Santé, qui dévoile une étude fascinante sur le sujet.

C’est à la suite d’un sondage commandé par une chaine de télé et la mise en place d’une étude sur la maturité masculine qu’on en est arrivé à faire une moyenne d’âge où les hommes deviendraient enfin « matures ».

Le problème, c’est que la moyenne finale est de… 43 ans! 11 ans de plus que leurs copines et que les autres membres de la gent féminine, qui atteindraient ce palier autour de 32 ans.

Si les hommes ne semblent pas se soucier particulièrement du phénomène, les femmes semblent en avoir long à dire sur le sujet, elles qui affirment dans une proportion d’une sur quatre « devoir prendre toutes les décisions ».

Trois femmes sur dix avouent avoir mis fin à une relation pour cause d’immaturité chronique.

Bien entendu, l’étude ne prend pas en considération les aspirations de chacun, et par conséquent la volonté des individus sondés à devenir matures, un mot qui ne revêt pas la même importance selon la philosophie de chaque personne, certainement.