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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.

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Les brunes sont-elles de meilleures épouses?

Top Santé rapporte qu’un nouvel épisode de la guerre entre les blondes et les brunes vient d’être entamé, alors que la compagnie Superdrug publie un sondage amical concernant le choix des hommes en matière d’épouse.

À la surprise générale, les brunes retrouvent leurs lettres de noblesse et sont choisies à 54 % par les hommes, pour seulement 16 % pour les blondes!

La portion restante des statistiques reste vague, car les répondants restants n’auraient pas de préférence. On a aussi oublié de mettre les rousses dans les choix de réponse, une option pourtant toujours viable.

Alors que la société envoie une impression que les blondes dominent le cœur des hommes, le sondage vient renverser cette théorie. Alors, pourquoi les hommes choisissent-ils une brune lorsque vient le temps de penser au long terme?

D’abord parce que celles-ci seraient « plus profondes » et « plus raisonnables, mais aussi plus expérimentées et habiles au lit ». Encore un argument des blondes qui s’envolent en fumée…

Les hommes croient aussi que les brunettes sont de « meilleures cuisinières » et « meilleures dans les tâches ménagères ».

Là, franchement, il s’agit d’un commentaire honteux de la gent masculine, qui est sans doute capable de ranger et de se nourrir par elle-même.

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L’ostéoporose chez les hommes : un phénomène méconnu

Lorsqu’on parle d’ostéoporose, on pense immédiatement à la femme. Cependant, Top Santé rapporte des propos de spécialistes américains qui veulent sensibiliser la population au problème chez les hommes, qui s’avère bien réel.

Le problème, c’est que les hommes eux-mêmes ignorent souvent qu’ils souffrent de la maladie ou qu’ils sont à risque de la développer. La gent masculine doit donc s’éveiller au phénomène, mais selon le professeur Robert Adler, les médecins aussi…

« Je pense que pour la majorité des praticiens, l’ostéoporose est une pathologie qui ne touche que les femmes. Rares sont les patients hommes à qui l’on propose de faire un test d’ostéodensitométrie, un examen qui permet de mesurer la densité osseuse », explique le spécialiste de l’hôpital pour vétérans de Richmond, aux États-Unis.

Pourtant, les facteurs de risque sont les mêmes, peu importe le sexe de la personne. Notamment, le manque de vitamine D et de calcium, le tabagisme, le vieillissement et l’absence d’activité physique sont des facteurs qui peuvent influencer le développement de la maladie.

Un travail colossal de sensibilisation et de prévention reste donc à faire.

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Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

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Les spermatozoïdes démystifiés

Une vieille théorie confirmée, de nouveaux faits dévoilés et une meilleure compréhension du processus de reproduction chez l’homme, voilà autant de choses qui ressortent d’une nouvelle étude sur le sujet.

C’est Top Santé qui rapporte les conclusions de cette étude, publiée initialement par des chercheurs de Harvard et du Boston Children’s Hospital.

On y apprend notamment que les spermatozoïdes aiment bien « nager » à contre-courant, comme l’indiquait une théorie ancienne datant de 1876. Le déplacement de ces cellules reproductrices serait influencé par la chaleur, ou la température si vous préférez.

D’autre part, on confirme que sur la production de 200 à 300 millions de spermatozoïdes, seuls 20 à 30 se rendront à destination, avant qu’un seul vainqueur soit déclaré au fil d’arrivée.

Les chercheurs, Kiyoshi Miki et David Clapham, ont ensuite tenté des expériences sur des rongeurs, pour découvrir que la femelle joue également un rôle dans l’arrivée des spermatozoïdes jusqu’à l’ovule, en créant un « courant » qui permet à ceux-ci de remonter jusqu’à destination.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Un traitement contre le cancer de la prostate découvert à Sherbrooke

Radio-Canada rapporte que des chercheurs de l’Université de Sherbrooke et du CHUS auraient découvert un traitement pour venir à bout du cancer de la prostate.

Cette spectaculaire nouvelle aurait mené à une subvention de 1,2 million de dollars pour l’équipe de chercheurs, qui croit être en mesure de ralentir la prolifération des cellules cancéreuses en cause dans le développement du cancer de la prostate.

Ce dernier est un réel fléau qui touche de plus en plus d’hommes à travers le monde. Si l’explication du traitement est complexe, son implication n’en demeure pas moins claire : on pourrait bientôt traiter le cancer de la prostate efficacement.

« L’enzyme peut être considérée comme des ciseaux moléculaires. On utilise une molécule pour empêcher ce ciseau d’avoir son action. Les molécules, que nous avons produites, doivent être encore développées pour améliorer leur stabilité et leur accessibilité aux tissus chez les humains. Nous sommes présentement en train de développer ces étapes », résume Robert Day, de la Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke.

Après des essais fructueux sur des souris, les chercheurs se disent maintenant prêts à commencer les essais cliniques sur des humains. La planète entière se croise les doigts.

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Les femmes sont-elles vraiment plus loquaces que les hommes?

Santé Log répond à une question qui semble de prime abord sexiste : les femmes parlent-elles plus que les hommes?

L’étude rapportée par le site répond non seulement à cette question par l’affirmative, mais elle explique également l’une des raisons qui pourrait expliquer ce phénomène.

On avance d’abord que la femme prononcera en moyenne 20 000 mots par jour, pour 7000 pour un homme. Mais attention, si on comprend bien les résultats de cette étude en provenance de l’Université du Maryland, ce phénomène cacherait un beau compliment pour la gent féminine.

En fait, il appert que si les femmes parlent plus, c’est qu’elles auraient une meilleure capacité d’apprentissage et de maîtrise du langage, une capacité démontrée et expliquée par la présence de la protéine FOXP2.

Cette dernière jouerait un rôle dans la capacité et la volonté de s’exprimer, et de le faire adéquatement.

Fait étrange, on retrouve davantage cette protéine chez les rongeurs mâles, comme les rats, mais moins chez leurs homologues humains.

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Près d’un Américain sur cinq boit trop

Trop d’Américains boivent encore trop. C’est la conclusion qui ressort d’une nouvelle étude sur les habitudes de consommation d’alcool chez nos voisins du sud, un constat qui pourrait tout aussi bien s’appliquer à nous…

Heureusement, l’étude rapportée par The National Library of Medicine ne vise cette fois que la population américaine et fait état d’une moyenne d’un citoyen sur cinq aux habitudes de consommation au-dessus de la limite prescrite.

18 % des hommes et 11 % des femmes, pour être plus précis, des chiffres qui ne semblent pas démesurés, mais qui inquiètent les autorités de la santé.

« En fait, la plupart des adultes ne boivent carrément pas chaque jour. Mais le fait demeure que la consommation d’alcool est un souci de santé publique significatif, et que beaucoup de gens boivent beaucoup trop », résume Patricia Guenther, l’auteure en chef de l’étude publiée dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics.

Fait étonnant, on remarque des bonds dans le recensement des personnes qui consomment plus d’alcool que la normale chez les hommes âgés de 31 à 50 ans (22 %), et chez les femmes âgées de 51 à 70 ans (12 %).

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Les hommes et les femmes peuvent-ils vraiment être amis?

L’amitié homme femme n’est-elle qu’un mythe? Deux personnes de sexe opposé peuvent-elles réellement entretenir un lien d’amitié sincère et platonique?

C’est la question que pose Top Santé en cette veille de Saint-Valentin, en rapportant des conclusions publiées par des chercheurs américains sur le sujet.

D’abord, les chercheurs constatent que l’attirance et l’apparence physique joueraient des rôles importants dans le « choix » d’un ou d’une amie, ce qui commence bien mal l’opération.

De plus, des tests effectués sur une série de couples d’amis ont permis de vérifier un stéréotype tenace : celui qui veut que les hommes soient plus attirés physiquement par leurs amies que l’inverse. Ce type d’hypocrisie n’est donc pas garante d’une relation d’amitié saine et solide.

On constate en plus que les gestes physiques et les marques d’affection entre amis de sexe opposé sont fréquents, ce qui vient ajouter aux notions précédemment énoncées.

Les tests ont été conduits sur près de 100 personnes, dont deux fois plus d’hommes. Les sujets devaient répondre à des questions concernant leurs relations d’amitié ainsi que sur leurs attentes envers celles-ci.