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L’horloge biologique des femmes est plus rapide

On le soupçonne depuis un moment, mais des chercheurs américains viennent de le prouver : l’horloge biologique des femmes est plus rapidement que celle des hommes.
 
Après voir étudié 52 hommes et 105 femmes pendant deux à six semaines, on constate que les femmes auraient 2,5 fois plus de chances d’avoir un rythme circadien de moins de 24 heures.
 
En effet, chez la femme, ce cycle qui détermine la durée de la journée est plus court de six minutes, donc il se termine avant même que les 24 heures ne soient passées.
 
« Ce résultat pourrait expliquer pourquoi les femmes se réveillent en moyenne plus tôt », explique Claude Gronfier, chercheur à l’Inserm.
 
Selon la revue PNAS, les femmes et les hommes vivent donc en « décalage horaire ».
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Plus de cancers chez les hommes homosexuels

La revue Cancer rapporte que les hommes homosexuels sont plus souvent atteints d’un cancer que les hétérosexuels. Ces résultats proviennent d’une étude californienne qui a été la première à poser la question de l’orientation sexuelle chez les 10 942 patients interrogés.
 
Sur les 3 690 hommes participants à la recherche, on a remarqué que les cas de cancer étaient plus élevés de 1,9 fois chez les hommes homosexuels.
 
Toutefois, on ne note aucune différence chez les 7 252 femmes interrogées quant à leur orientation sexuelle. La seule différence est que les lesbiennes et bisexuelles survivantes au cancer auraient 2,3 fois plus de chances d’avoir une mauvaise santé comparativement aux femmes hétérosexuelles.
 
D’autres études devraient dorénavant se pencher sur le sujet et voir comment améliorer les programmes de détection précoce.
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Les femmes s’ennuieraient plus rapidement dans le mariage que les hommes

Une équipe de l’Université de Winnipeg, dirigée par Beverley Fehr, a découvert que ce sont les femmes qui auraient tendance à s’ennuyer plus rapidement que les hommes dans le mariage.
 
Le Daily Mail rapporte de nombreuses raisons d’ennui au sein d’une union, incluant les conflits, la trahison et l’égoïsme.
 
L’étude a été réalisée auprès de 88 couples mariés. On les a interrogés sur leurs activités quotidiennes et leur relation.
 
La recherche révèle également que les rencontres sont considérées comme beaucoup moins ennuyeuses. Selon Beverley Fehr, c’est sans doute parce que les personnes peuvent se détacher facilement de la relation.
 
Ainsi, les hommes ne seraient pas les premiers à s’ennuyer dans un mariage. Par contre, il semblerait qu’ils s’ennuient plus rapidement avec une femme avec laquelle ils ne sont pas mariés.
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L’annulaire d’un homme en dit beaucoup sur ses chances de plaire aux femmes

Une nouvelle étude publiée dans le British Royal Society’s Journal Biological Sciences dévoile que plus l’annulaire d’un homme est long comparativement à son index, plus il a de chance de plaire aux femmes.
 
Auparavant, la longueur de l’annulaire a été un indice du taux de testostérone chez un homme et un indicateur pour les risques de cancer de la prostate. La longueur de ce doigt est déterminée selon l’exposition de l’embryon à l’hormone masculine.
 
80 étudiantes de 18 à 34 ont évalué la virilité et l’attrait de 49 hommes. « Plus l’annulaire était long par rapport à l’index — signe d’une plus grande exposition à la testostérone — plus le visage était jugé attractif. Nous avons aussi découvert qu’attirance et symétrie du visage sont très fortement corrélées », explique la chercheuse Camille Ferdenzie de l’Université de Genève.
 
Par contre, les hommes les plus attirants n’étaient pas nécessairement ceux que l’ont jugeait être les plus masculins.
 
Même chose en se fiant à l’odeur et à la voix, les femmes n’étaient pas toujours charmées par ceux qui avaient les annulaires les plus longs.
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Une femme sur cinq boit trop

De récentes données de l’Office national de la statistique au Royaume-Uni nous indiquent que 18 % des femmes boivent de l’alcool avec excès, selon The Telegraph.

Ainsi, près du cinquième des femmes boit plus de 14 consommations d’alcool par semaine, ce qui correspond à plus de 7 verres de vin moyens.
 
Le taux a augmenté depuis 1998, où il se situait à 15 %. De plus, il semble que les femmes plus âgées boivent plus que les autres.
 
Quant aux hommes, si 28 % dépassaient la limite de 21 consommations par semaine en 1998, ce taux s’est retrouvé à 26 % en 2009.

Selon certains experts, les fortes consommations d’alcool chez les femmes pourraient en partie expliquer la hausse des interventions médicales. L’alcoolisme est très lié à certains problèmes de santé comme les maladies cardiaques et la cirrhose du foie.

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Le soja n’affecte pas la fertilité masculine

Une étude publiée en ligne sur le site Fertility and Sterility démontre que le soja n’a finalement aucune incidence sur la fertilité masculine. Il n’y a donc aucun effet néfaste qui a été constaté.
 
Depuis plusieurs années, on croyait que le soja avait une influence sur la qualité du sperme. Ce sont surtout les isoflavones, un composé du soja, qui étaient pointés du doigt. On croyait que ce composé avait des effets nuisibles sur le sperme.
 
Des chercheurs se sont ainsi penchés sur la question. Durant trois essais qui ont duré 57 jours chacun, 32 hommes en bonne santé ont consommé chaque jour une boisson à base de poudre d’isoflavones plus ou moins concentrée.
 
Finalement, à la lumière des analyses, les résultats obtenus sont plutôt rassurants, car on ne dénote aucune anomalie et le sperme n’est pas affecté. C’est ce qui a été conclu après avoir mesuré la quantité d’isoflavones dans les échantillons d’urine et de sperme des hommes.
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Analyse du syndrome du bébé secoué

Si l’on connaît les répercussions du syndrome du bébé secoué, tels les dommages au cerveau, le profil des coupables est toutefois peu documenté.

C’est dans ce but que des chercheurs de trois hôpitaux américains ont tenté d’évaluer les différences entre les femmes et les hommes qui commettent ces sévices. Pour ce faire, on s’est basé sur les données recueillies sur des cas survenus entre 1998 et 2008.

Pour les 34 cas étudiés (17 de chaque sexe), on avait accès aux conséquences judiciaires encourues ainsi qu’au profil de ces personnes ayant secoué un bébé.

De plus, on a pu prendre connaissance des dommages au cerveau et à la rétine, entre autres, vécus par les bébés en cause. L’âge moyen des victimes était de 9,4 mois.

Après analyse, il en est ressorti qu’il y avait une différence marquée entre les hommes et les femmes quant aux coupables. Les hommes étaient plus jeunes et ils étaient plus portés à se confesser de leur crime. De plus, leurs victimes avaient subi de plus graves dommages à leur santé.

D’autres recherches sur le sujet pourraient suivre, mais jusqu’ici, on peut déjà établir un certain profil des coupables du syndrome du bébé secoué. Les résultats détaillés de la présente étude ont été publiés dans Pediatrics.

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Les mères s’occupent deux fois plus des enfants

Encore aujourd’hui, ce sont les mères qui consacrent le plus de temps à s’occuper des enfants. C’est ce que révèle une étude européenne menée par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique).

Il semble donc qu’une mère passe en moyenne 1 h 40 chaque jour à s’occuper de ses enfants, tandis qu’un père n’y accorde que 42 minutes de son temps. La différence est donc assez marquée.
 
Ces chiffres ne changent pas pour autant si les parents occupent ou non un emploi. En effet, un père qui travaille passera en moyenne 40 minutes chaque jour avec ses enfants, contre 51 minutes pour un papa à la maison.

On a aussi pu remarquer, dans cette étude, que les hommes étaient plus souvent responsables de l’aspect ludique et didactique de l’éducation de leurs enfants, alors que les femmes avaient plus tendance à voir à la surveillance et aux soins accordés à leur progéniture.

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Une première pilule contraceptive pour homme pourrait voir le jour

Des chercheurs indonésiens ont grandement progressé dans la création d’une première pilule contraceptive pour les hommes.

Ce médicament est à base de gandarusa. Depuis 1988, les chercheurs s’intéressent à cet arbuste des tribus locales de l’île Papua. Ces derniers l’utilisent comme moyen de contraception depuis longtemps, simplement en mâchant la feuille du gandarusa.

La pilule, qui a déjà été testée sur des dizaines d’hommes, empêcherait les spermatozoïdes de féconder l’ovule.

De plus, 72 heures après avoir cessé de prendre le médicament, les hommes ont retrouvé leur pleine fécondité. Pour le moment, les chercheurs n’ont pas dévoilé si la pilule causait des effets secondaires.

Trois cent cinquante hommes feront des essais cliniques cette année, et la pilule pourrait bien être mise en marché d’ici la fin de l’année si tout se passe comme prévu, nous apprend le site spécialisé Slate.fr.

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La dépendance à la pornographie à un trop jeune âge cause des problèmes sexuels

Selon les experts en sexologie de la Société médicale italienne d’andrologie, les hommes qui deviennent dépendants de la pornographie dès le début de l’adolescence souffrent plus souvent d’impuissance ou d’anorexie sexuelle, une fois dans la vingtaine. Cette période devrait pourtant être charnière dans leur épanouissement sexuel.

Mentionnons au passage que l’anorexie sexuelle est la perte de libido.

Selon les statistiques rapportées par MedicMagic, parmi les hommes qui ont développé une dépendance à la pornographie, 3,9 % sont dépendants depuis l’âge de 13 ans et 5,9 % ont commencé à développer cette accoutumance entre 14 et 18 ans.

Selon les mêmes observations, les hommes qui ont commencé à consommer de la pornographie à un jeune âge souffrent plus souvent d’anorexie sexuelle à l’âge de 20 ans.

En 2009, une étude de l’Université de Montréal était parvenue à des résultats similaires.