Catégories
Uncategorized

L’hormonothérapie et la radiation

Des chercheurs suédois affirment que les hommes souffrant d’un cancer de la prostate devraient envisager une double thérapie s’ils souhaitent augmenter leurs chances de survie.

L’hormonothérapie et des traitements de radiothérapie devraient être jumelés afin de réduire le taux de mortalité lié à ce type de cancer, soutient le Dr Anders Widmark de l’Université Umeå, même si le degré de sévérité est considérable.

875 hommes souffrant d’un cancer avancé de la prostate ont participé à cette recherche. Ces derniers ont consommé du Eulexin (flutamide), qui bloque la sécrétion d’androgène, une hormone qui favorise la propagation du cancer de la prostate. Après 10 ans, 23,9 % des sujets qui suivaient uniquement l’hormonothérapie étaient décédés, tandis que 11,9 % des participants sont morts quand ils suivaient la double thérapie.

Catégories
Uncategorized

Le cancer de la prostate et le statut conjugal

Les hommes mariés ou en couple recevraient un diagnostic plus précoce du cancer de la prostate que ceux qui sont célibataires, selon une étude publiée dans la revue médicale Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention.

En effet, selon l’auteure principale derrière ces résultats, la Dre Lauren P. Wallner de l’Université du Michigan, les hommes ayant des antécédents familiaux de ce type de cancer sont 40 % moins susceptibles de recevoir un tel diagnostic s’ils sont célibataires, comparativement à ceux qui sont en couple.

La Dre Wallner croit que ce phénomène pourrait s’expliquer par le fait que les femmes ou les conjointes insistent davantage pour que leur homme rencontre un médecin pour des examens de santé annuels.

Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus virulent chez les hommes américains.

Catégories
Uncategorized

Plus de germes différents chez les femmes que chez les hommes

Une recherche, publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences, démontre que les mains des femmes contiennent beaucoup plus de germes différents que celles des hommes.

Les chercheurs de l’Université du Colorado ont analysé les paumes de main de 51 étudiants, tout juste après qu’ils aient complété un examen.

4 700 différentes espèces de bactéries nichaient sur leurs mains et seulement 5 d’entre elles ont été retrouvées chez tous les participants à l’étude.

Selon les chercheurs, le degré d’acidité de la peau, plus faible chez la femme, serait responsable de la grande variété de germes présents chez les femmes. Cette variante pourrait aussi s’expliquer par les hormones, l’épaisseur de la peau, les savons, les crèmes hydratantes et la quantité de sueur.

Étonnamment, la fréquence des lavages de mains n’améliore pas la situation, puisque la variété de bactéries demeure inchangée.

Catégories
Uncategorized

Les effets du cortisol

Une recherche, dont les résultats complets se retrouvent dans la revue scientifique Biological Psychiatry, démontre que les adolescents peuvent aussi évoquer les hormones pour justifier leurs sautes d’humeur.

Dans leur cas, il s’agit du cortisol, une hormone sécrétée dans le cortex surrénal du cerveau, qui contrôle le niveau de stress.

Des chercheurs ont analysé les réactions cérébrales de jeunes hommes lors d’un jeu vidéo stressant et frustrant. Ils ont observé qu’un déficit de cortisol causait des sautes d’humeur.

Catégories
Uncategorized

L’instabilité conjugale causée par les gènes

Selon des chercheurs de l’Institut Karolinska de Stockholm, une variante génétique, présente chez 4 hommes sur 10 en Suède, pourrait expliquer les problèmes relationnels des hommes et le manque d’engagement amoureux que leur reproche souvent leur partenaire.

L’auteur principal derrière cette découverte, le professeur Hasse Walum, a déclaré : « Il y a bien sûr beaucoup de raisons pour expliquer le fait qu’une personne ait des problèmes relationnels, mais c’est la première fois que la variante d’un gène spécifique est associée à la manière dont les hommes se comportent avec leur partenaire. »

Cette variante génétique se nomme « allèle 334 » et augmentait la fréquence des chicanes de couple lorsque les participants étaient porteurs de deux exemplaires de l’allèle 334. « L’incidence de l’allèle 334 est statistiquement liée au degré d’attachement d’un homme à sa partenaire », a souligné le professeur.

Catégories
Uncategorized

Le dépistage du cancer de la prostate contesté

Selon les médecins de la U.S. Preventive Services Task Force, passé les 75 ans, les examens de dépistage du cancer de la prostate causent plus de dommages que de bienfaits aux patients.

L’organisme, qui a publié cette recommandation hier, rapporte que les preuves du bienfait de tels examens « sont petites ou inexistantes. »

Cette mise à jour du guide des procédures est une première depuis 2002. 

Selon la Société canadienne du cancer, à compter de 50 ans, les hommes devraient demander à leur médecin s’il est nécessaire de passer un test de dépistage du cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate se forme dans les cellules de la prostate, une glande de l’appareil reproducteur masculin. La prostate sert principalement à sécréter une partie du liquide (dit séminal) qui, combiné aux spermatozoïdes produits par les testicules, forme le sperme. Le sperme est éjaculé lors des relations sexuelles.

Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus répandu chez les hommes au Canada. En général, le cancer de la prostate évolue lentement et peut souvent être guéri ou traité avec succès.

Catégories
Uncategorized

Les plats à base de soja rendraient les hommes moins fertiles

Cette enquête réalisée sur une centaine d’hommes, qui se sont rendus dans une clinique pour faire évaluer leur taux de fertilité, montre que le sperme des hommes ayant mangé le plus de soja contient moitié moins de spermatozoïdes que celui des hommes qui n’en ont pas consommé.

Les patients interrogés par les chercheurs avaient régulièrement consommé des plats préparés à base de soja dans les trois mois précédents leur évaluation.

Ces résultats seraient encore plus prononcés chez les personnes obèses ou en surpoids.

Pour les chercheurs, il se pourrait que ce soit les isoflavones contenues dans le soja qui soient la cause de cette conclusion. En effet, de précédentes études réalisées sur des animaux avaient montré les effets négatifs des isoflavones sur la fertilité et la reproduction.

Catégories
Uncategorized

La réaction au stress diffère selon le sexe

Les travaux menés sur des rats par des scientifiques montréalais du Centre de recherche Fernand-Seguin démontrent que la réaction neurologique face au stress varie selon le sexe.

Si c’est l’hémisphère droit des rongeurs mâles qui est activé dans des situations tendues, c’est l’hémisphère gauche qui réagit davantage chez les femelles.

Des recherches antérieures avaient prouvé qu’une sollicitation de l’hémisphère gauche entraînait des symptômes dépressifs, troubles que les femmes développent deux fois plus souvent que les hommes en situation stressante.

L’un des auteurs de l’étude, le Dr Ron Sullivan, apporte toutefois quelques nuances à ces découvertes : « Aucun des deux sexes n’emploie exclusivement un hémisphère ou l’autre dans une situation stressante. Cependant, l’hémisphère dominant semble être différent selon le sexe, ce qui nous permet de croire que les hommes et les femmes présentent une réactivité différente face au stress qui, elle, pourrait être reliée à la plus grande vulnérabilité observée chez les femmes. »

Catégories
Uncategorized

Les hommes, adeptes de la livraison de repas

Selon le site Internet Alloresto.fr, les représentants de la gent masculine semblent plutôt désemparés en l’absence de leurs épouses, alors que sept hommes sur 10 se font livrer à la maison des repas tout préparés.

Ces derniers affectionnent tout particulièrement la pizza, la cuisine tex-mex et surprise, les sushis.

C’est pendant la période estivale, entre le 15 juillet et le 15 août, que les commandes de repas par les hommes connaissent une hausse fulgurante de 42 %. Ce phénomène serait attribuable à l’absence des épouses de la maison.

Catégories
Uncategorized

L’horloge biologique au masculin

Des scientifiques du Centre Eylau en France ont découvert que la gent masculine avait, elle aussi, une horloge biologique qui se met en branle à la mi-trentaine. Ce phénomène a été observé auprès de 12 000 hommes dont le couple a de la difficulté à concevoir un enfant.

Selon les chercheurs, le taux de fertilité des hommes est en déclin vers 35 ans et s’accentue davantage vers 40 ans, alors que le taux de grossesse était de 12,3 % lorsque le père avait moins de 30 ans et chutait à 9,3 % lorsque ce dernier avait atteint 45 ans et plus. Quant au taux de fausses couches, il passait de 13,7 % à 32,4 %.

Stéphanie Belloc, l’auteure principale de la recherche, commente : « Nos travaux montrent pour la première fois un lien étroit entre l’âge du père et le résultat de l’insémination intra-utérine, une information qui devrait être prise en compte dans les programmes de reproduction assistée. »

Selon la Dre Belloc, la dégradation de l’ADN dans le sperme pourrait expliquer cette découverte.