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Les chicanes de couple sont dures pour la santé

Les femmes seraient plus à risque de problèmes de santé et de mort prématurée découlant des disputes et chicanes de couple, selon une nouvelle étude rapportée par Top Santé.

Selon des chercheurs universitaires américains basés à Pittsburgh, les chicanes de couple sont lourdes de conséquences pour la santé des gens qui les vivent, et chez les deux sexes, mais particulièrement chez les femmes.

Augmentation de la tension artérielle, risque accru de troubles cardiaques et d’AVC, décès prématuré, stress, anxiété, voilà autant de problèmes qui peuvent découler des disputes engendrées au sein d’une relation amoureuse.

C’est après avoir analysé les cas de plus de 1500 personnes âgées de 50 ans, soit en milieu de vie, que les chercheurs ont remarqué de tels impacts sur la santé, notamment chez les femmes.

« Les disputes ont donc plus d’importance à leurs yeux et ont un impact sur leur tension nerveuse », mentionne le chercheur Rodlescia Seed, qui croit que les femmes s’impliquent davantage que les hommes sur le plan émotif dans une relation.

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Le cerveau des hommes modifié par le rôle maternel

Pour la femme, comme l’indique Science World Report, les étapes de la grossesse, de l’accouchement et de la lactation représentent à eux seuls les détonateurs relatifs à la protection pour la survie de leur enfant.

« Les pères ont les mêmes capacités, mais ils ont besoin d’apporter des soins quotidiens au bébé pour déclencher ce réseau maternel interne », explique Ruth Feldman, chercheuse principale d’une recherche sur le sujet à l’Université Gonda Brain Sciences Center à Bar-Ilan en Israël.

Feldman rapporte que le cerveau envoie des signaux neurologiques différents en réponse aux émotions selon le sexe. L’étude a été menée auprès de 89 parents d’un premier enfant.

Chez la femme, les signaux tendaient vers l’amygdale, alors que chez l’homme, ils se situaient au niveau du sillon temporaire supérieur, région du cerveau responsable des tâches logiques et des interactions sociales.

« Plus les pères participent activement aux soins de leur enfant, plus le réseau neurologique du père activera la partie maternelle de son cerveau. »

Les informations ont été publiées dans la revue PNAS.

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Quand le lieu de travail devient moins stressant que la maison

Est-ce que votre lieu de travail est devenu votre endroit de prédilection et votre sanctuaire, au détriment de la maison devenue trop stressante? Voilà la question posée par le New York Times, qui rapporte une nouvelle étude intéressante en la matière.

Le quotidien propose les résultats d’une étude, effectuée par des chercheurs de l’Université Penn State, qui analysait les taux de cortisol de 122 travailleurs durant leurs heures de travail, puis durant le week-end.

Les chercheurs ont été étonnés de constater que les niveaux de stress des sujets, évalués à l’aide des taux de cortisol, étaient souvent moins élevés au travail qu’à la maison.

Ces résultats intéressants tendent à démontrer que le travail demeure un exutoire de choix contre les tracas et le stress de la vie familiale et quotidienne.

« Le fait que les niveaux de stress des gens descendent lorsqu’ils sont au travail ne signifie pas pour autant qu’ils n’aiment pas leur maison ou leurs enfants. Je crois que ça suggère plutôt qu’il y a quelque chose de bon pour vous dans le travail », croit la professeure Sarah Damaske, auteure de l’étude.

De plus, les femmes semblent particulièrement moins stressées au travail qu’au domicile que les hommes, un autre indicateur des difficultés à conjuguer la vie familiale, amoureuse et professionnelle.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science & Medicine.

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Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.

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La marche bénéfique en traitement de l’hypertension

À défaut de pratiquer un sport intense ou de s’entraîner en salle, les personnes moins motivées ou dans l’incapacité de fournir un tel effort peuvent se tourner vers une solution alternative qui n’est pas à sous-estimer : la marche.

Vantée depuis longtemps par bon nombre de spécialistes, la marche propose plusieurs bienfaits pour la santé lorsque pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.

Le dernier avantage de la marche en date serait ses propriétés bienfaitrices contre les problèmes d’hypertension, rapporte Top Santé.

C’est une nouvelle étude sur le sujet en provenance de l’Université George Washington qui confirme les bienfaits de la marche dans le traitement de l’hypertension, après que les chercheurs en tête de l’étude aient analysé les dossiers de plus de 2000 patients.

2153 hommes de 70 ans et plus, en fait, ont été observés à la suite d’un diagnostic d’hypertension, et après avoir intégré la marche à leur style de vie. Les résultats plus que probants après neuf ans de recherche ont permis aux chercheurs américains d’évaluer la réduction des risques de mort prématurée à environ 40 % chez les plus actifs.

L’arrêt du tabagisme, la consommation de poisson, la relaxation et l’élimination du sel et du sucre sont des actions qui peuvent aussi permettre une plus grande longévité chez les personnes qui font de l’hypertension.

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Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

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Les femmes plus rapides à récupérer d’une commotion cérébrale

Alors que le dossier des commotions cérébrales dans le sport professionnel fait beaucoup parler depuis un moment, une nouvelle étude sur le sujet surprend.

L’étude américaine en question, rapportée par TVA Nouvelles, estime que les hommes prennent plus de temps à soigner une commotion cérébrale que les femmes, et que le sexe d’un patient influence vraiment la durée de rétablissement à la suite d’un traumatisme crânien.

Les chercheurs de l’Université de Pittsburgh évaluent en moyenne à 67 jours le temps requis pour un homme afin de se rétablir d’une commotion cérébrale, et à seulement 26 jours pour les femmes. La moyenne générale de rétablissement est donc évaluée à 54 jours.

L’étude analysait les dossiers de 69 patients ayant subi un traumatisme crânien entre 2006 et 2013. Les tests effectués ont révélé que le cerveau des hommes subit des dommages plus importants que celui des femmes, ce qui est une mauvaise nouvelle pour les athlètes de sports professionnels, largement composés d’hommes.

Les résultats de l’étude américaine ont été publiés dans le magazine Radiology.

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L’impuissance est souvent traitable sans médication

Alors que les statistiques concernant l’impuissance et la dysfonction érectile surprennent souvent, The National Library of Medicine rapporte de son côté une nouvelle étude qui encourage.

L’étude australienne révèle qu’un grand nombre des cas d’impuissance recensés serait traitable de façon naturelle et sans médication, une donnée qui n’est pas nécessairement véhiculée en cette ère des traitements miracles sous forme de pilules.

L’auteur principal de l’étude, le Dr Gary Wittert, constate que des changements d’habitude dans la vie de tous les jours peuvent contribuer largement à un retour à une vie sexuelle normale. La mauvaise alimentation, l’absence d’activité physique, le tabagisme et le stress sont tous des facteurs qui peuvent mener à des problèmes en la matière.

De plus, ces changements contribuent du même coup à améliorer la santé générale d’un individu, rappelle le Dr Wittert.

« Ça vaut toujours la peine de réduire l’obésité, d’améliorer son alimentation et de faire plus d’exercice. D’abord parce que la santé générale s’améliore et que les risques de problèmes cardiovasculaires s’amenuisent », explique l’auteur de l’étude.

Ces nouvelles conclusions ont été publiées dans le Journal of Sexual Medicine.

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La barbe pourrait s’avérer un allié de la santé des hommes

Les hommes qui arborent la barbe sont nombreux. Et ceux-ci pourraient bien découvrir un nouvel avantage à ce choix de vie, si l’on se fie à une nouvelle étude australienne sur le sujet.

L’étude en question, rapportée par le Daily Mail (UK), explique que le port de la barbe permettrait de prévenir de certains problèmes de santé. Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cancer de la peau, les attaques de pollen et le vieillissement prématuré de la peau.

Si l’on comprend pourquoi la barbe permet un barrage des rayons UV, et donc une diminution des risques de cancer de la peau dû au soleil, on peut s’étonner d’apprendre que celle-ci agirait aussi comme filtre au pollen.

De plus, le port de la barbe permet de contrer le vieillissement de la peau visage, selon les chercheurs de l’Université du Queensland qui publient leurs observations, car celle-ci garde la peau hydratée en tout temps. Le rasage est également l’une des raisons qui expliquent souvent la sécheresse de la peau du visage chez les hommes, en plus de favoriser les infections.

En clair, les barbus ont maintenant quelques nouveaux arguments pour défendre leur choix.

Les conclusions de l’étude australienne ont été publiées dans le magazine Radiation Protection Dosimetry.

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Être perfectionniste pourrait nuire à votre santé

On considère souvent le perfectionnisme comme une grande qualité, les gens perfectionnistes (et les autres) n’hésitant pas à mentionner cet atout lors d’entrevues d’embauches et pour se décrire lors de diverses situations.

Or, selon de nouvelles recherches, les personnes perfectionnistes nuiraient à leur propre santé avec de tels comportements, rapporte Top Santé. Si la source mentionne notamment les femmes, on peut facilement conclure que l’avertissement s’adresse à tous.

« Nous vantons toujours le perfectionnisme comme une marque d’accomplissement professionnel, mais c’est au contraire un puissant facteur de maladies (…) qui devrait être davantage considéré par les médecins », explique la Dre Danielle Molnar, de l’Université Brock.

Dre Brock n’est pas la seule à nous mettre en garde contre les contrecoups d’une vie passée à atteindre la « perfection ». Des collègues comme le professeur Gordon Flett, de l’Université de York, abondent dans le même sens. M. Flett a notamment étudié le comportement perfectionniste sur la santé lors de recherches qui s’étendent sur une période de 20 ans, et constate que la quête de la perfection tourne souvent à l’obsession et mène au stress.

Les conclusions de la Dre Danielle Brock ont été publiées par le Daily Mail (UK).