Une étude québécoise dévoilée par Radio-Canada démontre que les femmes conservent moins de détails que les hommes concernant les souvenirs désagréables et émotionnellement intenses.
Les chercheurs ont d’abord présenté une série d’images à un groupe de personnes. Ces images composaient quatre catégories :
Ensuite, on a présenté une nouvelle série d’images avec certaines déjà vues et d’autres nouvelles. Les participants devaient identifier celles qui avaient été vues avant et celles qui étaient nouvelles.
La vitesse, le temps de réaction et l’activité cérébrale ont permis aux chercheurs de déterminer les facteurs qui affectent le plus les souvenirs.
Les photographies avec émotions intenses influençaient la capacité des femmes à se souvenir si l’image avait déjà été vue avant. Elles conservaient plus de détails des souvenirs agréables, comparativement aux hommes.
Toutefois, ces derniers se souvenaient mieux d’images émotionnellement intenses, qu’elles soient agréables ou non.