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Potins

Ils sont sortis du placard en 2013

Être homosexuel n’est déjà pas toujours facile à cause des préjugés, l’officialiser publiquement lorsqu’on est une personnalité ne l’est surement pas non plus. N’empêche, plusieurs célébrités l’ont fait cette année. Alors que nous avions des soupçons plus ou moins raisonnables pour certaines, d’autres nous ont pris par surprise. 

En avril, Jason Collins, un joueur américain de basketball, est devenu le premier sportif de renom actif d’une équipe majeure aux États-Unis à révéler son homosexualité. Un autre sportif, le footballeur Robbie Rogers, a fait de même. Le fils de Magic Johnson, Earvin Johnson, a dû se sentir inspiré, alors qu’il a aussi fait son coming-out officiel.

Dans une entrevue émouvante, le très sexy Wentworth Miller a pour sa part confié avoir tenté de se suicider à quelques reprises avant de faire son coming-out.

Jim Parsons, le craquant Sheldon Cooper de l’émission The Big Bang Theory, a aussi admis son homosexualité publiquement, dévoilant en même temps qu’il vit avec son conjoint depuis plus de 10 ans.

Du côté des dames, l’actrice Jodie Foster a prononcé un émouvant discours à la soirée des Golden Globe Awards, avouant son homosexualité et rendant hommage à son ancienne conjointe.

Aussi, la chanteuse philippine Charice, révélée dans l’émission Glee, a confronté ses craintes et admis qu’il était plus compliqué d’être gaie dans la vraie vie qu’à l’écran.

Finalement, Raven-Symoné, que l’on a vue à l’âge de 3 ans dans le rôle d’Olivia dans le Cosby Show, a effectué son coming-out via son compte Twitter.

Nous saluons le courage de ces gens et espérons qu’ils auront participé au combat contre l’homophobie.

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Nouvelles quotidiennes

Top 10 des destinations les plus accueillantes pour les gais

Vous souhaitez voyager dans un pays « gay-friendly »? Essayez l’Espagne! D’après une étude récente, il s’agit du pays le plus tolérant en la matière.

Pour connaitre l’attitude des pays face à l’homosexualité, les chercheurs du Pew Research Center ont demandé aux participants : « La société doit-elle accepter l’homosexualité? »

Sur cette étude menée sur 37 650 participants de 39 pays différents, la majorité des Espagnols (88 %) a répondu par l’affirmative, ce qui fait de l’Espagne le pays le plus accueillant pour les gais.

Parmi les pays les plus tolérants se trouvent l’Allemagne (87 % de réponses positives), la République tchèque et le Canada (à égalité avec 80 %), la France (77 %) et la Grande-Bretagne (76 %).

Sans surprise, l’homosexualité est davantage acceptée dans les pays où la religion revêt une place moins importante. Par ailleurs, ces pays font partie des plus riches sur la liste.

À l’inverse, les pays les plus pauvres et où la religion tient une place centrale sont plus résistants face à l’homosexualité.

En outre, les jeunes participants ont des vues plus tolérantes par rapport aux plus âgés, et les femmes semblent être plus ouvertes d’esprit que les hommes.

En revanche, la prudence est de mise dans les pays comme l’Égypte, l’Indonésie, le Ghana et la Jordanie, où la grande majorité de la population est fermement hostile à l’homosexualité, la rejetant presque à l’unanimité : seulement 3 % des personnes ont répondu favorablement à la question posée.

Voici le top 10 des destinations les plus « gay-friendly » :

1. Espagne 88 % de réponses favorables
2. Allemagne 87 %
3. République Tchèque et Canada 80 %
4. France 77 %
5. Grande-Bretagne 76 %
6. Italie et Argentine 74 %
7. Chili 68 %
8. Mexique 61 %
9. États-Unis 60 %
10. Japon 54 %

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Les parents homosexuels ressentent plus de pression

Les experts demandent de soutenir davantage les familles de couples du même sexe. Ces parents peuvent ressentir plus de pression sur le fait d’élever un enfant hétérosexuel.
 
Le journal Family Process affirme que les couples homosexuels sentent encore que pour prouver qu’ils sont de bons parents, leurs enfants doivent absolument être hétérosexuels. Pourtant, la fréquence de l’homosexualité n’est pas plus élevée chez un couple de même sexe qu’un couple hétérosexuel.
 
La société devrait changer de mentalité, car des recherches ont prouvé que les enfants qui grandissent au sein d’une famille avec un couple de gais, lesbiennes, bisexuels ou transgenres sont psychologiquement sains. De plus, ils sont souvent meilleurs à l’école et ont une incidence à avoir moins de problèmes sociaux que leurs pairs.
 
Ces familles différentes ne devraient donc pas être jugées aussi sévèrement ni pointées du doigt, mais plutôt recevoir le même soutien que les familles traditionnelles.