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Claire Danes trouve difficiles le mariage et la maternité

Claire Danes ose dévoiler le fond de sa pensée en matière de mariage et de maternité dans une entrevue accordée à Harper’s Bazaar, et y va d’une franchise qui n’est pas donnée à tout le monde.

L’actrice estime en effet que peu de gens vont avouer qu’il est très difficile d’être parent, même si c’est le cas, et que ceux-ci se sentent presque tous paniqués ou prisonniers à un moment ou à un autre.

« Être mère est incroyablement demandant, mais on ressent toutes une pression d’en parler en des termes romantiques. Et ce n’est pas tout. On ressent toutes par moment de l’anxiété par le fait d’être prisonnières du rôle, de cette responsabilité. Chimiquement, ça peut tourner à l’émeute. Il n’y a pas de bouton d’arrêt », déclare Claire Danes, qui n’a pas peur non plus de dévoiler les récents accès de colère de son jeune fils.

La star parle également des difficultés du mariage, mais estime qu’elle n’est de toute façon pas faite pour le célibat et les relations occasionnelles.

« Le mariage est très difficile, mais être en relation est plus plaisant que d’être seule. C’est un exercice magnifique », conclut la vedette de Homeland.

Claire Danes est mariée depuis 2009 à la star de Hannibal, l’acteur Hugh Dancy, rapporte BANG Media International.

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Questions embarrassantes des enfants, comment y répondre?

La curiosité des enfants est naturelle, et la meilleure solution pour éviter les silences embarrassants est de répondre honnêtement à leurs questions. Cependant, il faut tenir compte de leur âge et adapter ces réponses à leur compréhension, rapporte She Knows.

Les questions les plus fréquentes portent sur les différences d’autrui. Rappelez-vous, la règle ultime consiste à ne pas repousser l’enfant ni le gronder. Laissez votre honte de côté.

Exemples :

« C’est quoi le problème avec elle/lui? » en parlant de quelqu’un de handicapé ou un sans-abri. La meilleure réponse est sans doute d’expliquer que d’une part, il est impoli de pointer ou de fixer quiconque, puis qu’il arrive que certaines personnes soient nées ainsi ou aient traversé de dures épreuves, et que l’on doit se considérer comme très chanceux.

« Pourquoi il est noir/blanc/gros? » Faites un sourire d’excuses à la personne concernée, puis expliquez que les gens sont tous différents, de la couleur de cheveux ou yeux à la couleur de la peau et la forme de leur corps. C’est le moment parfait pour enseigner à votre enfant qu’il faut accepter les gens, et que c’est l’intérieur qui compte et non l’extérieur.

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Nouvelles quotidiennes

L’honnêteté à géographie variable à travers le monde

Le Reader’s Digest a décidé de mener une expérience pour rendre compte de l’honnêteté des citoyens à travers le monde. Il en ressort que pour figurer en haut du tableau, il vaut mieux résider à Helsinki, Bombay ou Budapest.

Après avoir envoyé une équipe de reporters qui avaient pour mission d’abandonner des portefeuilles dans des lieux publics de 16 grandes villes du monde, 11 sur 12 ont été rendus intacts dans la capitale finlandaise, qui ressort grandie de cette expérience.

Par contre, si on perd son portefeuille à Lisbonne (Portugal) les chances s’amenuisent de le retrouver, car l’expérience montre qu’un seul sur les 12 a été rapporté. De plus, le couple qui l’a rendu n’était pas originaire de Lisbonne, mais de Hollande.

Dans chaque portefeuille figuraient le nom et le numéro de téléphone de son détenteur fictif, ainsi que des photos de famille, des cartes de visite et l’équivalent de 50 $.

Cette expérience révèle aussi que la mauvaise réputation de certaines grosses capitales n’est pas fondée. Ainsi, la mégalopole de Mumbai, avec 9 portefeuilles sur 12 rapportés, se classe deuxième, contre toutes attentes, bien devant Londres (9e).

De nombreux participants involontaires à cette expérience ont expliqué que les photos de famille les ont fortement encouragés à rapporter le précieux objet.

Voici le résultat de ce test d’honnêteté mené par Reader’s Digest :

1. Helsinki, Finlande, 11 porte-feuilles sur 12 rendus
2. Mumbai, Inde, 9/12
3. Budapest, Hongrie, 8/12
4. New York, États-Unis, 8/12
5. Moscou, Russie, 7/12
6. Amsterdam, Hollande, 7/12
7. Berlin, Allemagne, 6/12
8. Ljubljana, Slovénie, 6/12
9. Londres, Angleterre, 5/12
10. Varsovie, Pologne, 5/12
11. Bucarest, Roumanie, 4/12
12. Rio de Janeiro, Brésil, 4/12
13. Zurich, Suisse, 4/12
14. Prague, République Tchèque, 3/1
15. Madrid, Espagne, 2/12
16. Lisbonne, Portugal, 1/12

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Enceinte et à la recherche d’un emploi, une situation délicate

Soyons honnêtes. Il s’agit d’une des pires situations qui soient. On veut le travail, mais l’employeur veut un employé qualifié… qui ne partira pas quelques mois à peine après son embauche. Doit-on être honnête, quitte à rater cette occasion?

She Knows donne un aperçu de l’éthique en place. Il y a une règle bien simple lors des entrevues. L’employeur n’a pas le droit de demander à la personne si elle est mariée, si elle a des enfants, si elle en veut, ou encore si elle est enceinte.

La raison est simple. Si la candidate informe le futur employeur qu’elle est enceinte et qu’elle n’obtient pas le poste, celui-ci pourrait être accusé de discrimination.

Pendant votre recherche d’emploi, soyez tout de même honnête envers vous-même. Entre zéro et 4 mois de grossesse, rien ne paraît. Inutile de le dire. Mais entre 5 et 7 mois, il vaut mieux aviser le futur employeur. Autrement, c’est vous qui serez dans le trouble et passerez pour une personne malhonnête.

Rappelez-vous qu’embauchée ou non, il y a un minimum de temps à faire, et plus tôt l’employeur est mis au courant, plus aisément il aura le temps de trouver une solution.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.