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Un chien pour flairer le C. difficile!

Plusieurs centres hospitaliers dans le monde sont aux prises avec le même problème : la bactérie C. difficile.

Le Québec ne fait pas exception, bien au contraire, alors que les statistiques concernant le C. difficile sont en hausse. Nombreuses sont les histoires de gens qui affirment être entrés à l’hôpital moins mal en point qu’une fois à l’intérieur des murs, justement à cause de ce virulent problème.

Les autorités de partout sont donc pressées de trouver des solutions, et des chercheurs néerlandais en ont peut-être trouvé une. En effet, santelog.com rapporte que les chercheurs croient que le meilleur ami de l’homme, le chien, pourrait encore une fois venir à sa rescousse.

C’est que selon eux, certains chiens seraient en mesure de flairer la présence du C. difficile en milieu hospitalier, et ce, avec une grande précision.

Ces conclusions ont été publiées dans la dernière édition du MBJ Open et parlent d’un taux de réussite de détection de la bactérie par des canins qui frôlerait la perfection.

Cliff, un beagle, est la star de cette recherche, lui qui aurait réussi à démontrer parfaitement la théorie des chercheurs, en « analysant » une salle complète d’hôpital en moins de dix minutes.

D’autres études sont à venir, mais on souhaite que ce procédé puisse devenir une solution viable contre le fléau C. difficile.

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Moins de décès en centre hospitalier au Canada depuis deux ans

Le Devoir rapporte qu’une étude a été effectuée afin de faire le bilan des taux de mortalité des différents hôpitaux canadiens.

Une première bonne nouvelle découle des résultats de cette étude : il y a moins de décès en centre hospitalier au Canada depuis deux ans.

C’est l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) qui commandait l’étude, pour une cinquième année consécutive. Le Québec se retrouve dans les statistiques pour la première fois depuis le début de ce processus, et il appert que la province se situe dans la moyenne.

Le Québec obtient même de meilleurs résultats que plusieurs autres provinces, malgré quelques hôpitaux qui font augmenter la moyenne.

Le ministre de la Santé Réjean Hébert se dit satisfait de ces chiffres.

L’étude fonctionne avec un système de ratio, sur une échelle de 100. Lorsqu’un hôpital se retrouve avec un ratio supérieur à 100, il est de mise de se poser des questions, affirme l’Institut.

Les deux meilleurs hôpitaux, en terme de taux de mortalité, sont le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (74) et l’Hôtel-Dieu de Lévis (77).

On rappelle qu’il s’agit d’une moyenne, et que certains facteurs pourraient faire varier certains résultats.

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Plus de chance de survivre à un arrêt cardiaque à l’hôpital maintenant qu’avant

Les patients qui subissent un arrêt cardiaque et qui sont déjà dans un centre hospitalier ont beaucoup plus de chances de survivre à l’incident qu’avant, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est ce que révèle une nouvelle étude sur le sujet, qui analyse les données recueillies en centre hospitalier depuis le tournant des années 2000.

Les chercheurs constatent une forte amélioration du taux de survie suivant un arrêt cardiaque, la courbe entre 2000 et 2009 affichant une progression constante (pour le mieux). On parle maintenant de 22 % de chances de survie après un arrêt cardiaque, contre 14 % seulement il y a dix ans.

Également, encore au chapitre des bonnes nouvelles, il semble que les séquelles et conséquences après un arrêt cardiaque à l’hôpital soient aussi moins fréquentes que jadis.

Dr Saket Girotra, de la division des maladies cardiovasculaires de l’University of Iowa Hospitals and Clinics, explique : « Nous observons que les chances de survie dans de tels cas se sont améliorées, et ce, pour deux raisons. D’abord, les praticiens font un meilleur travail en réanimation, et ils deviennent aussi meilleurs quand vient le temps de prodiguer les soins urgents à la suite d’une réanimation ».

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Des bactéries naturelles pour contrer le C. difficile

Le C. difficile est une bactérie puissante qui fait rage un peu partout dans le monde, surtout dans les hôpitaux. De fait, elle est responsable de 70 % des infections rapportées dans les centres hospitaliers, selon santelog.com.

Le Québec n’y échappe pas, bien au contraire. Les cas de C. difficile sont nombreux dans la Belle Province, et des chercheurs de partout tentent de l’enrayer.

La solution pourrait provenir d’autres bactéries, selon ce que proposent des chercheurs du Welcome Trust. Leur travail auprès des bactéries pourrait bien porter des fruits et permettre de contrer efficacement le fléau C. difficile.

Il faut d’abord comprendre que des bactéries naturelles de l’intestin sont en mesure de lutter naturellement contre la bactérie C. difficile, en éliminant ses formes latentes. Le problème, c’est que certains traitements d’antibiotiques peuvent affaiblir ou éliminer cette protection, laissant toute la place à l’infection et la prolifération de la bactérie.

Les chercheurs ont donc étudié le phénomène intestinal et réussi à recréer un véritable cocktail composé de six bactéries qui serait en mesure d’enrayer définitivement le problème, même dans ses formes les plus graves et agressives.

Une excellente nouvelle pour les patients et autres employés des centres hospitaliers partout dans le monde.

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Un hôpital psychiatrique devenu hôtel en Australie

En cette Halloween, plusieurs lieux macabres ou insolites ont été sous les projecteurs depuis quelques semaines. Voilà qu’un homme d’affaires australien pourrait bien remporter la palme du lugubre avec son projet, rapporte 20minutes.fr.

C’est que Hadyn Pearce, l’instigateur du projet, veut transformer la morgue d’un hôpital psychiatrique (comme si l’hôpital n’était pas assez sombre comme idée) en hôtel!

Le promoteur tient mordicus à ce que les gens puissent passer la nuit dans les lieux réels, donc pas de grande transformation en vue pour améliorer le confort. En fait, Pearce souhaite que les gens puissent dormir dans un réfrigérateur de stockage ou sur une table d’autopsie. Qui n’en a jamais rêvé…

« Nous voulons conserver une ambiance aussi proche possible que celle d’une morgue des années 1950 », a affirmé Hadyn Pearce à ABC News, estimant qu’il s’agirait de la première morgue-hôtel du monde.

« Évidemment, cette idée est un peu originale, mais cela ne signifie pas que cela ne peut pas marcher. »

S’il semble avoir bon espoir d’obtenir du succès avec son hôtel, il est difficile de prévoir quel genre de clientèle viendra visiter les lieux et y passer la nuit, ou si l’endroit pourra connaître du succès en un autre temps qu’à l’Halloween.

L’Australie demeure tout de même l’un des plus beaux endroits à visiter dans le monde.

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Les pédiatres souhaitent en arriver à des traitements d’urgence sans douleur et sans anxiété

L’American Academy of Pediatrics a publié un nouveau rapport illustrant de meilleures pratiques et visant à guider les médecins qui doivent traiter des enfants en urgence.

Le premier principe de base est l’évaluation de la douleur chez le patient, ce qui peut être fait de différentes manières selon l’âge de celui-ci. Les médecins devraient ensuite administrer des médicaments antidouleur selon un protocole établi, ainsi qu’un analgésique cutané avant une procédure douloureuse, par exemple des points de suture ou l’installation d’un soluté.

L’environnement devrait aussi être pris en compte pour rassurer l’enfant, par exemple en lui permettant d’avoir des membres de sa famille auprès de lui et en offrant des salles de traitement agréables, avec des jouets et des distractions.

Des recommandations par rapport à la sédation sont également présentées. Les médecins utilisent souvent l’agent anesthésiant de courte durée propofol, qui permet de diminuer la douleur et assure que les enfants demeurent immobiles durant les procédures.

Une attention particulière devrait également être apportée afin que des enfants qui ont reçu un sédatif ne soient pas renvoyés à la maison au moment où des effets secondaires pourraient survenir, et des instructions écrites devraient toujours être fournies aux parents, selon MedPageToday.

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Les unités d’observation des hôpitaux pourraient épargner des milliards

Selon une étude récente, rapportée par nlm.nih.gov, les centres d’observation des hôpitaux pourraient faire épargner des milliards de dollars au système de santé.

Une unité d’observation est un lieu situé tout près des urgences, où l’on surveille les gens qui ne sont pas officiellement admis comme patients ou ceux qui sont sur le point de sortir, pour une période de 24 heures. On réduit ainsi les risques de complications ou de mauvaises surprises.

On rapporte que seulement le tiers des hôpitaux aux États-Unis possèdent ce genre de centre, et qu’il serait grandement bénéfique pour les autres de se doter d’un tel système.

Les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston analysent les données et publient les résultats sous forme de coûts moyens épargnés par les hôpitaux qui utilisent une unité d’observation.

Ainsi, ils concluent qu’en moyenne, 1572 $ par patient (par visite) seraient épargnés lorsqu’on place celui-ci en observation. Un hôpital réduirait donc ses coûts de 4,6 millions par année, et le système de santé gagnerait 3,1 milliards par an.

Il s’agit de chiffres astronomiques, mais réalistes quand on considère les hôpitaux qui reçoivent 50 000 visites et plus par année dans leurs urgences.

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Attention à la tétine, au verre à bec et au biberon!

C’est ce que révèle une étude américaine du Nationwide Children’s Hospital dans l’Ohio, qui mentionne dans la revue Pediatrics que 86 % des blessures associées aux objets mentionnés précédemment surviennent lors de chutes.

En effet, lors de leur première année d’existence, les enfants qui tentent d’apprendre à marcher tombent davantage et se blessent à la bouche, à la tête, au visage et au cou.

Dans 66 % des cas de blessures à ces parties du corps, le biberon serait en cause, alors que les suces représentent 20 % des cas, et les verres à becs 14 %.

Selon des données nationales, 45 398 nourrissons américains blessés par ces objets de puériculture ont été admis aux urgences entre 1991 et 2010.

Ces chiffres ne représentent pas tout à fait la réalité, car plusieurs petits ont certainement bénéficié de soins à la maison ou d’un médecin en clinique sans se rendre à l’hôpital, évalue la Dre Sarah Keim, coauteure de l’étude.

La spécialiste rappelle que pour réduire ou éviter les risques de blessures, il est recommandé d’asseoir les bambins lorsqu’ils boivent notamment.

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Les enfants et les piles ne font pas bon ménage

Entre 1990 et 2009, 65 788 jeunes de moins de 18 ans ont été admis à l’hôpital pour avoir avalé une pile (7,5 %) ou l’avoir incrustée dans leur nez (10,2 %) ou leur oreille (5,7 %).

Parmi ces derniers, les enfants de moins de cinq ans (80 %) étaient le plus à risques de commettre un incident de la sorte.

L’étude, qui est parue en ligne sur le site de Pediatrics, mentionne que c’est en moyenne 3289 visites infantiles par an qui sont liées à des manipulations non sécuritaires de piles.

« Cette étude a démontré une augmentation significative de la fréquence et du taux de visites à l’urgence en raison d’ingestion de piles chez les enfants », écrivent les chercheurs de l’Institut de recherche de l’Hôpital pour enfants de Nationwide à Columbus, dans l’Ohio.

« La plupart des piles passeront à travers le tractus gastro-intestinal spontanément, sans conséquences néfastes. Cependant, des dommages aux tissus ou encore la mort peuvent se produire si la pile demeure logée et bloquée trop longtemps dans l’œsophage », avertissent-ils.

Les auteurs de l’étude appellent à beaucoup plus de prudence de la part des adultes entourant les enfants et à plus d’efforts de prévention des médecins et des fabricants de piles.

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L’accouchement à domicile devrait-il être encouragé?

« Le choix devrait revenir aux mères », révèle une étude britannique, parue le 19 avril dans le British Medical Journal, qui appuie les conclusions d’une méta-analyse de la Cochrane Review.

Au Royaume-Uni, l’accouchement à domicile en compagnie d’une sage-femme est davantage monnaie courante qu’en France ou au Québec. Bien que le tout soit légal chez les Français, il manque de professionnelles de la naissance à domicile, et peu de femmes semblent vouloir adopter la méthode.

Les données de plus de 65 000 femmes anglaises ont été analysées par l’étude, qui tentait de faire un rapport entre les coûts, la sécurité, les risques (mortalité périnatale, complications chez la mère), les méthodes d’accouchement (sage-femme ou obstétricien) et les lieux (maison, hôpital, maison de naissance).

Il s’est avéré que l’accouchement à domicile (1300 € en moyenne) était environ 6000 € moins cher qu’à l’hôpital (1988 €) et environ 4000 € moins dispendieux que dans une maison de naissance avec une sage-femme (1767 €).

En examinant une foule d’éléments et de relations de cause à effet, les chercheurs ont conclu que pour les femmes qui sont enceintes de leur premier enfant, l’accouchement à la maison demeure l’option la moins coûteuse, mais le risque de complications est plus élevé.

Pour celles qui accouchent de leur deuxième enfant et au-delà et qui ont une grossesse sans complication, l’accouchement à la maison est un excellent choix sur les points de la rentabilité et de la sécurité.