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Des milliers d’enfants maltraités enregistrés dans les hôpitaux

Près de 4600 enfants ont été admis dans un hôpital aux États-Unis en 2006 à la suite de mauvais traitements physiques, et 300 sont morts pour cause de sévices, selon les chiffres de chercheurs de l’Université Yale à New Haven, au Connecticut.

Les spécialistes ont remarqué que les enfants de moins d’un an étaient beaucoup plus nombreux à subir un mauvais sort. Étrangement, les enfants dont les parents avaient une assurance avec une compagnie en particulier, soit Medicaid, étaient davantage admis dans les hôpitaux.

Selon le rapport publié dans Pediatrics, à l’échelle nationale, le coût de la violence physique au cours de l’année a été estimé à 73,8 millions de dollars. Les coûts à long terme d’une année incluant toutes les formes de violence physique envers les enfants — sévices sexuels et psychologiques ainsi que négligence – sont évalués à environ 124 milliards de dollars.

Dans l’ensemble, on a constaté que 4569 enfants ont été admis à l’hôpital pour des blessures abusives, comparativement à 189 414 pour des cas de blessures non violentes et 2,29 millions pour d’autres raisons.

En moyenne, les chercheurs ont constaté que les enfants maltraités séjournent plus de temps à l’hôpital, soit 7,4 jours, que le coût au système de santé pour des traumatismes violents est significativement plus élevé et que le risque de mourir est également plus élevé chez les enfants maltraités.

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De moins en moins d’accouchements prématurés

Selon Leapfrog Group, une coalition d’acheteurs publics et privés de prestations d’assurance santé, le taux d’accouchements prématurés spontanés a baissé en 2011, mais plus de travail doit toutefois être réalisé pour faire chuter le nombre d’accouchements qui surviennent trop tôt, tout en ayant été prévus par des médecins.

En 2011, 39 % des hôpitaux ont gardé le taux de ces accouchements prématurés à 5 % ou moins, comparativement à 30 % des hôpitaux en 2010.

Ce 5 % avait été fixé par le groupe comme étant l’objectif à atteindre pour chaque hôpital. Il se désole toutefois de constater que certains établissements affichent encore un taux de 40 % d’accouchements prématurés, ceux-ci survenant bien souvent au bout de 37 à 38 semaines.

Sauf lors de conditions telles que la pression artérielle maternelle élevée ou la rupture des membranes avant que le travail se produise, les spécialistes se disent contre les accouchements prématurés.

Selon eux, les bébés ont besoin de ces dernières semaines pour que le cerveau et les poumons se développent pleinement.

Accoucher d’un bébé avant la 39e semaine peut causer de la détresse respiratoire, une instabilité de la température, une infection et un taux de mortalité plus élevé chez les nouveau-nés.

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De plus en plus de troubles neurologiques chez l’enfant

Selon une étude de la Harvard Medical School à Boston, entre 1997 et 2006, les enfants atteints de troubles neurologiques ont pris d’assaut les hôpitaux pédiatriques américains et coûté cher au système de santé.

En 2006, ces enfants représentaient 5,3 % de toutes les hospitalisations et le tiers (29 % — 12 milliards de dollars) des frais d’hospitalisation dans les hôpitaux pour enfants.

Durant cette période, le pourcentage d’hospitalisations pour des troubles neurologiques dans les hôpitaux pour adultes a diminué, passant de 3 % en 1997 à 2,5 % en 2006, tandis que la proportion des petits patients, elle, a augmenté de 11,7 % en 1997 à 13,5 % en 2006.

Selon les chercheurs, cette augmentation infantile pourrait s’expliquer par un meilleur taux de survie des enfants atteints de troubles neurologiques.

En examinant les données médicales de 25 millions d’enfants enregistrés aux États-Unis, les chercheurs ont noté que l’épilepsie (52,2 %) était le diagnostic le plus répandu en déficience neurologique, suivie de la paralysie cérébrale (15,9 %). Quant aux nourrissons ayant des troubles neurologiques, ceux-ci ont augmenté de 5 %

Afin de répondre aux besoins de cette population de patients en pleine expansion, les chercheurs croient que les hôpitaux devraient trouver des solutions efficaces pour faire face à cette réalité, qui ne devrait pas être perçue comme un problème.

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Tony Bennett chante pour les enfants malades

En janvier prochain, le chanteur Tony Bennett fera une prestation pour cet événement bénéfice afin d’aider le St. Jude Children’s Research Hospital, rapporte le site FemaleFirst.

Jason Bateman, Hilary Duff et Cindy Crawford ont également promis de soutenir la collecte de fonds.

« Je suis ravi de faire partie du 50e anniversaire pour célébrer cette merveilleuse organisation et honorer Danny », a mentionné Bennett en parlant de Danny Thomas, le fondateur de l’hôpital.

Le gala aura lieu le 7 janvier prochain à l’Hôtel Beverly Hilton de Los Angeles.

Rappelons que le chanteur de charme a récemment offert à ses fansun duo avec Lady Gaga, avec qui il interprète The Lady is a Tramp.

Son dernier opus, Duets II, lui a d’ailleurs permis d’enregistrer son tout premier numéro 1 en carrière, lui qui est âgé de 85 ans.

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Certaines méthodes peuvent réduire la peur de l’hôpital chez les enfants

Des recherches à l’Académie Sahlgrenska de l’Université de Göteborg, en Suède, ont en effet démontré que le dialogue et des dessins pouvaient aider les enfants à surmonter cette expérience pénible.

Pendant l’étude, le modèle appelé « le dialogue périopératoire » (PD) a été testé avec succès auprès des petits.

« La recherche a montré que les enfants qui avaient reçu des soins selon le modèle PD avaient de faibles niveaux de stress après la chirurgie, comparativement à ceux qui avaient eu des soins traditionnels », a notamment affirmé l’un des chercheurs.

Ce modèle comprend, entre autres, des visites préventives à la clinique afin que l’enfant puisse rencontrer un visage familier avant la procédure.

Les dessins peuvent être utilisés pour faciliter le dialogue avec les enfants qui doivent subir une chirurgie. Il s’agit d’un bon moyen pour eux de se faire comprendre. Par exemple, une mauvaise utilisation de l’espace sur une page peut être synonyme d’une augmentation de l’anxiété chez eux.

Afin d’éviter la peur et l’anxiété, il est important de mener un dialogue continu avec les enfants, et il est primordial d’utiliser leur langage. Les sédatifs ne doivent pas être donnés systématiquement.

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Tout pour encourager l’allaitement

Si l’on apprend que l’allaitement exclusif n’est pas aussi répandu que l’on croit, tous les moyens semblent bons pour encourager les mères à choisir cette forme d’alimentation pour leur bébé.

Ainsi, on lit dans l’Huffingtonpost qu’aux États-Unis, par exemple, le lait maternisé a été interdit au sein de sept hôpitaux du Rhode Island.

Mentionnons tout de même qu’il est toléré si la nouvelle maman connaît des difficultés dans son allaitement ou si elle manque de lait.

Cette mesure peut sembler draconienne, mais elle aurait certains effets. On apprend donc que dans le Rhode Island, 38 % des mamans continue d’allaiter leur bébé six mois après sa naissance, en comparaison à 44 % des femmes dans la même situation, à l’échelle nationale.

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Asthme : le rôle des parents

Il semble que la cellule familiale ait une influence sur la gravité de l’asthme d’un enfant. On lit sur ACAII que les enfants issus d’une famille monoparentale sont admis à l’hôpital dans une plus forte proportion que ceux dont les deux parents vivent ensemble.

Précisément, on explique que certaines conditions de vie (difficultés financières, par exemple) pouvaient contribuer à la réadmission à l’hôpital de ces enfants. Ils seraient 50 % plus enclins à y retourner au cours des 12 mois suivant une première visite, en ce qui concerne l’asthme et la respiration sifflante.

Les spécialistes soulignent que la maîtrise de l’asthme requiert du temps, de l’énergie et des ressources pour suivre le traitement. Les parents jouent donc un rôle crucial, et ceux d’une famille monoparentale seraient défavorisés.

On souligne donc l’importance d’offrir plus de soutien à ces parents, et surtout de mieux comprendre les contraintes auxquelles ils font face quant à la gestion des symptômes de l’asthme chez leur enfant.

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Doit-on fournir du lait maternisé après l’accouchement?

Selon une récente étude publiée dans le Journal of Lactation, fournir du lait maternisé aux nouvelles mamans qui viennent d’accoucher pourrait les dissuader d’essayer l’allaitement.

On soutient même que les hôpitaux pourraient devenir un relais marketing pour les entreprises de lait maternisé, car on y offre des échantillons gratuits.

Les mères, en recevant ces échantillons, seraient poussées à croire qu’il s’agit là de la meilleure alimentation à offrir à leur bébé, car c’est l’hôpital qui leur offre.

On affirme par ailleurs que l’on continue à mener des efforts pour que l’on offre de moins en moins de lait maternisé dans les pouponnières.

Selon les chercheurs américains qui ont mené la présente étude, l’hôpital devrait suggérer uniquement l’allaitement, car il constituerait la meilleure forme d’alimentation possible pour le bébé.

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La circoncision est moins usuelle qu’avant

Selon des données des U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la circoncision serait une pratique de moins en moins habituelle en milieu hospitalier. On a d’ailleurs remarqué une baisse marquée de cette pratique au cours de la dernière décennie.

En regard à trois sondages nationaux, les CDC ont pu relever la fréquence de cette intervention consistant à retirer la peau superflue du pénis des bébés garçons au sein d’hôpitaux américains.

Ainsi, selon un premier sondage, le taux de circoncision à l’hôpital était de 62,9 % en 1999, puis est passé à 56,9 % en 2008. Les résultats d’un deuxième sondage donnent 58,4 % en 2001 contre 54,7 % en 2010. Finalement, le troisième sondage a récolté des taux de 63,5 % en 1999 et 56,3 % en 2008.

Toutefois, cela ne veut pas nécessairement dire que le taux général de circoncision chez les garçons a baissé. La raison en est que l’on ne tient pas compte ici des pratiques respectées au sein de différentes religions, notamment chez les juifs et les musulmans.

Rappelons que la pratique de la circoncision a fait l’objet de nombreux débats, malgré ses possibles avantages sur la santé. À cet effet, il semble que de récentes études auraient démontré que cette intervention pourrait diminuer la transmission du VIH, de l’herpès et du virus du papillome humain, entre autres.

Crédit : Sura Nualpradid / FreeDigitalPhotos.net

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Un enfant malade doit être renseigné sur son état

Les médecins et les parents devraient prendre le temps de discuter avec l’enfant qui se retrouve à l’hôpital. Sinon, ce dernier vivrait des moments stressants qui pourraient lui nuire.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs après avoir rencontré 55 enfants au sein de 3 hôpitaux. Les discussions se sont faites individuellement ou en groupe. Il semble que ces enfants auraient tout à gagner en participant activement aux discussions portant sur leur santé.

De plus, les adultes autour d’eux, tels leurs parents et les médecins, devraient prendre le temps d’écouter leur avis et leurs questionnements lorsqu’il s’agit des soins médicaux qu’ils doivent recevoir.

En regard aux commentaires des enfants, on a en effet remarqué que les enfants vivent de grandes insatisfactions lorsque les adultes leur prodiguent des soins sans leur expliquer en quoi ils consistent.

Les résultats de cette étude ainsi que des extraits de discussions tenues lors des rencontres avec les chercheurs sont parus dans le Journal of Clinical Nursing.