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De thé vert matcha gratuit pour les travailleurs de la santé

Teangle, une entreprise québécoise spécialisée dans le thé matcha, lançait cette semaine « Teangle donne au suivant », une campagne visant à honorer et remercier les travailleurs de la santé et leur dévouement exceptionnel en ces temps de pandémie.

Ainsi, tous les travailleurs du domaine de la santé pourront s’inscrire dès maintenant afin de recevoir leur thé matcha gratuit, dans le cadre de cette toute nouvelle initiative.

Une plateforme en ligne a d’ailleurs été mise sur pieds à cet effet, et sera active jusqu’au 2 novembre 2020.

Chaque professionnel pourra recevoir son ensemble complet de thé matcha Teangle — comprenant un sachet de matcha gingembre et citronnelle, un sachet de matcha chai, une bouteille ainsi qu’une cuillère — suite à leur inscription virtuelle, à condition qu’il soit enregistré et actif au Québec, et qu’il possède une carte d’identité professionnelle valide.

Toutefois, si plus de 1 145 personnes confirment leur intérêt, un tirage au hasard permettra de sélectionner ceux qui recevront leur ensemble de thé matcha, après avoir été contactés par courriel par la compagnie entre le 3 et 6 novembre 2020.

Si vous ne connaissiez pas les bienfaits du matcha, sachez qu’il s’agit d’un produit qui favorise l’énergie, la concentration, qui possède des vertus qui diminuent le stress et l’anxiété et qui, pour couronner le tout, est un antioxydant.

« Pour l’entreprise familiale Teangle, qui a pour mission de répandre des ondes positives une tasse de matcha à la fois, cette campagne exceptionnelle s’avère une façon d’envoyer à distance son amour et son support à plus d’un millier de héros de la santé qui travaillent en première ligne à combattre la COVID-19 » explique la compagnie dans un communiqué.

Fondée en 2016 par Philippe-Olivier Trottier, Teangle est « une entreprise et un mouvement dans lequel on favorise l’épanouissement personnel et la prise d’action pour y arriver ».

Située à Saint-Augustin-de-Desmaures, Teangle s’approvisionne en produits de première qualité grâce à une étroite collaboration entre la compagnie et une ferme familiale japonaise. Les produits frais, purs et composés d’ingrédients naturels en résultant sont vendus partout au pays, totalisant plus de 40 000 clients.

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Les infections nosocomiales peuvent être réduites de 50 % avec le lavage des mains

En 2004, la campagne Clean Your Hands était lancée dans tous les hôpitaux britanniques. Huit ans plus tard, on note que ce type de campagne est très efficace, car les infections nosocomiales, comme le staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM) et le C. difficile, ont été réduites de 50 %.
 
Selon le British Medical Journal, cela prouve que simplement en se lavant les mains régulièrement avec du savon ou des lotions à base d’alcool, plusieurs problèmes peuvent être évités.
 
Les cas de SARM sont passés de 1,88 cas par 10 000 journées d’hospitalisation à 0,91 cas. Les infections au C. difficile sont passées de 16,75 cas à 9,49 cas par 10 000 journées d’hospitalisation.
 
Les achats de savons et lotions à base d’alcool pour les mains ont grimpé dans les hôpitaux britanniques également.
 
Cette mesure d’hygiène simple a donc un impact important sur la santé des gens.
 
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Des infirmières qui font du bien aux bébés prématurés

Décernée par l’American Nurses Credentialing Center aux États-Unis, cette reconnaissance d’excellence est très difficile à obtenir.

Seulement 7 % des hôpitaux américains peuvent se vanter d’en détenir une. Pour y arriver, ils se sont démarqués dans cinq domaines distincts qui concernent la pratique exemplaire et le leadership.

Un rapport publié dans le journal de l’American Medical Association révèle que les poupons pesant moins de 3,3 livres à la naissance qui séjournent dans ce type d’établissements s’en sortent mieux que les petits nés dans des hôpitaux sans la reconnaissance.

En effet, une analyse auprès de 72 000 bébés prématurés a permis de constater que ceux ayant séjourné dans un hôpital accrédité par l’Association avaient des taux beaucoup plus faibles d’infection hospitalière (16,7 % contre 18,3 %), moins de chances de souffrir d’une hémorragie (7,2 % contre 7,8 %) et un taux de mortalité plus faible après sept jours de vie (7 % contre 7,4 %), en comparaison avec ceux nés dans les autres centres.

Toutefois, 28 jours plus tard, aucune différence n’était remarquée en ce qui a trait au taux de mortalité. Les enfants de chaque type d’hôpitaux ne semblaient pas mieux survivre ou mourir davantage.

Selon les spécialistes, de meilleurs résultats chez les bébés nés dans les hôpitaux détenant une reconnaissance peuvent être dus à une meilleure qualité dans l’unité de soins intensifs néonatals et les soins obstétriques de ces endroits.

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Les hôpitaux pourraient favoriser le déclin cognitif des personnes âgées

En plus de la maladie qui les amène à être hospitalisées, cette situation fragilise les personnes âgées.
 
L’étude parue dans Neurology a suivi 1870 personnes de plus de 65 ans entre 1993 et 2007. Tous les trois ans, elles devaient subir un test cognitif. Durant l’étude, 1335 d’entre elles ont été hospitalisées au moins une fois.
 
Après avoir tenu compte de l’âge, du sexe, de l’ethnie et de l’éducation, on constate que les performances cognitives déclinent lentement avant une première hospitalisation, et plus rapidement ensuite après chacune des entrées à l’hôpital, surtout si les séjours sont prolongés et si la maladie est grave.
 
Toutefois, il faut être prudent avec ces résultats. « Attribuer à l’hospitalisation le déclin cognitif, c’est aller un peu vite. Il y a quelques années, nous avions constaté que les personnes âgées étaient désorientées après une anesthésie. En fait, l’anesthésie agissait comme révélateur chez des malades déjà en déclin ­cognitif », explique le professeur Claude Jeandel.
 
Lorsque cela est possible, il est tout de même préférable d’apporter des soins à domicile. C’est l’idéal pour les personnes âgées, qui ont besoin de repères connus et d’un cadre familier.
 
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Les hôpitaux ne donnent pas l’exemple en matière d’alimentation

On pourrait croire que comme établissements de santé, les hôpitaux offrent des aliments sains, mais une étude américaine révèle que seulement 7 % des aliments proposés sont considérés comme des choix santé, indique l’Academic Pediatrics.
 
Les chercheurs ont visité 12 hôpitaux pour enfants en Californie et ont constaté que la nourriture était même parfois pire que celle offerte dans certaines chaînes de restauration rapide.
 
Sur une échelle de 0 à 37 (0 étant le moins bon, et 37 le plus santé), les établissements se situent en moyenne à 19,1. Il y a donc encore beaucoup de place à l’amélioration.
 
81 % des articles offerts près des caisses des cafétérias contenaient beaucoup de calories, par exemple des biscuits ou des crèmes glacées, et seulement 25 % des endroits proposaient du pain de blé entier.
 
On incite les administrateurs d’hôpitaux à revoir leurs offres et à donner l’exemple. Depuis le début de l’étude en 2010, certains ont changé des éléments, allant jusqu’à réduire les prix des salades, augmenter celui des boissons sucrées et couper les aliments frits.
 
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Pénurie de médicaments à venir?

Plusieurs pays dans le monde manquent de médicaments. Cette situation guette également le Canada.
 
Selon les experts, la décision de Santé Canada de bannir les médicaments fabriqués par l’entreprise américaine Ben Venue Laboratories est déjà un signe de problèmes en approvisionnement et en sécurité.
 
Ben Venue Laboratories ne respectait pas les normes de l’industrie. Le Canada continuera donc d’importer uniquement les médicaments qui sont nécessaires ou qui peuvent traiter les maladies graves et pour lesquels il n’existe encore aucun substitut.
 
Les normes plus rigoureuses et les besoins grandissants de la population mondiale en médicaments expliquent en partie les raisons pour lesquelles certains commencent à manquer.
 
Pour l’instant, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, mais la situation est surveillée de très près.
 
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L’attente toujours aussi longue dans les urgences

Selon ce que rapporte La Presse, les personnes qui se rendent dans les urgences des hôpitaux du Québec devront s’armer de patience.

Des données, fournies par le Comité de coordination national des urgences (CCNU), démontrent que le temps d’attente aux urgences et les séjours sur civière se sont allongés ou ont stagné au cours des six derniers mois dans la majorité des centres hospitaliers.

Ainsi, la moyenne du temps d’attente et de séjour dans les urgences est de 16,6 heures et le gouvernement Charest s’est fixé comme objectif de la réduire à 12 heures pour 2010.

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, a expliqué le pourquoi de cette situation : « Nous avons des tableaux qui montrent que, cette année, la fréquentation des gens de 75 ans et plus dans les urgences augmente encore. On sait que ces patients sont bien plus lourds à traiter. Dans ces conditions, si les hôpitaux ont réussi à maintenir leur performance, c’est presque une amélioration. »

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Des rideaux remplis de germes

Selon des chercheurs de Cleveland, en Ohio, plusieurs bactéries, comme le Clostridium difficile, le staphylocoque doré résistant à la méthycilline (SDRM) et l’entérocoque résistant à la vancomycine (ERV), foisonnent dans les rideaux de cloisonnement des centres hospitaliers.

Ces bactéries sont reconnues pour résister aux médicaments et se propager facilement entre les mains des personnes qui manipulent les rideaux.

Le journal scientifique Infection Control and Hospital Epidemiology publie tous les résultats de cette étude.

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Des mesures contre la pénurie d’infirmières

Le ministre de la Santé et des Services sociaux a donné suite aux recommandations proposées par la Table nationale de concertation sur la main-d’oeuvre en soins infirmiers en annonçant une série de mesures visant à pallier la pénurie d’infirmières, ce qui totalise un investissement de 80 millions.

Parmi les mesures adoptées par le Ministère, se trouvent :
 
  • la réorganisation du travail;
  • la mise en place d’un programme de mentorat;
  • l’amélioration des équipements pour les soins à domicile et en établissements.
« Nous devons tout mettre en oeuvre pour garder dans notre réseau public les infirmières et infirmiers auxiliaires qui font le choix de cette profession. Les recrues comptant moins de trois années d’expérience et oeuvrant sur les quarts de soir et de nuit pourront ainsi bénéficier du soutien de collègues expérimentées. Cette mesure aura des impacts positifs, tant pour les nouvelles venues que pour les infirmières chevronnées, qui y verront une opportunité de prolongation de carrière», a mentionné M. Couillard.
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Inquiétude chez l’OIIQ

Un récent sondage CROP réalisé auprès de 500 infirmières qui travaillent en agences révèle que celles-ci choisissent cette option pour la flexibilité et un horaire de travail plus souple que celui du réseau public de santé.

« Ce qui se dégage de ce sondage est l’appréciation de la flexibilité que procure le fait de travailler pour une agence, notamment à l’égard des horaires. Ce recours semble offrir à l’infirmière le choix de ses conditions de travail et, en conséquence, la possibilité de concilier son projet de vie professionnel et son projet de vie personnel », a affirmé la présidente de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ), Gyslaine Desrosiers.

Devant la pénurie de main-d’œuvre, l’OIIQ ne cache pas son inquiétude face à ce phénomène. Mme Desrosiers ajoute : « L’effet pervers de ce phénomène en croissance nous inquiète, puisqu’il se traduit dans le réseau public par une instabilité dans les équipes de soins. »

L’organisme recommande au ministère de la Santé et des Services sociaux d’implanter des mesures afin d’attirer et retenir les infirmières qui oeuvrent dans le secteur public.

« Des mesures devront être prises pour éviter l’exode des infirmières vers les agences et un désengagement de ces dernières à l’endroit du réseau public. Ces mesures pourraient être, par exemple, la mise en place d’un cadre horaire plus flexible, des libérations pour fins d’études et des stratégies favorisant les prises de retraite progressives », a conclu Mme Desrosiers.