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Stimuler l’horloge biologique d’une femme à l’aide d’une horloge réelle

Une recherche inusitée effectuée par un ex-professeur et un étudiant de psychologie a conclu à l’influence directe du bruit d’une horloge sur le souhait de procréer chez une femme.

L’étude de Jon K. Maner et Justin Moss a été menée auprès de jeunes hommes et femmes hétérosexuels de 18 à 22 ans.

En formant 2 groupes, ils s’informaient auprès d’eux du moment où ils voulaient fonder une famille. Par la suite, ils soumettaient ces mêmes sujets à un questionnaire sur le partenaire idéal, afin de mesurer si l’envie d’avoir des enfants plus tôt modifiait les critères de sélection.

Il s’est avéré que chez le groupe soumis aux bruits de l’horloge, les femmes se sentaient plus empressées d’avoir des enfants. Or, les hommes n’étaient nullement affectés par le tic-tac continu.

L’étudiant Justin Moss a par la suite constaté que le bruit de l’horloge modifiait aussi les critères de sélection d’un partenaire pour la femme.

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La lumière bleue donne un coup de pouce à l’horloge biologique

Un manque de lumière naturelle en journée, comme durant l’hiver ou dans un endroit où la luminosité est faible à modérée, peut provoquer un débalancement de l’horloge biologique (rythme circadien) qui sert à équilibrer les fonctions vitales de l’homme sur une période de 24 heures, explique Top Santé.

Si l’horloge biologique ne fonctionne plus bien ou est déréglée, des problèmes de fonctions cognitives, de sommeil, de vigilance, de mémoire et de fonctions cardiovasculaires peuvent survenir.

Pour éviter ces troubles de santé, des chercheurs de l’Institut de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ont mis au point un système de lumière bleue en mesure de fournir suffisamment de lumière et à une bonne force.

L’effet de différentes lumières artificielles dans des conditions réelles, au sein de la station scientifique polaire internationale Concordia, a été analysé par des chercheurs durant neuf semaines lors d’un hiver polaire. Il s’agissait d’une première fois où les bienfaits de la lumière bleue, déjà prouvée pour son efficacité par le passé, se retrouvaient dans une situation réaliste.

Il est ressorti de cette étude que les semaines où les gens qui étaient en contact d’une lumière blanche enrichie en longueurs d’onde bleues, leur temps de sommeil était augmenté, ils avaient une meilleure réactivité et une plus grande motivation.

Un effet sur le système cardiovasculaire n’a toutefois pas été noté par l’Inserm, qui voit en la lumière bleue un excellent moyen de rétablir la bonne synchronisation « dans des situations extrêmes où la lumière solaire n’est pas disponible pendant de longues périodes ».

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Le changement d’heure augmente les statistiques d’AVC

Le changement d’heure estival apprécié de tant de gens pourrait-il avoir des conséquences néfastes sur la santé?

C’est ce qui ressort d’une étude américaine sur le sujet, qui estime que le changement d’heure augmente les statistiques d’accident cardiovasculaire de près de 25 %, rapporte Top Santé.

En fait, malgré ses allures de bénéfice, le passage à l’heure d’été aurait une incidence aussi forte, sinon plus, sur le corps que le décalage horaire. Affectant le rythme circadien de l’organisme, plus de gens seraient victimes de crises cardiaques le lundi suivant le changement d’heure.

C’est la conclusion à laquelle arrive le Dr Amneet Sandhu, de l’Université du Colorado, qui publie l’étude.

Celui-ci suggère notamment d’ajuster la période de coucher et de réveil en conséquence, afin de contrer les impacts du changement d’heure sur notre horloge biologique. Des siestes de dix ou quinze minutes durant la journée seraient également bénéfiques.

Les observations et conclusions de l’étude du Dr Sandhu vont dans le même sens que deux études précédemment proposées par l’INSERM.

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Nouvelle piste de solution pour traiter l’insomnie

Top Santé rapporte une découverte prometteuse de la part de chercheurs en matière de traitement de l’insomnie et des troubles liés au rythme circadien, aussi appelé l’horloge biologique.

C’est justement l’horloge biologique qui serait en cause dans plusieurs cas d’insomnie chronique, et des chercheurs britanniques de l’University College London, en compagnie de collègues de l’Université Queen Mary, semblent avoir déniché une piste de solution qui pourrait contribuer à enrayer le phénomène.

Les spécialistes ont utilisé un principe de traitement par vibrations sur des mouches, afin de manipuler le rythme circadien de ces sujets hors du commun.

« L’horloge biologique est réglée, chez la mouche, non seulement par le cycle quotidien de la lumière et de la température, mais aussi par des stimuli mécaniques qui excitent des récepteurs sensoriels dans le corps », explique d’abord le Dr Joerg Albert, directeur de la recherche et auteur de l’étude.

« Nos expérimentations offrent une nouvelle piste pour régler l’horloge biologique qui peut être utile pour le traitement de certaines pathologies liées à un dérèglement du rythme circadien comme l’insomnie, la dépression ou les troubles bipolaires », résume ensuite le chercheur et collègue du Dr Albert pour cette étude, Ralf Stanewsky.

Publiées dans le magazine Science, les conclusions de l’étude parlent d’un véritable impact sur le rythme circadien de la mouche à la suite d’une stimulation par vibrations de douze heures, ce qui pourrait paver la voie à un traitement expérimental du même genre chez l’homme.

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Les excès de table affecteraient notre horloge alimentaire

(Relaxnews) – Une étude américaine menée en laboratoire montre que des fêtes trop gourmandes et arrosées peuvent avoir le même effet sur le métabolisme qu’un décalage horaire, un excès de sucre et d’aliments très riches pouvant ainsi mettre à mal notre « horloge alimentaire ».

Des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco ont découvert que les excès de fin d’année peuvent avoir des conséquences sur notre métabolisme sur le plan moléculaire, lors d’une étude menée sur des souris de laboratoire qu’ils présentent comme la première du genre.

Une journée d’excès alimentaires et de veille peut mettre à mal l’équilibre de notre « horloge alimentaire », ce que les chercheurs décrivent comme une kyrielle de gènes et de molécules en interaction qui permettent au corps de réguler notre métabolisme.

Les tests réalisés sur des souris ont montré que le fait de perturber les habitudes alimentaires et les cycles de sommeil des rongeurs affectait plus particulièrement les sujets souffrant de carences en protéines PKCγ, ce qui permettrait de mieux comprendre les troubles moléculaires des personnes obèses ou diabétiques. Les souris souffrant d’un manque de PKCγ avaient plus de mal à se remettre sur pied après 24 heures d’excès que leurs congénères.

Les chercheurs ajoutent que leurs résultats permettraient de mieux comprendre pourquoi les couche-tard sont plus susceptibles de souffrir d’obésité que les lève-tôt.

Les résultats de cette étude sont parus dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Une étude révèle un variant génétique qui « prédit » l’heure… de la mort

Une nouvelle saisissante fait le tour des médias et du Web depuis quelques heures, alors que le Beth Israël Deaconess Medical Center publie une étude concernant un variant génétique qui pourrait prédire l’heure de votre mort, ou à tout le moins la période de la journée.

Aussi terrifiante qu’invraisemblable, cette nouvelle est transmise par plusieurs sources, dont Santelog.com. Le site rapporte également que le variant permet de savoir si vous êtes une « personne de nuit », un noctambule ou encore un lève-tôt né.

Si cette dernière information est plus évidente à déduire par nous-mêmes, il en va autrement du moment de notre mort! Or, il semble pourtant logique que la fameuse « horloge biologique » qui régit tant de choses au cours de notre vie puisse aussi déterminer le moment du dernier souffle.

L’horloge circadienne (terme véritable de l’horloge biologique) détermine les moments de la journée où vous vous sentez plus en forme, et ceux où vous êtes plus somnolent.

Le Dr Andrew Lim, auteur principal de l’étude, déclare : « De précédents travaux chez les jumeaux ont suggéré que le retard ou la précocité de l’horloge peut être héréditaire. Des expériences sur l’animal ont également suggéré l’influence de gènes spécifiques ».

En clair, les chercheurs croient qu’une telle découverte pourrait influencer le choix de certains traitements chez des patients en phase terminale, entre autres.

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La crise de la quarantaine démystifiée?

La crise de la quarantaine en est une qui peut s’avérer parfois rigolote, d’autres fois carrément explosive… et mener à des changements de vie radicaux.

Cette crise de milieu de vie (mid-life crisis) n’a pas toujours été reconnue officiellement par les scientifiques, mais on constate que les choses ont bien changé, alors que Santelog.com rapporte une étude qui classe la « crise de la quarantaine » dans la colonne des phénomènes biologiques.

Alors, vouloir changer de carrière (ou de femme) ou avoir le désir subi de voyager autour du monde pourrait bien provenir de votre propre « horloge de bien-être ».

Le bien-être humain oscille selon les périodes de la vie, étant plus élevé et marqué chez les jeunes. Il pourrait bien connaître un fort creux de vague à l’arrivée de la quarantaine, selon l’étude publiée dans Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS), une publication scientifique bien connue.

Pour appuyer cette théorie, on a fait appel aux meilleurs amis de Darwin : les singes. En observant 508 grands singes grâce à des tests adaptés, les chercheurs ont pu démontrer que ces primates ressentaient aussi les effets de la « crise de la quarantaine », à un moment bien précis.

L’évolution et la biologie joueraient donc un rôle important dans ce phénomène plus masculin, disons-le.

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L’horloge biologique aussi présente chez les cellules de graisse

Le phénomène d’horloge biologique serait aussi vérifiable dans les cellules de graisse, adipeuses, ce qui pourrait expliquer et corroborer l’importance des moments où vous prenez vos repas, selon santelog.com.

C’est ce qu’avance une nouvelle étude, qui vient rejoindre plusieurs autres précédentes sur le sujet, alors que des chercheurs ont réussi à enlever le « gène de l’horloge » des cellules adipeuses de souris.

Ce faisant, les messages envoyés par les cellules graisseuses au cerveau par l’entremise de l’hormone leptine pour annoncer les taux d’énergie en surplus ne se rendent plus.

Les souris commencent alors à grossir, voire devenir obèses, sans pour autant absorber plus de calories.

Il s’agit d’une découverte remarquable, qui pourrait prouver l’importance de manger à des heures régulières, ainsi que d’éviter de manger lorsque le corps s’attend à une période de repos. Cette dernière constatation viendrait d’ailleurs contredire certains articles publiés récemment sur le sujet.

On peut donc conclure que certaines personnes pourraient souffrir d’un syndrome que nous pourrions appeler celui de « l’horloge cassée », alors que les renseignements des cellules adipeuses ne se rendent plus, ou mal, au cerveau, et que la connexion avec le système nerveux central est déficiente.

Manger des repas à des heures aléatoires et pendant la nuit deviendrait alors catastrophique.

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Respecter l’horloge corporelle pour tomber enceinte

En fait, les experts ont déterminé que le fait de déranger l’horloge circadienne du corps en changeant le cycle du jour et de la nuit pouvait nuire grandement à la conception.

Les femmes dont l’emploi est divisé par quarts de travail, comme les infirmières, peuvent souffrir du dérèglement de leur cycle menstruel et avoir de la difficulté à tomber enceintes.

« Si vous dérangez vos rythmes internes, il y aura des conséquences négatives, c’est très clair. Nos résultats suggèrent que les gens devraient tenir compte leurs rythmes biologiques pour avoir une santé optimale », explique l’auteur de la recherche, le docteur Keith Summa.

La prochaine étape, selon les chercheurs, est de trouver ce qui, dans le dérèglement des rythmes du corps, affecte la fertilité.

Rappelons que du côté des hommes, ce sont les sportifs qui seraient le plus touchés par des difficultés de procréer. Les hommes qui aiment pratiquer le cyclisme seraient davantage affectés par des débalancements hormonaux qui peuvent conduire à une difficulté de concevoir un enfant.