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Rentrée scolaire : comment revenir à un horaire régulier?

Il faut se préparer à ce retour à la réalité, sinon l’arrivée de septembre et le retour sur les bancs d’école seront douloureux pour toute la famille.

Avant tout, il faut réinitialiser l’horloge biologique. Quelques jours avant que l’école recommence, mettez en pratique les points suivants :

Levez votre enfant plus tôt, mettez à nouveau le cadran et en soirée, mettez votre petit au lit à l’heure que vous aimeriez qu’il le fasse pendant l’année scolaire.

Pour lui et pour vous, rétablissez un horaire de routine incluant la préparation d’un lunch, des vêtements sortis la veille avant d’aller au lit, un sac d’école prêt et complet et une heure fixe de déjeuner.

Si votre enfant fréquente une nouvelle école, faites l’essai du temps nécessaire pour le trajet matinal (en tenant compte des bouchons de circulation) ou encore notez l’heure à laquelle il doit partir pour être à temps à son arrêt d’autobus. Mettez une alarme les premiers temps pour l’aider.

Encouragez votre écolier, quelques jours avant le jour J, à faire un retour dans l’univers scolaire à l’aide de livres et exercices adaptés à l’année en cours. Profitez-en pour discuter avec lui de ce qu’il a le goût de faire comme activités et le plaisir qu’il aura à l’école, s’il s’implique, s’applique et est responsable en classe.

Crédit photo : Monkeybusinessimages/Bigstock.com

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L’horloge biologique a aussi un rôle à jouer en alimentation

Le FASEB Journal rapporte que l’horloge biologique a aussi un rôle à jouer dans notre alimentation.
 
Des tests sur des souris démontrent que le moment où l’on consomme des aliments est très important. En fait, en mangeant trois repas par jour aux mêmes heures, on éduquerait notre métabolisme à mieux travailler et mieux brûler les calories.
 
Pendant 18 semaines, des scientifiques ont nourri des souris avec un régime riche en matières grasses, dont 42 % des graisses étaient accessibles à des moments spécifiques de la journée. Un autre groupe a eu ce même genre d’alimentation, mais avec un accès illimité aux graisses, puis un troisième groupe avait aussi un accès illimité, mais un régime allégé.
 
Les souris avec un accès limité aux graisses avaient pris moins de poids que les autres, et leur niveau de cholestérol était aussi moins important.
 
Voilà une avenue qui sera plus étudiée dans un proche avenir pour confirmer les résultats.
 
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Les tablettes électroniques affectent notre horloge biologique

L’exposition à la lumière bleue des tablettes électroniques affecte notre niveau de mélatonine, soit l’hormone du sommeil, ce qui entraîne des impacts sur notre rythme circadien, ou horloge biologique.
 
Selon les tests effectués et rapportés dans l’Applied Ergonomics, une exposition de deux heures à la lumière bleue des tablettes réduirait de 22 % notre mélatonine.
 
Même une exposition d’une heure peut avoir un impact sur l’hormone du sommeil, surtout chez les adolescents, ce qui finit par perturber leur sommeil.
 
Le type de tâches effectué sur ces appareils influence aussi la quantité de lumière reçue par la cornée.
 
Les experts demandent donc aux fabricants de tenir compte de cet effet et de créer des tablettes qui réduisent les troubles du sommeil, mais aussi de créer des dispositifs « circadian-friendly », qui peuvent augmenter ou réduire la stimulation du rythme circadien selon l’heure du jour et selon nos besoins.
 
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Traiter le diabète grâce à l’horloge biologique

Selon les travaux de l’équipe de l’Université de Californie à San Diego, le composé chimique découvert ne gère pas la production de glucose dans le foie, mais affecte l’activité d’une protéine clé qui régule les mécanismes de notre horloge biologique.
 
Déjà, par le passé, des études avaient suggéré que le diabète et l’obésité pouvaient avoir un lien avec un dérèglement de notre horloge biologique.
 
Maintenant, grâce à une petite molécule facilement transformable en médicament, on pourrait modifier les mécanismes internes et traiter les troubles métaboliques comme le diabète de type 2.
 
Rappelons que le diabète est caractérisé par une augmentation du glucose dans le sang.
 
Cette maladie peut entrainer des troubles cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux, en plus d’être un facteur de risque pour l’insuffisance rénale et la cécité.
 
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Le lien entre l’horloge biologique et la mort subite cardiaque est démontré

Les scientifiques savaient déjà que les morts subites dues aux troubles cardiaques survenaient surtout le matin et en soirée, alors ils ont tenté de trouver une explication en se penchant sur le rythme circadien, qui est notre rythme biologique sur 24 heures lié à l’exposition au soleil.
 
Selon la revue Nature, l’équipe de l’Université Case Western Reserve a trouvé que le niveau d’une protéine qui contrôle les fluctuations du rythme cardiaque variait durant la journée. Ils ont réussi à établir un lien entre les morts subites par arythmie et notre horloge biologique.
 
Les résultats ont été observés sur des souris, et on doit maintenant les confirmer sur les humains.
 
En fait, le facteur FIF15 contrôlerait, via une protéine, le flux de potassium vers les cellules du muscle cardiaque, les myocytes, qui sont impliquées dans la stabilité électrique du cœur. Mais il y aurait des fluctuations différentes selon le moment de la journée.
 
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L’horloge biologique mâle

On entend le plus souvent parler de l’horloge biologique des femmes, mais il semble que les hommes en auraient une bien à eux. Il semble que passé la quarantaine, un homme a de moins en moins de chances de devenir père, comme lu sur Mail Online.

Précisément, fonder une famille après l’âge de 41 ans serait moins facile pour un homme, car sa fertilité entame alors un déclin exponentiel. Et après 45 ans, ce serait encore plus marqué.

Bien sûr, comme on voit beaucoup de pères âgés (comme Rod Stewart, papa pour la 8e fois à 66 ans), on est porté à croire que cette baisse est légère, ou qu’elle ne touche pas tous les hommes.

Toutefois, dans une étude ayant porté sur des patients pour une fécondation in vitro, dans le cas où le sperme d’un homme fertilisait un ovule de donneuse, la baisse de fertilité de 41 à 45 ans était réelle, même que passé cet âge, elle suivait vraiment une courbe exponentielle.

En chiffres, il s’est avéré que les chances de grossesse étaient de 60 % si l’homme avait 41 ans, et de 35 % s’il en avait 45. Les hommes ont donc leur propre horloge biologique, même si elle ne cause pas nécessairement les mêmes effets que chez les femmes.

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L’horloge biologique des femmes est plus rapide

On le soupçonne depuis un moment, mais des chercheurs américains viennent de le prouver : l’horloge biologique des femmes est plus rapidement que celle des hommes.
 
Après voir étudié 52 hommes et 105 femmes pendant deux à six semaines, on constate que les femmes auraient 2,5 fois plus de chances d’avoir un rythme circadien de moins de 24 heures.
 
En effet, chez la femme, ce cycle qui détermine la durée de la journée est plus court de six minutes, donc il se termine avant même que les 24 heures ne soient passées.
 
« Ce résultat pourrait expliquer pourquoi les femmes se réveillent en moyenne plus tôt », explique Claude Gronfier, chercheur à l’Inserm.
 
Selon la revue PNAS, les femmes et les hommes vivent donc en « décalage horaire ».
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La lumière du matin est nécessaire pour les adolescents

À l’adolescence, plusieurs facteurs viennent bouleverser le cycle du sommeil : les changements hormonaux notamment, ainsi qu’une vie sociale plus remplie, l’école et parfois le travail à temps partiel.
 
Or, les chercheurs américains ont découvert qu’une exposition progressive à la lumière naturelle du matin est nécessaire afin de synchroniser l’horloge biologique des jeunes et éventuellement régler leurs troubles du sommeil.
 
Apparemment, trop peu d’adolescents dorment neuf heures par nuit, comme il est fortement recommandé. Ils ont du mal à s’endormir tôt et ensuite à se lever le matin pour aller à l’école.
 
« On observe un changement d’origine biologique sur la phase naturelle d’endormissement et sur celle du réveil. Cette étude montre que l’on peut altérer ce changement en manipulant la lumière. Le principal message à en retirer est de s’exposer à la lumière naturelle tôt le matin », mentionne la Dre Judith Owens de l’Université de Boston.
 
En s’exposant à la lumière naturelle du matin, les jeunes pourraient donc parvenir non seulement à mieux dormir, mais aussi à rétablir leur horloge biologique.
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Des traitements anticancers mieux adaptés

En Europe, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ont découvert qu’il était préférable de traiter le cancer selon le sexe de la personne et son rythme biologique.

Ce genre de méthode mieux adaptée serait beaucoup plus efficace et permettrait de réduire la toxicité des traitements de chimiothérapie.

L’Inserm et huit équipes européennes ont étudié deux types de molécules, l’irinotecan utilisée contre le cancer colorectal et le seliclib, une molécule anticancéreuse encore en développement.

On a fait les tests sur des souris soumises à un rythme de réveil et de sommeil régulier. Les résultats sont plutôt surprenants et varient de simple à triple selon l’heure où les médicaments sont administrés.

Pour l’étude, les patients ont été divisés en trois groupes selon leur sexe et leur rythme biologique. Les effets indésirables des traitements, comme la diarrhée sévère (présente chez 30 %  des patients), la diminution des globules blancs (présente dans 50 % des cas) et la grande fatigue ressentie, semblaient aussi être diminués.

Cette méthode de traitement selon le sexe et le rythme biologique est déjà utilisée dans une quinzaine d’endroits en Europe.

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L’horloge biologique au masculin

Des scientifiques du Centre Eylau en France ont découvert que la gent masculine avait, elle aussi, une horloge biologique qui se met en branle à la mi-trentaine. Ce phénomène a été observé auprès de 12 000 hommes dont le couple a de la difficulté à concevoir un enfant.

Selon les chercheurs, le taux de fertilité des hommes est en déclin vers 35 ans et s’accentue davantage vers 40 ans, alors que le taux de grossesse était de 12,3 % lorsque le père avait moins de 30 ans et chutait à 9,3 % lorsque ce dernier avait atteint 45 ans et plus. Quant au taux de fausses couches, il passait de 13,7 % à 32,4 %.

Stéphanie Belloc, l’auteure principale de la recherche, commente : « Nos travaux montrent pour la première fois un lien étroit entre l’âge du père et le résultat de l’insémination intra-utérine, une information qui devrait être prise en compte dans les programmes de reproduction assistée. »

Selon la Dre Belloc, la dégradation de l’ADN dans le sperme pourrait expliquer cette découverte.