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Certaines pilules contraceptives augmentent le risque de cancer du sein

Selon les nouvelles données du Fred Hutchinson Cancer Research Center à Seattle, publiées dans la revue Cancer Research, les femmes qui prennent des pilules contraceptives contenant une dose élevée d’oestrogène sont deux fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de cancer du sein, comparativement à celles qui utilisent d’autres formes de contraceptifs oraux à faibles niveaux d’œstrogène. 

En examinant l’historique de contraception de 1102 femmes victimes d’un cancer du sein et un groupe de femmes non touchées par la maladie, il s’est avéré que celles qui prenaient une pilule à forte dose d’œstrogène depuis un certain nombre d’années étaient 50 % plus susceptibles de développer un cancer que celles qui n’avaient jamais utilisé ou cessé de prendre la pilule plus d’un an avant l’étude.

Les chercheurs mettent toutefois en garde les femmes en leur mentionnant d’interpréter avec prudence ces données et de ne pas arrêter de prendre la pilule pour autant. Ils conseillent plutôt de se renseigner auprès d’un professionnel de la santé sur les possibilités d’obtenir un contraceptif oral à plus faible dose d’œstrogène, du moins le temps que les études soient davantage approfondies.

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Katy Perry voudrait créer un parfum avec l’hormone du plaisir

L’interprète de Roar, Katy Perry, est en couverture de l’édition de juillet du Cosmopolitan. En entrevue, elle a parlé de sa malchance avec les hommes, notamment son mariage de 14 mois avec Russell Brand et sa rupture avec John Mayer, après des rumeurs de fiançailles.

À la blague, Perry, qui fêtera ses 30 ans en octobre, a déclaré : « Je crois que je suis simplement attirée par les hommes à haute fréquence ».

Pendant combien de temps la chanteuse s’est-elle abstenue de relations sexuelles? « Peut-être six mois ou un an », répond Katy Perry, en affirmant qu’elle ne reste « jamais longtemps célibataire ». Mais les histoires d’un soir, très peu pour elle. « Ça doit connecter. »

C’est la raison pour laquelle la star affirme que si elle en était capable, elle mettrait de l’ocytocine en bouteille. « Si je le pouvais, j’en ferais un nouveau parfum », question d’attirer le sexe opposé.

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Katy Perry voudrait créer un parfum avec l’hormone du plaisir

L’interprète de Roar, Katy Perry, est en couverture de l’édition de juillet du Cosmopolitan. En entrevue, elle a parlé de sa malchance avec les hommes, notamment son mariage de 14 mois avec Russell Brand et sa rupture avec John Mayer, après des rumeurs de fiançailles.

À la blague, Perry, qui fêtera ses 30 ans en octobre, a déclaré : « Je crois que je suis simplement attirée par les hommes à haute fréquence ».

Pendant combien de temps la chanteuse s’est-elle abstenue de relations sexuelles? « Peut-être six mois ou un an », répond Katy Perry, en affirmant qu’elle ne reste « jamais longtemps célibataire ». Mais les histoires d’un soir, très peu pour elle. « Ça doit connecter. »

C’est la raison pour laquelle la star affirme que si elle en était capable, elle mettrait de l’ocytocine en bouteille. « Si je le pouvais, j’en ferais un nouveau parfum », question d’attirer le sexe opposé.

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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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La PAI : un phénomène rare mais sous-estimé

Si vous êtes une jeune femme aux prises avec de sérieux problèmes de maux de ventre ou que vous connaissez une personne dans votre entourage qui éprouve ce genre de problème de santé, et que plusieurs diagnostics et traitements se sont avérés vains, il serait possiblement utile de vous familiariser avec la PAI, ou la porphyrie intermittente aiguë.

Phénomène rare mais sous-estimé, note Top Santé, la PAI s’attaque surtout aux jeunes femmes de 15 à 35 ans, à cause de leurs hormones, et toucherait tout de même une femme sur 75 000 dans le monde, apprend-on.

« Il faut dire que les douleurs abdominales orientent les médecins, le plus souvent et à juste titre, vers des pathologies médicales ou chirurgicales moins rares. Or, si des médicaments inadaptés sont prescrits pour soulager la douleur, le risque de survenue de complications devient plus important », notent certains experts, qui souhaitent voir les patients et médecins se sensibiliser au phénomène.

Détectable par un simple test d’urine, la porphyrie intermittente aiguë demeure traitable, selon les informations proposées, et serait surtout déclenchée par une variation (ou un traitement) au niveau des hormones, du stress ou une alimentation trop riche en calories.

Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des douleurs abdominales ou au ventre et qu’aucune solution n’a porté des fruits, on suggère de s’informer auprès de son médecin concernant la possibilité d’un diagnostic de porphyrie intermittente aiguë.

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L’ocytocine pour aider les enfants autistes

Des études effectuées précédemment ont déjà prouvé que l’ocytocine, libérée lorsqu’on tombe amoureux, agit aussi en tant que neurotransmetteur dans le cerveau pour effectuer tout autre lien affectif. À cet effet, elle pourrait aider à lutter contre diverses maladies.

Plus récemment, une recherche menée par IIanit Gordon au Yale Child Study Center a déterminé les bienfaits immédiats d’un vaporisateur nasal contenant de l’ocytocine. Administrée à des enfants atteints d’autisme, l’ocytocine avait un impact immédiat sur leur interaction sociale.

Afin de valider leur théorie, 17 enfants autistes âgés de 8 à 16 ans étaient sélectionnés de façon aléatoire et recevaient soit une vaporisation d’un placébo, soit celle de l’ocytocine. Ils étaient ensuite évalués pendant différentes interventions sociales.

« Nous avons conclu que la région du cerveau associée avec la récompense et la reconnaissance émotive répondait mieux durant les tâches sociales lorsque l’enfant avait reçu de l’ocytocine plutôt que le placébo », a déclaré Gordon dans un communiqué de presse.

Science World Report informe que les données complètes de l’étude se retrouvent dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Les effets du vaporisateur sont temporaires, et la découverte nécessite d’autres recherches.

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Une hormone ajoutée à l’insu des consommateurs est retrouvée dans le lait

Radio-Canada rapporte des informations concernant le lait et ses produits dérivés qui pourraient inquiéter la population, à la suite du dépôt d’une étude de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA).

Selon l’Agence, on retrouve maintenant de la progestérone dans le lait, le beurre et les autres produits laitiers.

Il s’agit d’une hormone qui permet aux éleveurs de mieux contrôler la reproduction des vaches, en synchronisant le cycle de reproduction de ces bovidés.

En administrant de la progestérone aux bêtes, les agriculteurs peuvent ainsi choisir les moments de procréation, au lieu de laisser le hasard et la nature décider pour eux.

Un comportement qui risque fort d’en inquiéter plusieurs, malgré les conclusions de l’Agence canadienne d’inspection des aliments qui affirment que l’ajout de progestérone n’aura aucune incidence sur la santé des Québécois.

C’est après avoir consulté Santé Canada sur le dossier que les experts de l’ACIA concluent à l’absence de risques pour la population.

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L’attrait de la bière s’expliquerait par les hormones

Top Santé rapporte une étude qui avait pour but de démystifier l’attrait de la bière chez l’homme, un principe qui va beaucoup plus loin que le simple goût.

En fait, ce serait une véritable histoire d’amour hormonale qui se produit entre les gens et le houblon, notamment à cause de l’effet de la bière sur les récepteurs de dopamine.

Pour confirmer cette théorie, les chercheurs de l’Université d’Indiana en tête de l’étude ont regroupé 49 personnes et leur ont demandé de boire trois différentes boissons. D’abord de la bière, puis de l’eau plate et, enfin, une boisson destinée à désaltérer les sportifs, on devine de type Gatorade.

On a ensuite enregistré et analysé les réponses des sujets face à chacune de ces boissons, et on a remarqué immédiatement une vive réponse du cerveau pour la bière, qui libère immédiatement de la dopamine.

« C’est la première fois que les résultats d’une étude montrent que le goût d’une boisson alcoolisée sur l’être humain, sans l’effet de l’alcool sur le corps, peut déclencher la libération de dopamine dans les centres de récompense du cerveau », lance un certain Kareken, professeur et chercheur.

De plus, les scientifiques croient remarquer que certaines personnes produisent plus de dopamine que d’autres face à la bière, ce qui pourrait expliquer les variations de risque d’alcoolisme d’un individu à l’autre. Une percée fort intéressante.

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La thérapie hormonale intermittente peu efficace contre le cancer de la prostate

La thérapie hormonale intermittente s’avèrerait peu efficace chez les patients en stade avancé de cancer de la prostate, rapporte The National Library of Medicine.

Le traitement, qui vise à faire baisser les taux de testostérone et ainsi ralentir la progression des tumeurs, ne semble pas obtenir les résultats escomptés lorsqu’il est administré de façon intermittente, selon une vaste étude.

Pire encore, selon plusieurs chercheurs, dont l’auteure principale de l’étude, Maha Hussain, ce genre de traitement peut même nuire au patient et à ses chances de rémission.

« Les bienfaits de la thérapie hormonale intermittente ne sont pas clairs. En termes de taux de survie, ce n’est pas meilleur », déclare Dre Hussain.

De plus, ce genre de traitement est très difficile à supporter et entraîne de nombreux effets secondaires graves chez les patients.

« Les patients ressentent des symptômes troublants comme des bouffées de chaleur, un gain de poids, une masse musculaire amoindrie et une perte de libido », explique en conclusion Maha Hussain.

Il y a cependant de l’espoir, car d’autres observateurs et chercheurs croient que les spécialistes sont sur le point de rendre le cancer de la prostate aussi traitable que la haute pression ou le diabète.