Catégories
Uncategorized

Comment réduire le stress de notre enfant

Selon une recherche de l’University of Chicago, le stress vécu à l’école, que ce soit lors d’un examen ou pendant une activité sportive, peut entraver la réussite scolaire. On lit dans Emotion qu’un simple changement de perception pourrait toutefois changer la donne.

D’après les résultats des experts, il semble que le cortisol, une hormone du stress, peut à la fois être relié à un faible résultat et constituer un facteur de réussite. Cela ne dépendrait que de l’état d’esprit de l’enfant.
 
C’est la première fois que l’on établit un lien entre la mémoire, l’anxiété (quant à un test de mathématiques) et le cortisol. Soixante-treize élèves ont été évalués lors de cette expérimentation.
 
Afin de maîtriser son stress et ainsi s’en servir pour mieux réussir, notre enfant pourrait donc changer sa perception de la situation selon deux méthodes. Il peut soit écrire sur ses angoisses avant de faire un test, soit se rappeler un moment où il a vécu une réussite.
Catégories
Uncategorized

Effets du stress sur le foetus

On sait déjà que l’hormone du stress durant la grossesse peut programmer des effets néfastes sur la santé de l’enfant, même sur celle de la prochaine génération.

Une étude de l’Université d’Édimbourg, en Écosse, nous apprend maintenant que ces effets dépendent de la façon dont ils sont transmis.
 
Ainsi, comme nous le lisons sur Medical News Today, les chercheurs se sont basés sur des modèles animaliers pour reproduire ces effets de l’hormone du stress.
 
Par exemple, les taux de glucocorticoïdes peuvent augmenter durant la grossesse si une femme vit du stress. La conséquence peut en être, tant chez l’humain que chez les animaux, un plus faible poids de naissance et une plus forte pression sanguine plus tard dans la vie.

Donc, en observant ces effets de génération en génération, les chercheurs ont remarqué une transmission d’une génération à l’autre de ces effets. Il semble aussi que l’effet était plus marqué chez la progéniture des rats mâles qui avaient été exposés à une hausse des glucocorticoïdes.