On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.
D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.
On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!
Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.
Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.
Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.
Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.