Catégories
Uncategorized

Découverte pour préserver le cartilage des os

Le Science Translational Medicine révèle une étude sur une hormone naturelle qui est déjà approuvée par les autorités pour traiter l’ostéoporose. Cette hormone, appelée PTH, serait également très efficace pour reconstruire les cartilages, en plus de diminuer la douleur des articulations.
 
Cette découverte faite par une équipe de l’Université de Rochester offre donc de nouvelles possibilités contre les maladies dégénératives comme l’arthrose, qui amincit le cartilage des articulations, les rendant douloureuses et gonflées.
 
Jusqu’ici, la seule option qui s’offrait aux gens qui ne pouvaient plus supporter la douleur était une chirurgie dans le but de remplacer le cartilage manquant par du métal ou du plastique.
 
Les chercheurs ont voulu savoir si l’hormone PTH sous forme de médicament par injection pouvait être efficace. Après un mois de traitement sur des souris, les cartilages de ces dernières étaient 37 % plus épais et mieux préservés que ceux des souris qui n’avaient pas été traitées.
 
Catégories
Uncategorized

Découverte pour préserver le cartilage des os

Le Science Translational Medicine révèle une étude sur une hormone naturelle qui est déjà approuvée par les autorités pour traiter l’ostéoporose. Cette hormone, appelée PTH, serait également très efficace pour reconstruire les cartilages, en plus de diminuer la douleur des articulations.
 
Cette découverte faite par une équipe de l’Université de Rochester offre donc de nouvelles possibilités contre les maladies dégénératives comme l’arthrose, qui amincit le cartilage des articulations, les rendant douloureuses et gonflées.
 
Jusqu’ici, la seule option qui s’offrait aux gens qui ne pouvaient plus supporter la douleur était une chirurgie dans le but de remplacer le cartilage manquant par du métal ou du plastique.
 
Les chercheurs ont voulu savoir si l’hormone PTH sous forme de médicament par injection pouvait être efficace. Après un mois de traitement sur des souris, les cartilages de ces dernières étaient 37 % plus épais et mieux préservés que ceux des souris qui n’avaient pas été traitées.
 
Catégories
Uncategorized

L’infertilité a une cause cérébrale

On prévoit que l’infertilité touchera un plus en plus grand nombre de personnes dans le monde au cours de la prochaine décennie. Une récente découverte transformera notre approche de ce problème majeur.

Un chercheur de l’Inserm, Vincent Prévot, soutenu par ses collaborateurs, vient de présenter ses résultats dans PNAS quant à une cause cérébrale de l’infertilité.

En résumé, une hormone serait au cœur du problème, la prostaglandine E2. Cette dernière est libérée par les cellules gliales – lesquelles assurent la nutrition et le soutien des neurones – et elle s’avère indispensable au déclenchement des fonctions reproductives. Celles-ci sont déclenchées par une suite d’événements se situant dans le cerveau.

La libération de la prostaglandine E2 est nécessaire à l’activité électrique des neurones à GnRH, lesquelles sont inévitables pour que le processus de puberté et de fertilité soit enclenché.

Une déficience à ce niveau engendrerait un retard pubertaire ou une faible fertilité. On envisage déjà de futurs traitements des problèmes de fertilité d’origine centrale.

Il s’agit d’une découverte majeure, car comme l’explique Vincent Prévot : « L’identification de cette hormone […] ouvre de nouvelles pistes thérapeutiques pour le traitement des troubles de la fertilité. »

Catégories
Uncategorized

La dépression postnatale serait-elle hormonale?

On cherche toujours les vraies raisons de la dépression postnatale, laquelle affecte de nombreuses nouvelles mamans.

Si plusieurs voies ont jusqu’ici été abordées, on se tourne maintenant du côté des hormones. Des chercheurs des universités de Bâle en Suisse et de Trèves en Allemagne ont présenté une étude ayant porté sur 98 femmes enceintes. Ils avancent un possible lien entre la dépression postnatale et l’ocytocine.
 
Rappelons que l’ocytocine est une hormone peptidique qui est notamment libérée pendant l’allaitement. Elle est fortement sollicitée lors de l’accouchement, ce qui empêcherait le bébé de souffrir durant sa naissance, selon une récente recherche.
 
On lui accorde aussi un rôle dans les relations sociales et amoureuses, de même que lors de situations requérant l’altruisme et l’attachement, entre autres.
 
Ainsi, on peut lire sur Santé Log que les femmes ayant un faible taux sanguin d’ocytocine durant leur grossesse se trouvent plus à risque de vivre une dépression après la naissance de leur enfant.

Toutefois, mentionnons que les chercheurs de cette étude ont émis un bémol. Selon eux, des investigations subséquentes devront suivre, car plusieurs autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte quant à la dépression postnatale. On pense ici à des conditions physiologiques (les fluctuations d’hormones, par exemple) ou psychologiques.

Catégories
Uncategorized

Les enfants de parents bipolaires produisent plus de cortisol

Une étude de l’Université Concordia nous apprend que la bipolarité a des répercussions sur la réponse hormonale des enfants.

En effet, comme nous pouvons le lire dans Psychological Medicine, les enfants dont au moins un des parents est bipolaire ont de plus hauts taux de cortisol que les autres. Ils répondraient donc plus fortement au stress de la vie quotidienne.
 
Les chercheurs ont mesuré le taux de cortisol chez ces enfants lors de situations stressantes chroniques et à court terme. Dans les deux cas, ils ont accusé une plus forte élévation de leur taux de cortisol.
 
On pense donc que cette hormone du stress serait intimement reliée au désordre bipolaire. Des recherches précédentes avaient par ailleurs démontré que les enfants de parents bipolaires étaient quatre fois plus enclins à développer un trouble de l’humeur que les autres enfants.

Cette recherche a donc démontré que ces enfants étaient biologiquement plus sensibles au stress. Il faudra maintenant cibler à quel moment intervenir pour mieux outiller ces enfants.

Catégories
Uncategorized

Aucune souffrance pour le bébé à l’accouchement

Des chercheurs de l’Inserm ont découvert que les bébés ne souffraient aucunement lors de l’accouchement, comme nous l’apprenons par Radio-Canada. Une hormone, l’ocytocine, en est la raison.

Cette hormone a un effet anesthésiant qui dure jusqu’à quelques heures après la naissance. Comme nous le savions déjà, l’ocytocine est libérée par la mère en grande quantité lors du travail afin de stimuler les contractions de l’utérus. Il semble qu’elle a un effet sur le bébé.
 
Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur une étude datant de 2008, où l’on avait démontré que les bébés nés par césarienne résistaient moins à la douleur que ceux nés par voie naturelle.

On a ensuite effectué des tests sur des rats, pour prouver par la suite que l’ocytocine était la cause de la résistance à la douleur des bébés humains.

Catégories
Uncategorized

L’hormone du sommeil pour lutter contre l’obésité?

Le Journal of Pineal Research dévoile que la mélatonine, l’hormone du sommeil, comporterait des bienfaits autres que ceux déjà connus, comme ses propriétés antioxydantes et son efficacité contre la dépression, les troubles du sommeil et les problèmes de libido.
 
En effet, si les résultats de la présente recherche espagnole se confirment, cela pourrait mener à de nouveaux traitements contre l’obésité, car la mélatonine aide à gérer le poids et les lipides dans le sang.
 
L’étude a été faite sur un modèle expérimental de rats auxquels on a injecté de la mélatonine. Les effets bénéfiques ont été notés avant même que ne se développent des complications métaboliques et vasculaires liées au syndrome.
 
La mélatonine pourrait donc aider à prévenir certains problèmes liés à l’obésité et la dyslipidémie, comme le diabète et les maladies cardiaques.
Catégories
Uncategorized

Soigner l’Alzheimer avec des somnifères?

Selon The Telegraph, une entreprise de recherche du Royaume-Uni, CPS Research, dirigera de prochains essais cliniques quant à un médicament comprenant de la mélatonine. Cette hormone du sommeil pourrait réduire les symptômes de démence.

Toute personne ayant reçu un diagnostic d’Alzheimer et qui reçoit déjà un traitement pourrait faire partie de cette recherche.
 
Le Melatonine in Alzheimer’s Disease Project espère ainsi trouver 50 patients pour mener à bien la recherche. Le projet sera d’une durée de six mois.
 
Rappelons que la principale cause de la démence est la maladie d’Alzheimer, mais d’autres conditions affectant le cerveau pourraient aussi en être la source.
 
La mélatonine est habituellement employée pour traiter les problèmes de sommeil. Elle est reconnue pour ne pas avoir d’effets secondaires. Dans le présent projet de recherche, on administrera un médicament portant le nom de Circadin.

On espère, en diminuant les symptômes de patients atteints de démence, améliorer leur qualité de vie ainsi que celle de leur famille.

Catégories
Uncategorized

Moins du tiers des enfants se réveillent lors d’un feu

La plus vaste étude jusqu’ici à avoir porté sur la détection d’un feu domestique nous apprend que seulement un enfant sur trois se réveillera au son du détecteur.

En effet, la recherche publiée dans le journal Fire and Materials a porté sur un échantillon de 123 enfants issus de 79 familles. Les participants étaient âgés de 5 à 15 ans, pour un âge moyen de 8,82 ans, alors que 70 % étaient âgés de 5 à 10 ans.
 
Le groupe a été divisé en deux, car la mélatonine chute durant la puberté. Cette hormone est reconnue pour inciter au sommeil
 
Le détecteur de fumée de la maison devait être enclenché pendant 30 secondes, après que les enfants aient été endormis depuis 1 à 3 heures. Les résultats ont été alarmants : 78 % des participants ont continué à dormir malgré le son du détecteur.

Ces résultats ne sont en rien rassurants, car nous savons maintenant que plus de la moitié des enfants continueront à dormir si un incendie se déclenche dans leur maison en pleine nuit.

Catégories
Uncategorized

Découverte sur les rattrapages de croissance du bébé

On se questionnait depuis un moment sur ce qui pouvait causer les rattrapages de croissance. Ces derniers sont des poussées de croissance accrues qui surviennent lorsque des conditions normales sont restaurées à la suite d’une privation de nourriture ou d’oxygène chez le fœtus, le bébé ou l’enfant.

Des chercheurs de l’Université du Michigan viennent donc de découvrir quels sont les signaux moléculaires qui induisent ces rattrapages de croissance.

Il s’agit d’une découverte aux répercussions importantes, puisque les rattrapages de croissance exposent à de plus hauts risques de diabète, de maladies cardiovasculaires et d’obésité, entre autres.

Selon les résultats parus dans le journal Development, les hormones IGF (insulin-like growth factor) seraient en cause. Ces hormones peptidiques ressemblant à l’insuline fonctionnent en bloquant les récepteurs des cellules qu’elles touchent.

Lors d’expérimentations, on a donc pu remarquer que si le signal IGF est bloqué, le rattrapage de croissance est stoppé automatiquement. On a ensuite évalué le schéma biochimique spécifiquement impliqué dans ce phénomène.

Des recherches futures permettront de découvrir des méthodes d’intervention afin de réduire les risques de problèmes de santé liés au rattrapage de croissance.