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Le syndrome d’Asperger lié à une hormone?

Selon des chercheurs de l’Université de Bath, en Angleterre, un faible taux de cortisol pourrait causer le syndrome d’Asperger, un trouble envahissant du développement.

L’équipe du Dr Mark Brosnan a remarqué que les enfants atteints de ce syndrome présentaient un taux plus faible de cette hormone à leur réveil et que le niveau de cortisol ne cessait de baisser au cours de la journée.

« Nous croyons que la différence dans cette hormone liée au stress pourrait être significative pour expliquer le syndrome d’Asperger chez les enfants qui sont moins capables de gérer les changements imprévus », a expliqué le Dr Brosnan.

Selon le chercheur, les symptômes de cette maladie sont exacerbés par le stress et l’hypothèse du cortisol pourrait être explorée davantage comme piste de solution.

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Une hormone pour prévenir les défaillances cardiaques

Les travaux menés par le Dr John Teerlonk, de l’Université de Californie à San Francisco, l’amènent à conclure que la relaxine, une hormone sécrétée par les ovaires lors de l’accouchement, est efficace pour traiter les défaillances cardiaques sévères.

Selon M. Teerlonk, l’hormone facilite la respiration du patient, en plus de réduire la durée d’hospitalisation liée à son état.

« Plus de 90 % des patients souffrant de défaillance cardiaque sévère perde leur souffle et, pour leur grande majorité, c’est la raison qui les conduit aux urgences. De ce fait, une amélioration de ce symptôme est importante et constitue un objectif clinique légitime dans les soins de la défaillance cardiaque », a mentionné le chercheur.

234 adultes ont participé à cette recherche et la moitié d’entre eux a été traitée à la relaxine. Le taux d’hospitalisation était de 3 % chez ces derniers, tandis qu’il était de 17 % chez les sujets n’ayant pas consommé l’hormone.

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Les effets secondaires de l’hormonothérapie anticancéreuse

Les travaux menés par le Dr Fred Saad, titulaire de la Chaire en cancer de la prostate à l’Université de Montréal et directeur de l’unité d’urologie-oncologie à l’Hôpital Notre-Dame, l’amènent à conclure que l’hormonothérapie contre les cancers du sein et de la prostate cause de l’ostéoporose chez les patients.

« Chez la femme, la perte osseuse entraînée par les traitements contre le cancer du sein peut être de deux à quatre fois supérieure à celle causée par la ménopause. Chez les hommes, les risques de troubles osseux peuvent être près du double s’ils reçoivent un traitement contre le cancer de la prostate », explique le Dr Saad.

« Ces traitements sont très efficaces et ces cancers peuvent être guéris, mais les patients risquent par la suite de mourir de complications dues à l’ostéoporose si l’on ne s’attaque pas à ce problème », déplore le chercheur.

Ces types de médicaments réduisent la production d’oestrogène chez la femme et d’androgène chez l’homme, ce qui cause une perte osseuse suffisamment importante pour causer de l’ostéoporose.

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L’infidélité causée par une hormone

Selon des scientifiques de l’Université du Texas, l’infidélité chez les femmes pourrait être causée par une hormone sexuelle produite par les ovaires, l’oestradiol, que l’on pourrait comparer à la testostérone chez l’homme.

La Dre Kristina Durante affirme qu’un taux élevé d’oestradiol joue un rôle dans la forme du visage, la générosité des seins, la définition de la taille et des hanches et que les femmes qui sécrètent davantage cette hormone possèdent des attributs physiques qui plaisent à la gent masculine.

Mme Durante n’hésite pas à qualifier ces femmes de « monogames opportunistes en série » et affirme qu’elles n’hésitent pas à accumuler les conquêtes si elles ne sont pas satisfaites sexuellement.

Celle-ci a mesuré le taux d’oestradiol chez 52 jeunes femmes âgées de 17 ans à 30 ans, tout en leur demandant d’évaluer leurs attraits physiques et de décrire leur vie sexuelle. Il en résulte que celles qui avaient un taux élevé de l’hormone sexuelle avaient tendance à draguer davantage et à avoir des relations extraconjugales.

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Une autre conséquence de la cigarette

Selon le Dr Bijay Vaidya et ses collègues de l’Hôpital Exeter en Angleterre, fumer lors du premier et troisième trimestre de la grossesse peut entraîner des conséquences, tant chez la future mère que chez son bébé.

En effet, les chercheurs ont observé que les taux de thyroxine et de triiodothyronine, les deux hormones sécrétées par la glande thyroïde, variaient.

Ce phénomène a pour conséquence d’augmenter le risque de fausse couche, de naissance prématurée et d’affecter le développement cognitif chez le foetus.

M. Vaidya affirme toutefois que les sécrétions de la thyroïde reviennent à la normale lorsque la femme enceinte cesse de fumer lors de la gestation.

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L’hormonothérapie et la radiation

Des chercheurs suédois affirment que les hommes souffrant d’un cancer de la prostate devraient envisager une double thérapie s’ils souhaitent augmenter leurs chances de survie.

L’hormonothérapie et des traitements de radiothérapie devraient être jumelés afin de réduire le taux de mortalité lié à ce type de cancer, soutient le Dr Anders Widmark de l’Université Umeå, même si le degré de sévérité est considérable.

875 hommes souffrant d’un cancer avancé de la prostate ont participé à cette recherche. Ces derniers ont consommé du Eulexin (flutamide), qui bloque la sécrétion d’androgène, une hormone qui favorise la propagation du cancer de la prostate. Après 10 ans, 23,9 % des sujets qui suivaient uniquement l’hormonothérapie étaient décédés, tandis que 11,9 % des participants sont morts quand ils suivaient la double thérapie.

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Les effets du cortisol

Une recherche, dont les résultats complets se retrouvent dans la revue scientifique Biological Psychiatry, démontre que les adolescents peuvent aussi évoquer les hormones pour justifier leurs sautes d’humeur.

Dans leur cas, il s’agit du cortisol, une hormone sécrétée dans le cortex surrénal du cerveau, qui contrôle le niveau de stress.

Des chercheurs ont analysé les réactions cérébrales de jeunes hommes lors d’un jeu vidéo stressant et frustrant. Ils ont observé qu’un déficit de cortisol causait des sautes d’humeur.

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Les fringales expliquées

Une étude québécoise publiée dans la revue Cell Metabolism nous en apprend davantage sur la ghréline, mieux connue sous le nom d’hormone de la faim.

Celle-ci est si puissante qu’elle agit sur le cerveau exactement comme l’alcool ou la drogue peuvent agir sur celui des personnes dépendantes de ces substances. « Elle jouerait un rôle très important chez ceux qui éprouvent de la difficulté à perdre du poids », a précisé le neurologue Alain Dagher.

Sécrétée par l’estomac, la ghréline circule dans le sang et parvient jusqu’aux cellules du cerveau, particulièrement dans la zone de l’hypothalamus, responsable des mécanismes de la faim.

« La ghréline est un puissant stimulant de l’appétit. Nous voulions vérifier son rôle dans l’acte de manger sans contrôle », mentionne le Dr Dagher, qui entrevoit déjà une nouvelle piste pour traiter l’obésité en bloquant l’hormone.

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L’hormonothérapie et le risque de caillot sanguin

Selon Pierre-Yves Scarabin et Marianne Canonico, des chercheurs français de l’Hôpital Paul Brousse, les femmes ménopausées qui suivent une hormonothérapie voient leur risque d’avoir un caillot sanguin mortel doubler.

Les scientifiques ont analysé 17 recherches sur le sujet pour en arriver à la conclusion que ce phénomène est surtout observé lors de la première année d’administration de l’oestrogène aux femmes ménopausées.

En 2002, une autre recherche associait l’hormonothérapie au risque accru de cancer du sein et des ovaires et suggérait fortement aux femmes d’abandonner l’hormone synthétique.

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Des profits selon le taux de testostérone

Une recherche menée par des scientifiques de l’Université de Cambridge démontre que le taux matinal d’hormones mâles aurait une incidence directe sur les gains et profits que réalisent les courtiers à la bourse.

En effet, plus le taux de testostérone est élevé, plus les courtiers sont enclins à prendre des risques, ce qui augmente leurs gains. Selon les chercheurs, ce phénomène pourrait s’expliquer par la testostérone qui mousse la confiance en soi et le goût du risque.

Pour en arriver à de telles conclusions, le Dr John Coates, coauteur de l’étude, a analysé des échantillons de salive, tout en comparant les résultats boursiers de la journée.

Le Dr Coates émet toutefois un bémol : « Si la testostérone devient excessive dans l’organisme, comme cela peut facilement se produire dans des situations de bulles spéculatives, le goût du risque peut devenir obsessionnel. »