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Devrait-on offrir gratuitement la contraception aux adolescentes?

En moyenne, rapporte livescience.com, 16 % des adolescentes sexuellement actives tomberont enceintes dans l’année courante. Mais chez celles qui ont reçu de la contraception gratuitement, ce taux chute à 4 %.

L’étude a été menée au Royaume-Uni et publiée dans la revue scientifique The New England Journal of Medicine.

À travers cette recherche, on a également découvert que lorsque les adolescentes ont le choix de la méthode de contraception, elles sont près des trois quarts à sélectionner le dispositif intra-utérin (stérilet) ou l’implant hormonal.

D’ailleurs, l’American Academy of Pediatrics a récemment révélé qu’il s’agissait des deux meilleures méthodes pour les adolescentes, puisqu’il n’y a pas « d’oublis » comme pour la prise de la pilule anticonceptionnelle.

Malheureusement, ce sont les coûts qui empêchent les adolescentes de réellement utiliser le stérilet et les implants hormonaux. « Le dispositif à lui seul peut valoir jusqu’à 700 $ et ensuite, les implants hormonaux peuvent facilement atteindre 1000 $ ».

On espère donc que le système de santé considèrera le coût d’une grossesse et des mères adolescentes versus un coût moins élevé et donc plus accessible pour la contraception.

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Un médicament surprise pour traiter la pelade

Une découverte plutôt surprenante a été effectuée par des scientifiques de l’Université de Columbia (New York). En utilisant un médicament initialement prévu pour soigner les maladies de la moelle osseuse, ils se sont aperçus qu’ils pouvaient également traiter la calvitie précoce, notamment causée par la pelade. 

En effet, le Ruxolitinib, médicament utilisé pour soigner le myélofibrose, a permis à trois hommes qui avaient perdu le tiers de leurs cheveux et qui souffraient de pelade de retrouver leur chevelure d’antan en à peine cinq mois, indique Top Santé. 

Les résultats parus dans l’édition numérique de la revue scientifique Nature Medicine Journal suggèrent toutefois que l’efficacité du Ruxolitinib pour la perte de cheveux opèrerait uniquement chez les patients atteints de pelade. Cette maladie auto-immune entraîne une perte de cheveux par plaques. 

Les hommes qui perdent leurs cheveux à la suite d’un déséquilibre hormonal, principale cause de la calvitie masculine, ne peuvent pas espérer régler leur situation à l’aide de ce traitement. 

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Les pilules contraceptives pour combattre l’acné

Selon le Journal de l’Académie américaine de dermatologie, après six mois d’utilisation, les antibiotiques contre l’acné réduisent de 53 % les boutons, alors que certaines pilules contraceptives réussissent à diminuer le taux de lésion de 55 %.

Pris sur une période de trois mois, les antibiotiques ont un processus différent et souvent plus féroce que les hormones. Quant aux sortes de pilules contraceptives qui sont vendues en pharmacie et ont une double fonction (protection contre la grossesse et traitement de l’acné), elles sont rares. Plus d’études devraient être effectuées pour voir leur efficacité et en mettre davantage sur le marché. Celles qui le sont déjà ne sont souvent pas couvertes par les régimes d’assurances.

Les femmes qui ont un problème d’acné faible ou modéré, qui ont l’intention de prendre un contraceptif oral et qui ont essayé au préalable d’autres sortes de traitements contre l’acné, en vain, peuvent avoir recours aux pilules contraceptives au pouvoir anti-androgénique.

Sur Top Santé, la Dre Marie Aléos, vice-présidente du Syndicat national des dermatologues vénérologues, donne des détails : « Ces contraceptifs freinent la stimulation des glandes sébacées et réduisent la production de sébum qui bouche les pores de la peau. Cela entraîne une régulation de l’acné à long terme ».

Ce sont 70 % des adolescents et 20 % des adultes qui souffrent de problèmes de la peau, indique Top Santé.

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La ménopause synonyme de troubles de cholestérol

Science World Report mentionne que le changement hormonal crée une dégradation des cellules transportant le « bon cholestérol », ce qui rend la femme plus susceptible de développer un trouble cardiaque.

Comme l’indique Samar R. EI Khoudary, chercheur en chef, « un niveau élevé de LHD ou ce que l’on nomme “bon cholestérol” » ne représente pas une protection aussi efficace qu’on le croyait avant ».

Les chercheurs ont examiné les lipoprotéines de 120 femmes. Celles-ci avaient toutes environ 50 ans et ne prenaient aucun traitement hormonal de remplacement.

À l’aide de la spectroscopie RMN (résonnance magnétique nucléaire), les scientifiques ont pu mesurer la grosseur, la distribution et la concentration de lipoprotéines pour le « bon » et le « mauvais » cholestérol.

L’étude a permis d’associer un faible taux d’estradiol, l’un des changements hormonaux les plus caractéristiques de la ménopause, à une piètre qualité des transporteurs de cholestérol. 

Khoudary indique qu’un test en début de ménopause pourrait aider les femmes à prendre le traitement approprié pour pallier le risque accru de maladie cardiaque.

La recherche a été publiée dans le Journal of Lipid Research.

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Un gène défectueux responsable d’une puberté retardée

Les chercheurs de l’Université Queen Mary, à Londres, ont découvert que la perturbation du développement des neurones GnRH était une cause de retard de la puberté.

En effet, si ces neurones sont sous-développés, ils inhibent les régulateurs hormonaux déclenchant le signal envoyé à l’organisme pour atteindre la maturité sexuelle.

Dr Sasha Howard et son équipe ont analysé les candidats de 7 familles qui présentaient de façon héréditaire des retards de puberté. En tout, 15 gènes pouvant être responsables de ce retard ont été identifiés.

L’étude a par la suite étendu l’échantillonnage auprès d’adolescents ayant une maturité sexuelle normale, puis a comparé ces résultats avec 288 nouveaux individus présentant un retard de puberté.

Dr Howard a commenté, à la suite des résultats : « Des études estiment que la majorité de la variation dans le temps de la puberté est déterminée génétiquement, mais c’est l’un des premiers gènes présentant un impact majeur ».

Selon l’étude, rapporte Medical Xpress, 4 % des adolescents connaissent un délai au niveau de la puberté. 

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Troubles alimentaires : les garçons se soucient de plus en plus de leur image

Seulement aux États-Unis, selon Science World Report, c’est 20 millions de femmes et 10 millions d’hommes qui vivent avec un trouble alimentaire de taille durant leur vie. Cela inclut bien sûr l’anorexie et la boulimie, mais également l’hyperphagie boulimique, moins connue, ainsi que d’autres troubles non spécifiques.

Une récente étude spécifie que bien qu’il soit plus fréquent chez les femmes d’être aux prises avec ces troubles, les jeunes hommes (adolescents) ont de plus en plus de difficulté avec leur image corporelle.

Sur les 5527 adolescents interrogés, près de 18 % étaient soucieux de leur image, surtout au niveau de la corpulence de leurs muscles.

Comme l’indique la responsable de la recherche, Alison Field, du Children’s Hospital Adolescent Medicine Division de Boston, dans un communiqué : « Les hommes et les femmes n’ont pas du tout les mêmes préoccupations quant à leur image ». Alors que les filles recherchent la minceur, les garçons veulent des muscles développés.

Ainsi, lorsqu’on parle de troubles de l’alimentation chez les garçons, il faut plutôt regarder du côté des suppléments protéinés, des hormones de croissance ou des stéroïdes consommés par ceux-ci.

Field met les parents en garde. Regardez ce que votre adolescent consomme!

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Une belle peau pendant la grossesse, c’est possible

Comme l’indique plurielles.fr, la grossesse s’accompagne bien souvent de nombreux effets indésirables sur la peau. De l’acné, un teint terne, un déséquilibre de l’hydratation et, dans certains cas, le fameux masque de grossesse. Or, en adaptant votre routine quotidienne selon les nouveaux besoins de votre épiderme, il est possible d’arriver à un bon résultat.

Hydratation : Le premier signe visible est la déshydratation. Il vous faudra peut-être changer de crème de jour et même ajouter une crème de nuit, même si c’est seulement pendant la grossesse.

Le gommage : Un geste simple à faire une fois par semaine. Semblable à l’exfoliation, mais sans l’effet du papier sablé sur votre peau, vous éliminez ainsi les cellules mortes et stimulez la régénération de l’épiderme. Votre teint conservera donc son bel éclat.

Le soleil : Sauve qui peut! Si vous souhaitez déjouer le disgracieux masque de grossesse, évitez à tout prix l’exposition au soleil. En effet, c’est la combinaison des hormones et des rayons solaires qui favorise l’apparition de ces taches brunes récalcitrantes.

Demandez conseil : Votre peau n’est plus ce qu’elle est habituellement. De grasse elle devient sèche, ou vice versa. N’hésitez pas à consulter l’esthéticienne, ou mieux, si le déséquilibre vous inquiète, un dermatologue. Sachez aussi qu’un changement de crème quotidienne ne suffit pas. Il vous faudra sans doute modifier votre démaquillant et tout autre soin qui l’accompagne.

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L’allaitement préviendrait le vieillissement des seins

C’est le chirurgien plastique Hooman T. Soltanian, de l’University Hospitals Case Medical Center, qui a mené cette enquête dans les trois dernières années. Afin d’obtenir des résultats plus concluants, Soltanian a étudié au total 161 paires de jumelles.

Les participantes répondaient séparément à des questionnaires sur leurs habitudes de vies; tabagisme, consommation d’alcool, nombre de grossesses, utilisation d’un soutien-gorge, sports pratiqués, hormones, hydratation, etc. Par la suite, les photos prises étaient comparées, puis analysées selon les réponses au questionnaire.

Ainsi, les résultats ont démontré que les 3 facteurs contribuant à la meilleure apparence de la poitrine (tonus, peau, forme, auréoles) étaient l’hydratation, le traitement hormonal à la ménopause et l’allaitement.

Le Dr Soltanian a affirmé son étonnement. Cependant, il conçoit que l’allaitement modifie les hormones dans le corps de la femme, ce qui pourrait effectivement retarder le processus de vieillissement des seins.

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Cancers dépistés en hausse pendant la grossesse

Une étude de grande envergure a été effectuée de 1994 à 2008 auprès de plus d’un million de femmes enceintes. Les résultats démontrent que plus de femmes sont désormais diagnostiquées du cancer, soit pendant la grossesse ou jusqu’à 12 mois après l’accouchement.

Certains facteurs, comme l’âge plus avancé des mères en croissance depuis quelques années, ont certes une incidence. Cependant, de façon générale, il semblerait que ce soit surtout les hormones qui jouent un rôle dans la vitesse de développement d’une tumeur.

Les cancers les plus fréquents découverts lors de la recherche étaient le mélanome de la peau, le cancer du sein, le cancer de la glande thyroïde et d’autres cancers d’ordre endocrinien ou gynécologique.

C’est la professeure Christine Roberts, du Kolling Institute of Medical Research de l’Université de Sydney qui a cosigné le rapport de l’étude. Elle affirme que la découverte de tumeurs engendre presque inévitablement la césarienne, une naissance prématurée et des bébés plus gros, malgré le terme inachevé de la grossesse.

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Cancer du sein : Accoucher de gros bébés n’aiderait pas

Des chercheurs de l’Université du Texas affirment que les femmes qui ont de gros bébés ont un niveau plus élevé d’hormones, comme l’oestrogène, qui est d’ailleurs connu pour être associé à un risque accru de la maladie, révèle un article du Daily Mail.

Le fait d’avoir de gros bébés propulserait la croissance analogue à l’insuline libre associée au développement du cancer du sein et pourrait modifier les niveaux de trois hormones qui, en conséquence, créent un « environnement procancérigène », spécifie l’article.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les premiers accouchements de 410 femmes et ont pris en considération le poids des bébés en excluant les autres facteurs qui pourraient influencer le développement d’un cancer du sein, tels que le poids des femmes elles-mêmes, les antécédents médicaux ou l’utilisation de l’hormonothérapie substitutive.

Plusieurs peuvent se demander pourquoi un cancer apparaîtrait 30 ans après l’accouchement. À en croire les experts, le corps peut conserver une « mémoire » du niveau d’oestrogène élevé en raison de l’enfant qui avait un poids élevé.

« Bien que cette étude ait révélé un lien statistique entre les femmes dont le premier bébé avait un poids élevé à la naissance et un risque plus élevé de cancer du sein, il n’est pas prouvé que le poids élevé du bébé à la naissance ou les hauts niveaux d’hormones sont source d’un risque accru de cancer du sein », précisent les chercheurs.