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Bébé : moins de pleurs, plus de stress

Devons-nous laisser un bébé pleurer dans son lit pour lui apprendre à dormir seul ou devons-nous aller le chercher chaque fois qu’il pleure pour le réconforter? Les spécialistes débattent toujours sur la question.

Voilà qu’une nouvelle étude de l’Université de North Texas tend à démontrer aux parents que si l’enfant cesse de pleurer, cela ne veut pas dire pour autant qu’il est heureux, serein ou consolé.

En effet, le taux d’hormone du stress (cortisol) chez le bébé peut demeurer élevé plusieurs heures après la crise, rapporte le Daily Mail. En d’autres termes, l’enfant est encore malheureux et même angoissé par une situation, mais il apprend graduellement à garder ses émotions sous silence.

Les chercheurs ont remarqué que si le niveau de cortisol grimpe chez les petits qui cessent de pleurer, l’inverse se produit chez les mères, qui se sentent notamment libérées du bruit des pleurs, mais surtout sûres que leurs bébés se portent mieux.

Pour arriver à ces conclusions, ils ont observé le taux de cortisol de bébés et de mères. Les nourrissons âgés de 4 à 10 mois avaient de la difficulté à dormir seuls.

Au cours de l’expérience, les mères ont dû laisser leur poupon pleurer dans sa chambre. Au bout de trois nuits, le bébé pleurait moins voire plus du tout, mais son niveau de stress était encore très élevé, alors que celui de la mère avait chuté.

Une étude plus approfondie permettra aux chercheurs de voir si le niveau de cortisol diminue éventuellement chez les bébés.

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Cyclistes : gare à votre fertilité!

Qui a dit que le sport était si bon pour la santé? En tout cas, pas le vélo pour la santé sexuelle…
 
En effet, selon une étude de l’UCLA School of Nursing, qui a observé le développement hormonal de 107 hommes, ceux qui s’adonnent au cyclisme sont davantage victimes d’un déséquilibre hormonal qui engendrerait des difficultés à concevoir un bébé.
 
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont comparé la production hormonale de 45 athlètes récréatifs, 16 triathloniens et 46 cyclistes.
 
Des études plus approfondies devront être effectuées pour justifier si le vélo est à la base de réels problèmes hormonaux chez les hommes, affirme Lea FitzGerald, auteure de l’étude parue dans l’European Journal of Applied Physiology.
 
Il semble que le vélo n’est pas seulement « mauvais » pour l’appétit sexuel de l’homme, mais aussi pour celui de la femme. Une autre étude, cette fois-ci de l’Université Yale, a démontré que le cyclisme pouvait diminuer « le plaisir sexuel chez la femme ».
 
Les informations publiées le Journal of Sexual Medicine expliquent que les femmes qui pratiquent beaucoup de vélo, et particulièrement celles qui conduisent un engin dont le guidon est plus bas que la selle, développent une altération de la sensation génitale.
 
Les nerfs et les vaisseaux sanguins des organes génitaux seraient trop souvent compressés, suggère cette deuxième étude.
 
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Une prise de sang pour dépister la dépression post-partum?

Environ une femme sur sept développe des symptômes de dépression deux semaines après l’accouchement, déclare le professeur en médecine moléculaire Dimitris Grammatopoulos de l’Université de Warwick, qui a présenté sa recherche au Congrès international d’endocrinologie cette semaine.

La dépression postpartum étant beaucoup plus grave que le « baby blues » — qui est de plus courte durée et moins intense —, elle peut provoquer des problèmes, tant chez les parents que les enfants.
 
C’est en observant des variantes génétiques spécifiques (BCL1 et rs242939), qui contrôlent l’activité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien libérant un certain nombre d’hormones dans le sang pour gérer les fonctions vitales du corps, que les chercheurs se sont aperçus que tout comme la dépression, la dépression postnatale était associée à un bouleversement hormonal.
 
En effet, parmi les 200 participantes enceintes qui ont fait le test de l’Edinburgh Postnatal Depression Scale (EPDS), lors de leur premier rendez-vous prénatal et de nouveau deux à huit semaines après avoir donné naissance, celles qui avaient le plus de risques de développer la dépression post-partum étaient génétiquement plus sensibles aux facteurs environnementaux qui déclenchent la dépression.
 
Grâce à ce constat, les chercheurs croient dorénavant être sur la bonne voie pour développer un test sanguin qui permettra de détecter précocement la maladie et concevoir un traitement médical approprié aux femmes concernées.
 
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Découverte concernant la reprise de poids après un régime

Lors d’un régime pour perdre du poids, le corps se met en mécanisme de défense. Il y a un changement au niveau des hormones, mais ces modifications sont gardées en mémoire.
 
Ainsi, même un an après la fin du régime, le corps cherche à compenser le manque de calories. Cela nuit donc au maintien du poids.
 
Toutefois, on mentionne que cela ne devrait jamais vous décourager dans le processus de perte de poids.
 
Selon le New England Journal of Medicine, 50 personnes obèses ont été soumises à un régime hypocalorique de 500 à 550 calories par jour, ainsi qu’à un programme d’exercices pendant 10 semaines.
 
Seules 34 personnes se sont rendues jusqu’au bout de l’étude. On notait un changement hormonal, et la perte de poids était en moyenne de 13,5 kg.
 
Un an plus tard, la perte de poids était de 7,9 kg. Le niveau d’hormone n’était pas revenu au même niveau qu’avant la diète, mais il y avait eu des changements comparativement aux jours suivant le programme.

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Surplus de poids relié au manque de sommeil

C’est du moins ce que révèle une étude effectuée au Minnesota, selon Protégez-vous. Non seulement le manque de sommeil peut-il avoir des effets directs sur notre santé mentale, mais le dérèglement hormonal qui s’ensuit peut également apporter un surpoids. 

Le Dr Farouk Radwan, spécialiste en biochimie médicale et maladies métaboliques, également professeur du Département de médecine de l’Université de Montréal, donne l’explication suivante : « Les gens qui dorment moins subissent certaines modifications hormonales qui finissent par augmenter l’appétit et diminuer le sentiment de satiété ».
 
La recherche, effectuée par des cardiologues de la clinique Mayo, a été menée auprès de 17 personnes. Neuf d’entre elles dormaient jusqu’à être complètement reposées, alors qu’on privait le second groupe de 80 minutes de sommeil chaque nuit. L’expérience s’est déroulée sur une période de 11 jours.
 
Les résultats démontraient clairement que les personnes ayant manqué de sommeil consommaient jusqu’à l’équivalent de 549 calories supplémentaires par jour, ce qui représente un repas additionnel.
 
Les hormones responsables de ce déséquilibre sont la leptine et la ghréline. Lorsque l’on ne dort pas jusqu’à être totalement reposé, la première augmente dans notre système, alors que la seconde diminue.
 
Le Dr Farouk affirme que « Les personnes qui dorment six heures ont 23 % plus de risque d’être obèses. Celles qui en dorment cinq on 50 % plus de risque de l’être, et celles qui dorment moins de quatre heures voient leur risque passer à 73 % ».
 
Ce sont de lourdes conséquences qui devraient nous inciter à prendre au sérieux le nombre nécessaire d’heures de sommeil requises pour que l’on soit complètement reposé.
 
En moyenne, un adulte a besoin d’au moins 7 heures de sommeil, alors que les enfants devraient dormir un minimum de 9 heures.
 
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Les fillettes sont touchées davantage par la fumée secondaire

Les chercheurs de l’Université de Cincinnati vont même jusqu’à dire qu’il est six fois pire pour la santé des jeunes filles que celle des garçons d’être exposé à la fumée secondaire.

Pour en arriver à cette conclusion, ces derniers ont observé 476 enfants. Ils ont constaté que ceux qui avaient été exposés très tôt à des niveaux élevés de fumée secondaire avaient développé plus de formes d’allergies vers l’âge de deux ans et de troubles pulmonaires vers l’âge de sept ans, et ce, en particulier chez les petites filles.

Publiée en ligne dans la revue Pediatric Allergy and Immunology, l’étude démontre que la possibilité que les filles soient plus vulnérables que les garçons à l’interaction complexe entre la fumée secondaire et la fonction pulmonaire repose sur des facteurs de risque tels que la susceptibilité génétique, les hormones sexuelles, la sensibilisation allergique, le statut d’asthme et le temps que l’enfant a été exposé à l’effet du tabac.

Les chercheurs rappellent que les enfants qui sont exposés à la fumée secondaire sont plus à risque de développer des problèmes respiratoires, des otites et plusieurs autres problèmes de santé.

Ces derniers mentionnent également que si les parents ne sont pas capables de cesser de fumer pour eux, ils devraient penser le faire pour la santé de leur progéniture. Et en attendant, les adultes peuvent au moins songer à fumer à l’extérieur et à plusieurs mètres de leurs petits.

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La grossesse a-t-elle un impact sur le cerveau de la femme?

Outre la grossesse, il n’y a aucun autre moment dans la vie d’une femme où son organisme sera atteint par un aussi gros changement hormonal. Bien que l’hypothèse demeure toujours à être démontrée, les chercheurs Laura M. Glynn et Curt A. Sandman, de l’Université de la Californie Irvine, pensent que les hormones de reproduction prépareraient le cerveau de la femme à être prête pour la maternité.

Les hormones déclencheraient une envie de répondre aux besoins d’un bébé ou encore d’être moins stressée. Les hormones transformeraient la femme en une mère attentionnée, efficace et sensible aux moindres bruits et gestes.

Un peu comme la mère qui influence le fœtus par sa nutrition ou sa nervosité, il serait intéressant de penser que le fœtus fait la même chose pour la mère, selon les chercheurs.

Même si la mère l’ignore, les mouvements du fœtus augmenteraient son rythme cardiaque et sa circulation sanguine. Les cellules fœtales passent à travers le placenta dans la circulation sanguine de la mère. « C’est excitant de penser que ces cellules sont attirées par certaines régions dans le cerveau qui peuvent être impliquées dans l’optimisation du comportement maternel », affirme Mme Glynn dans la revue Current Directions in Psychological Science.

Puisque la grossesse diffère énormément d’une femme à l’autre, les spécialistes doivent continuer à faire des recherches. Une image plus complète est nécessaire pour comprendre les changements apportés au cerveau pendant la grossesse.

Ainsi, des interventions pour venir en aide aux mères plus à risque à mieux vivre avec elles-mêmes et leur bébé pourraient être développées.

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Risque de VIH à cause du contraceptif par injection

On entend beaucoup parler du nouveau contraceptif par injection, et de grands espoirs l’accompagnent. Toutefois, une ombre au tableau s’annonce pour ce mode de contraception à base d’hormones.

Selon une récente étude parue dans The Lancet Infectious Diseases, une femme sous contraceptif par injection court deux fois plus de risques de contracter le VIH qu’une autre ne l’employant pas.

Il semble que le contraceptif en question amenuise les parois vaginales, ce qui provoquerait une augmentation des risques de transmission du VIH.

Les présents résultats ont été obtenus après avoir suivi près de 4000 couples provenant de 7 pays africains différents durant 18 mois. Rappelons que le contraceptif par injection gagne continuellement en popularité; en Afrique subsaharienne, par exemple, 6 % des femmes de 15 à 49 ans l’emploient, c’est-à-dire 12 millions de femmes.

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L’hypersensibilité olfactive, problématique pour certaines femmes enceintes

Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.

En effet, l’hypersensibilité olfactive peut même se développer pendant la période d’ovulation du cycle menstruel. Ce sont les oestrogènes qui sont les grands responsables de ce changement. Ainsi, pendant le premier trimestre de grossesse, comme ils sont présents en grande quantité, la sensibilité olfactive peut aggraver les nausées matinales.
 
La seule façon de réduire les effets consiste à éviter les aliments ou autres odeurs désagréables, en ouvrant les fenêtres le plus souvent possible pour faire circuler l’air. Les chercheurs affirment qu’il s’agit d’un phénomène de protection, qui permettrait à la femme enceinte de détecter les produits chimiques ou néfastes pour le fœtus.

À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.

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L’hypersensibilité olfactive, problématique pour certaines femmes enceintes

Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.

En effet, l’hypersensibilité olfactive peut même se développer pendant la période d’ovulation du cycle menstruel. Ce sont les oestrogènes qui sont les grands responsables de ce changement. Ainsi, pendant le premier trimestre de grossesse, comme ils sont présents en grande quantité, la sensibilité olfactive peut aggraver les nausées matinales.
 
La seule façon de réduire les effets consiste à éviter les aliments ou autres odeurs désagréables, en ouvrant les fenêtres le plus souvent possible pour faire circuler l’air. Les chercheurs affirment qu’il s’agit d’un phénomène de protection, qui permettrait à la femme enceinte de détecter les produits chimiques ou néfastes pour le fœtus.

À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.