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Moins d’hospitalisations dues au tabagisme

Depuis l’entrée en vigueur des lois antitabac, le nombre d’hospitalisations liées au tabagisme est à la baisse, selon une étude effectuée en Ontario.
 
La Dre Alisa Naiman et son équipe de l’Université de Toronto ont noté que les hospitalisations dans la ville avaient considérablement diminué de 39 % dans le cas des problèmes cardiovasculaires et de 33 % pour les problèmes respiratoires, et ce, depuis que les premières lois antitabac interdisant de fumer dans les restaurants de Toronto ont été implantées.
 
Selon le Journal de l’Association médicale canadienne, cela concorde avec l’hypothèse que le tabagisme passif est également très nocif pour la santé. Depuis que les gens ne sont plus exposés à la fumée secondaire de la cigarette dans les endroits publics, ces derniers ont moins de problèmes de santé.
 
L’étude s’est échelonnée sur dix ans, entre 1996 et 2006.
 
D’autres recherches seront maintenant réalisées afin d’améliorer les lois antitabac au pays.
 
Chaque année, plus de 37 000 personnes au Canada meurent des suites du tabagisme. L’année dernière, on estime que 17 % de la population fumait.
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Lien entre l’alcool et l’hospitalisation

Une recherche effectuée pendant près de 28 ans avec plus de 6 000 hommes âgés de 35 à 64 ans démontre qu’il existe une association entre la consommation d’alcool et l’hospitalisation.

Comparativement aux candidats sobres, les patients qui buvaient tout près de 22 consommations par semaine voyaient leur risque d’hospitalisation augmenter de 20 %.

Même à huit verres d’alcool hebdomadairement, le risque d’hospitalisation est en hausse et peut augmenter le séjour au centre hospitalier, selon cette étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Parmi les raisons qui justifient une hospitalisation, on note les accidents vasculaires cérébraux, les difficultés respiratoires ou encore les maladies coronariennes.

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Les patients bipolaires font plusieurs rechutes

Les personnes bipolaires, qu’on appelle aussi maniaco-dépressives, sont plus sujettes à faire des rechutes de leur maladie.

Selon des chercheurs, les 3/4 des hospitalisations pour le traitement de troubles bipolaires sont des admissions répétées.

La bipolarité est la cause la plus fréquente des fluctuations d’humeur, passant d’extrêmes euphories à une dépression invalidante.

En moyenne, sur les personnes admises une première fois, 1,2 % seront réadmises dans les cinq années suivantes. Ce taux augmente à 1,9 % après une deuxième hospitalisation.

D’après les chercheurs, environ la moitié des admissions dans les hôpitaux résulte de troubles bipolaires.

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Comment réduire l’hospitalisation des bébés

Une recherche, dont les détails se retrouvent dans le New England Journal of Medicine, mentionne que la combinaison de deux médicaments, l’épinéphrine et la dexaméthasone, diminue de 35 % les hospitalisations chez les bébés qui souffrent de bronchiolite, une inflammation des petites voies respiratoires des poumons appelées bronchioles.

La Dre Amy Plint, le Dr Terry Klassen, le Dr David Johnson et la Dre Hema Patel ont travaillé avec 800 bébés qui étaient hospitalisés en raison de l’infection respiratoire.

« Jusqu’ici, il n’y avait pas vraiment de traitement efficace contre la bronchiolite, sauf donner de l’oxygène. Pour cette étude, nous avons analysé deux médicaments utilisés pour traiter la maladie, mais on obtient une chute de l’hospitalisation quand on les combine », a expliqué la Dre Plint.

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Dépression va de pair avec cancer

Selon la Dre Susanne O. Dalton et ses collègues de la Société danoise du cancer à Copenhague, les cancéreux sont plus à risque d’être hospitalisés parce qu’ils souffrent de dépression majeure.

Ce risque d’hospitalisation est plus élevé dans l’année qui suit un diagnostic de cancer et demeure, même après une rémission de la maladie.

Pour mieux comprendre l’association entre la dépression et le cancer, les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 608 591 adultes ayant reçu un diagnostic de la maladie. Ils ont découvert que l’incidence d’hospitalisation pour cause de dépression doublait dans la première année où les patients apprenaient qu’ils souffraient d’un cancer.

Les chercheurs espèrent donc que les médecins porteront une attention particulière aux symptômes de la dépression chez leurs patients cancéreux afin d’agir plus rapidement et de prévenir l’hospitalisation.

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Le traumatisme de l’hospitalisation

Selon des chercheurs de l’Institut de recherche de l’Hôpital de Montréal pour enfants, l’hospitalisation à l’unité des soins intensifs cause des traumatismes chez les enfants. Ces derniers deviennent plus anxieux et craintifs, même plusieurs mois après être revenus à la maison.

60 enfants de 6 à 12 ans, tous hospitalisés avant l’étude, ont participé à cette enquête menée par la Dre Janet Rennick. Elle affirme : « Certains avaient de grandes inquiétudes. Par exemple, ils craignaient de ne jamais être en santé ou d’être encore malades. D’autres avaient carrément des peurs. Plusieurs ne pouvaient jamais se séparer de leurs parents. Pour un enfant de 12 ans, c’est problématique. »

Des troubles de sommeil et de la colère sont aussi des problèmes que les enfants ont confié ressentir.

Afin de diminuer ce traumatisme, la Dre Rennick suggère aux parents d’apporter à l’hôpital des objets familiers et réconfortants, comme un ourson, ou encore, de lire des histoires à leur enfant lors de son séjour.

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Les conséquences de la fumée secondaire

Selon des chercheurs chinois, la fumée secondaire n’est pas sans conséquence auprès des petits qui y sont exposés, alors que le taux d’hospitalisation est d’un sur trois parmi eux.

Pour les scientifiques de l’Université de médecine de Hong Kong, la cigarette est particulièrement nocive durant les premiers mois de la vie et chez les poupons les plus fragiles, prématurés ou de petit poids à la naissance.

8 327 enfants ont participé à cette étude. 41 % d’entre eux ont été exposés à la fumée secondaire au cours de leur enfance.

Dans 50,7 % des cas, les bébés ont été hospitalisés en raison d’une infection pulmonaire, tandis que 33,9 % ont souffert d’un problème infectieux d’une autre origine.

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L’hospitalisation chez les schizophrènes

Une recherche menée par l’Institut canadien d’information sur la santé dévoile des statistiques qui pourraient faire réfléchir les intervenants en santé mentale.

En effet, près de 38 % des patients schizophrènes sont hospitalisés à nouveau dans l’année qui suit leur congé d’hospitalisation. L’étude démontre aussi que plus le séjour initial a été long, moins les schizophrènes risquent de retourner en milieu hospitalier.

En effet, les patients de l’étude qui avaient séjourné à l’hôpital entre une à deux semaines ont eu 21 % moins de risque d’être réadmis dans les 30 jours qui suivaient leur congé, comparativement aux patients qui ne sont demeurés qu’une semaine ou moins.

En raison de la nature chronique et débilitante de la schizophrénie, les chercheurs notent que ces types de patients ont besoin de plus de stabilité que les autres.

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Les conséquences d’une chirurgie au genou ou à la hanche

Selon une étude réalisée par l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), un patient sur sept ayant subi une arthroplastie du genou ou de la hanche retourne à l’hôpital dans l’année suivant la chirurgie. L’hospitalisation est due à des complications postopératoires, comme des infections, le descellement de la prothèse ou une dislocation.

Sur les 51 029 Canadiens qui ont subi une première chirurgie au genou ou à la hanche en 2005-2006, 7 700 ont été hospitalisés au moins une fois dans les 12 mois suivant l’arthroplastie.

Une conseillère de l’ICIS, Tracy Johnson, a commenté cette étude : « Bien qu’un remplacement articulaire puisse sans conteste améliorer la qualité de vie d’un patient, cela ne va pas toujours sans complications. L’examen des raisons entourant cette augmentation du nombre d’hospitalisations pourrait constituer une occasion d’améliorer la qualité des soins, de réduire les coûts et d’offrir un meilleur accès aux hôpitaux et aux chirurgiens à d’autres patients qui en ont besoin. »

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7 000 $ pour une hospitalisation au Canada

Un rapport de l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) chiffre le coût moyen du séjour d’un patient à l’hôpital à près de 7 000 $.

Ce sont les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux (19 % de l’ensemble des coûts liés aux patients hospitalisés) et les blessures (10 % des coûts d’exploitation) qui engendrent le plus de dépenses dans le système de santé public.

L’ICIS a toutefois exclu de son étude les coûts liés aux soins d’urgence, aux soins de longue durée, aux chirurgies d’un jour, aux visites à des cliniques en milieu hospitalier ou à la rémunération à l’acte des médecins.

Selon Francine Anne Roy, directrice de l’Information sur les ressources de santé à l’ICIS, des programmes de prévention ciblés pourraient sans doute réduire ces coûts. « Ces constatations sont importantes, car de nombreux accidents et blessures pourraient être évités grâce à des programmes ciblés. »