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Les troubles de l’alimentation à la hausse

C’est ce que révèle un rapport de l’Agency for Healthcare Research and Quality.

Selon la diététicienne Page Love, en entrevue à CNN, les enfants qui ont de tels troubles sont faibles, montrent des signes de malnutrition, ont des niveaux de fer très bas et affirment perdre des cheveux.

Selon la psychologue Dina Zeckhausen, tout l’engouement des parents, des écoles et des gouvernements pour combattre l’obésité joue un rôle dans ce phénomène.

« Il y a tellement d’emphase sur l’obésité que nous risquons de produire beaucoup d’anxiété chez les enfants autour de leur poids », rapporte-t-elle.

Plutôt que de mettre les enfants qui ont un surpoids au régime, elle recommande de les inscrire à un sport et de les nourrir plus sainement à la maison.

Les enfants à risque de développer des troubles de l’alimentation sont souvent anxieux, ont des tendances compulsives et sont sujets à des pressions externes comme l’intimidation ou le divorce.

Rappelons que selon une récente étude, la moitié des filles et le tiers des garçons seraient prêts à tout pour avoir un corps parfait ou pour atteindre le poids idéal. Un garçon sur dix prendrait donc des stéroïdes pour devenir musclé, et une fille sur huit prendrait des pilules pour maigrir, des laxatifs, par exemple.

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Beaucoup d’enfants hospitalisés souffrent de douleur

Malgré les progrès de la médecine, beaucoup d’enfants hospitalisés souffrent de douleur, révèle une nouvelle étude publiée dans le journal Pain Management Nursing, et les filles y sont plus vulnérables que les garçons.

L’étude s’est basée sur des dossiers médicaux et, dans certains cas, des enquêtes ont été faites sur 199 patients traités au Johns Hopkins Children’s Center en 2007 et 2008.

« Notre verdict est que, même si nous avons fait d’énormes progrès, il y a encore du travail à faire pour gérer la douleur », a indiqué le chercheur principal, Lori Kozlowksi, un spécialiste de la douleur pédiatrique au Johns Hopkins Children’s Center.

D’autres études ont montré que les personnes qui ont été exposées à la douleur lors de l’enfance sont plus susceptibles d’être sensibles à celle-ci à l’âge adulte. La douleur peut aussi conduire à une variété de problèmes de santé, surtout si elle n’est pas traitée correctement.

« La douleur est le cinquième signe vital qui, avec la pression artérielle, la fréquence cardiaque, la respiration et la température, peut fournir des indications importantes au sujet du bien-être d’un patient », explique Dre Constance Monitto, anesthésiste pédiatrique au Centre.

« Traiter un enfant contre la douleur est une responsabilité fondamentale de chaque médecin et infirmière », ajoute-t-elle.